RCA : la base idéologique de l’Union des Socio-Démocrates pour le Contrat moral  du Développement Economique et Social

Publié le 8 novembre 2020 , 11:29
Mis à jour le: 8 novembre 2020 11:29 pm

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Bangui, République centrafricaine, lundi, 09 novembre 2020. ( Corbeaunews-Centrafrique).  USD-COMODES est une unité politique de centre droite-gauche, enseignée sur la gouvernance, la réforme, l’autorité et la moralité de l’État : GRAM.

GRAM vous propose un cadre organisé d’éclosion de savoirs, le creuset de connaissances et de compréhension des phénomènes socio-politiques de notre pays où toutes les forces positives pourront interagir pour le développement économique et social

Ci-dessous l’intégralité du texte…..

 

 

USD-COMODES

Union des Socio-Démocrates pour le

Contrat moral du Développement Economique et Social

 

Volonté-liberté-créativité

 

 

 IDEOLOGIE ET ENGAGEMENT

 

USD-COMODES

 

Union des Socio-Démocrates pour le

Contrat moral du Développement Economique et Social

 

 

USD-COMODES est une unité politique de centre droite-gauche, enseignée sur la gouvernance, la réforme, l’autorité et la moralité de l’État : GRAM.

GRAM vous propose un cadre organisé d’éclosion de savoirs, le creuset de connaissances et de compréhension des phénomènes socio-politiques de notre pays où toutes les forces positives pourront interagir pour le développement économique et social.

Le gouvernement est le cœur du GRAM, doublé d’une technostructure qui apporte des conseils , des expertises et des études. La technostructure sera composée des associations de la société civile et des cabinets professionnels ayant des compétences justifiées. Un fonds social sera mis à disposition.

 

Le contrat social

 

UDS-COMODES s’appuie fondamentalement sur le contrat social de Jean Jacques ROUSSEAU et du traité de gouvernement de John LOCKE

 

La volonté politique générale, c’est l’exercice de la liberté en société. Avant les hommes vivaient librement dans l’innocence de l’état de nature ; aujourd’hui ils doivent s’associer librement sans contrainte et vivre un monde de citoyenneté et c’est à ce niveau d’association que ROUSSEAU parle de « pacte social ».

 

Donc chacun met en commun sa personne et toute sa puissance sous la direction de la volonté générale. Ainsi, chaque membre devient un corps et partie indivisible de tout.

 

Ce  pacte  politique règle du coup  certaines questions cruciales liées à la sécurité, la liberté, et l’égalité de l’homme civil. Les individus unis sont des citoyens qui forment ainsi un peuple souverain et la souveraineté résulte de l’obéissance volontaire de chacun à la loi.

La loi est le ciment de l’association politique, elle est le garant de la liberté. Elle n’exprime pas la volonté du plus fort mais la volonté générale  des citoyens.

 

La loi doit empêcher  l’intolérable, l’injustice, les inégalités et le despotisme.

Ainsi, nous allons vers la nécessité de fonder une république juste sur la loi égalisatrice pour l’intérêt général et le bien commun. Seule la loi peut garantir la liberté en protégeant le citoyen vertueux et en punissant  l’ennemi de l’expression de la volonté générale. La liberté du citoyen dépend donc du degré de son asservissement à la loi.

 

 La liberté républicaine.

Mais comment trouver la forme d’association qui assure la liberté aux citoyens et les empêchant de revenir à l’état primitif donc de barbarie ; telle est le questionnement et la démarche de l’USD-COMODES.

 

Il faut  au contrat social, le contrat moral des actes.

Dans notre société, les centrafricains, citoyens de leur pays, se plaignent des injustices, des inégalités, des égoïsmes, des clientélismes, des népotismes et apparaissent des divisions sociales de type religieux, régionaliste, ethnique et le sectarisme comme moyen de refuge et de protection. Alors que l’identité nationale, ce n’est pas être chrétien, musulman, athée ; c’est partager la citoyenneté qui est définie dans la constitution et  qui fait de telle sorte que chacun partage la souveraineté du peuple. Partager l’amour de notre identité d’être centrafricain.

 

L’USD-COMODES affirme avec force que les Gouvernements qui dirigent la république doivent à la base exercer en tout état de conscience moral. C’est-à-dire, ils doivent agir conformément à la loi et appliquer à eux-mêmes la loi. Leur conduite par rapport à la règle de  droit est irréprochable. Parce que la République, c’est un corps moral et collectif ; et une République active à la fois puissante où les citoyens participent à l’autorité souveraine.

 

L’USD-COMODES est une révolution qui incarne des valeurs de liberté et de puissance à la fois qui insuffle à l’individu l’envie de prendre des engagements, de participer à la création de la richesse que plutôt la volonté abusive de participer au pouvoir. Le pouvoir ne saura pas recevoir tout le monde.

 

Il nous faut entrer sous des lois qui s’accompagnent de garanties, qui assurent que le moyen qu’on emploie pour accéder à la sécurité, le pouvoir politique, ne devient à son tour source d’insécurité. Il faut des lois stables connues à l’avance qui définissent les délits et annoncent les peines. Des lois qui définissent les domaines de l’État (les interdictions de faire) et les domaines de liberté  accordés aux citoyens. Que la loi soit une aliénation.

 

Pas de pouvoir non plus, qui peut tout ce qu’il peut, fût ce  par l’application des lois stables, mais une puissance à laquelle il est toujours possible de demander de faire la preuve que ses volontés répondent  à l’objet de l’institution et qu’elles ont effectivement  pour but de garantir la sécurité des personnes et des biens  et d’assurer à chacun qu’il pourra agir  à sa guise aussi longtemps qu’il ne fait obstacle aux droits des autres d’agir de même. Pas de pouvoir de prélèvement fiscal sur la propriété matérielle sans garantir  que les sommes demandées sont réparties équitablement et seront dépensées pour le bien commun.

 

La démocratie, c’est-à-dire le fait que le gouvernement reçoit son autorité du consensus du peuple, est nécessaire mais ne suffit pas. Car il faut une garantie que ce pouvoir  démocratique n’excédera pas les limites de sa fonction, et qu’il ne violera pas les droits à la vie, à la liberté et aux fruits du travail, alors qu’il n’est institué que pour les défendre.

 

L’USD-COMODES considère qu’il n’y a pas d’autre alternative que de placer le gouvernement  sous le regard de la conscience  de chacun et  de donner aux citoyens le droit de résister aux ordres du pouvoir lorsqu’ils estiment qu’ils contredisent l’impératif de protection qui lui est assigné. Il faut une veille supérieure qui rapporte les actes du pouvoir aux principes de la règle de droit afin que les actes du pouvoir demeurent dans les limites de la mission que les citoyens lui ont confié.

 

En effet, la grande fin  pour laquelle les hommes entrent en société, c’est la jouissance de leurs propriétés dans la paix et dans la sûreté ; et le grand moyen qui permet d’y arriver ce sont justement les lois établies dans cette société : dans toutes les Républiques, la première  et  fondamentale loi positive est donc l’établissement du pouvoir législatif. Le législatif est le pouvoir suprême et il doit avoir une existence permanente et il veille. Le pouvoir législatif est considéré comme étant l’ensemble des pouvoirs que les membres de la société ont remis à l’assemblée chargée de faire des lois. Il ne peut excéder le pouvoir que les membres de la société possédaient dans l’état de nature avant d’enter en société et qu’ils ont remis à la communauté.

 

Personne ne peut en effet transférer à autrui  plus de pouvoir qu’il n’en possède lui-même ; et personne ne possède, ni sur lui-même, ni sur autrui, le pouvoir absolu et arbitraire de détruire sa propre vie ou d’enlever à quelqu’un d’autre sa vie et sa propriété.

L’homme ne peut vivre sous un pouvoir que si celui-ci lui préserve sa vie et celle de tout le reste du genre humain. C’est donc ce seul pouvoir qui est donné par les membres de société  à la République et par là au pouvoir législatif. Ce pouvoir est ainsi limité à ce qu’exige le bien public de la société. C’est un pouvoir qui n’a pas d’autre fin que la préservation et il ne peut jamais avoir le droit de détruire les sujets, de les réduire en esclavage ou de les appauvrir à dessein.

 

Le pouvoir législatif ou suprême est tenu de rendre la justice et de déterminer les droits aux citoyens par des lois stables et promulguées et ainsi par des juges reconnus pour leur probité et dignes. Ce pouvoir est un pouvoir délégué par le peuple, et ceux qui les détiennent ne peuvent l’utiliser à leurs  propres fins ou à des fins de politique politicienne.

 

L’ USD-COMODES s’oblige la séparation des pouvoirs essentiels dans notre pays:

 

  • pouvoir législatif
  • pouvoir exécutif
  • pouvoir économique
  • pourvoir de communication des masses.

 

Ces pouvoirs seront indépendants et libres et ne devront subir aucune influence afin d’assurer l’essence de la liberté politique et la paix sociale.

 

CRÉATION DE L’UNITÉ DE LA RÉPUBLIQUE

 

Pour recréer l’unité  de la république, nous demanderons à nos compatriotes aux quatre (4) coins de notre pays d’apporter une MOTTE DE TERRE  d’où ils sont. Nous allons  creuser un fossé  géant  au centre de Bangui. Dans ce fossé seront déposées toutes les mottes de terre apportées. L’État bâtira un monument géant ou une vaste place appelée : PLACE DE L’UNITÉ ET DE LA RÉPUBLIQUE ou PLACE SEWA. Et le monument B. BOGANDA serait  transféré sur la place de l’unité. Cette place sera sacrée ; la souiller serait considéré comme une atteinte à la république et  puni au dernier degré des peines de notre pays.

 

Nous sommes des oubanguiens

Après une consultation référendaire, le peuple s’accordera sur la dénomination de la nouvelle république, par un retour à l’OUBANGUI-CHARI.

 

L’OUBANGUI-CHARI est le nom du territoire qu’occupaient nos ancêtres. La RCA est un résidu de la vision manquée de notre Leader qui voulait réunir un ensemble de territoires  plus vaste pour être puissant mais peine perdue.

 

Boganda disait ceci :« l’occasion est unique, la sagesse nous recommande de la saisir pour bâtir aujourd’hui une vaste république centrafricaine, grande comme l’Europe tout entière et pouvant prendre  son indépendance dans l’association des peuples libres…»

Il ressort de ce discours que la RCA n’est pas notre pays. La RCA est une unité des territoires à bâtir. DACKO fut chargé de consulter nos voisins. Il n’y réussira point.

Notre identité est située autour de la langue sango. Cette force qui nous a rassemblé en un peuple presque homogène sans contrainte et de façon naturelle. Ni appréhension ni doute l’Oubangui-Chari est notre territoire.

 

LE TATONNEMENT

 

Les 60 ans de gestion.

 

La RCA a vécu du moins une vie d’État sous le règne de  Jean Bedel BOKASSA. La sécurité du territoire et les institutions de l’État ont vécu et existé et assuré avec autorité même si de façon dictatoriale mais parfois avec bienveillance. L’État assurait sa mission régalienne. Les forces vives de la nation étaient mobilisées sous la seule bannière du MESAN et puis du MESAN RÉNOVÉ.

BOKASSA détenait son pouvoir et l’aimait l’assurer de toute sa puissance. Il était passionné pour son pays. Il a inculqué aux centrafricains la culture de la production par sa politique de  « l’opération Bokassa » et rêvait d’un Centrafrique meilleur et fort dans le concert des nations respectées. Il se voulait être la continuité de la politique de B.BOGANDA, libérer son pays du  sous-développement. Les fonctionnaires s’obligeaient une intégrité et une conscience. Les centrafricains ont vécu et la belle vie. Mais quand le pouvoir dure longtemps entre les mains d’un seul  homme, il s’use, il manque de l’énergie, il opprime et va à la dérive. La jeunesse de 1979 se dressa contre son pouvoir impérial dans un massacre et l’opération Barracuda de la France le conduira à l’exil en faveur de David DACKO. Le #Monument des Martyrs# est la preuve de lutte de la jeunesse de cette époque.

 

 

La dérive

Sous la pression politique d’Ange Félix PATASSE, celui-là même qui fut le support politique  de BOKASSA, obligeât David DACKO a cédé le pouvoir à l’armée, à son Chef d’État-major André KOLIGNBA qui s’en saisit et dit. Il forme un gouvernement de totalité militaire (CMRN) où certains membres ne savaient même pas quels ministres ils étaient. L’utopie et l’illusion s’installent. L’action de l’État va commencer à perdre de plus en plus de son élan ; l’État s’essouffle. On gouverne plus à Bangui que dans l’arrière-pays.

De là s’installe le népotisme et le clientélisme (le lien de beau-frère lié à l’ethnie du Chef de l’État).  L’armée nationale commence à prendre la forme ethnique et l’administration publique également (sur 35 Directeurs généraux, 33 sont de même ethnie que le Chef de l’État ; dixit François GUÉRET dans sa lettre ouverte au Président). La richesse du pays est aux mains d’une ethnique.

 

La gestion publique dans son ensemble se trouve compromise par manque de capacité, l’intérêt personnel et des siens prime tout et devient la culture et la forme du gouvernement. Le pouvoir perd de gestion et le tribalisme est créé ( voir lettre épiscopale catholique).

Cette situation favorisera PATASSE et le MLPC  à  gagner les élections en 1993.

KOLIGNBA se sentant, fera preuve de montre de ne pas s’opposer au verdict du peuple, le discours de Bau-le de François Mitterrand oblige.

 

PATASSE et ses affidés de MLPC, qui a derrière lui, une longue lutte pour le pouvoir,  installe  son gouvernement dit de gouvernement nordiste où l’ethnie sera vedette. On instaure une vie villageoise, il y a mangeaille et beuverie. L’État devient grenier. L’intérêt du clan devient important. Le clan construit et s’enrichit. Et les caisses publiques se vident. Les arriérés de paiement des salaires s’accumulent, les populations crient famine et marquent son mécontentement en tintant les casseroles tous les soirs dans les quartiers de Bangui. L’État le premier partenaire national est décrédibilisé. Et l’armée ébranlée, l’’arrière-pays est abandonné et on vit à Bangui pour l’essentiel du pouvoir. L’instabilité et l’insécurité du pouvoir vont occasionner des soubresauts militaires appelés « mutineries », l’horrible coup d’état du 28 mai des fêtes de mères et l’appel aux éléments non conventionnels du RDC. Les victimes gardent encore les cicatrices et attendent toujours que justice leur soit rendue.

Le pouvoir perd totalement de vue sur l’intégrité du territoire, l’armée nationale et    l’économie. Et pourtant ce pouvoir obtenu des urnes sera d’une calamité absolue.

 

La catastrophe

François BOZIZE  a tout appris en terme de coup d’états.

BOZIZE et sa rébellion conduite depuis le Tchad prend le pouvoir. Le mot rebelle prend de sens  dans le langage des centrafricains. BOZIZE va jouer à asseoir son pouvoir et puis installe un pouvoir familial et ethnique.

Le KNK, une caisse de résonance, vide de substance, la boite de nuit des grigous, des affamés, des godillots, des faux-bourdons et des charlatans. Ils y fourmillent.

L’armée ébranlée, va être abandonnée au profit d’une force dite de garde présidentielle à composante ethnique. La garde présidentielle le fer de répression et d’oppression du pouvoir de BOZIZE. Le pouvoir qui ne réside toujours qu’à Bangui, il va devenir le bien d’une famille. Les membres de la famille sont au gouvernement, au parlement, et partout où il y a entrée d’argent. Les détournements de fonds publics, la main basse sur l’or, diamant, ivoire, sont les exercices d’application de sa gouvernance. Les fils de BOZIZE aussi, en font à leurs princes. Toutes les indigences que peut connaître un pays sont ici réunies : c’est une gestion catastrophique avec un Président qui répète à qui le veut que lui et ses enfants n’ont pas mis pieds à l’université, allez-y comprendre. Une telle thèse fait de BOZIZE un président moyenâgeux, médiocre et égoïste qui exprime une haine viscérale contre les intellectuels. Le délestage de l’État est ici total. Les routes, les ponts et les infrastructures de nécessité publique  et sociales sont effondrés.

 

La tragédie

 

Michel DJOTODIA, et ses mercenaires islamophones tchadiens et soudanais(une unité  appelée Séléka) pratiquant un arabe frelaté venant du  Darfour à 95%, va balayer le pouvoir mafieux de BOZIZE et mettre à plat le pays par une destruction inouïe jamais vécue. Tout le territoire sera touché. Des exactions inhumaines : des hommes, des femmes et des enfants lâchement massacrés. Des viols, des vols, des braquages et des tortures. On n’est loin d’imaginer que c’est un pouvoir ; mais plutôt une opération punitive et revancharde. Une occupation, l’intention d’islamisation n’est pas loin d’être tenue comme thèse.

Le pays est  mis en coupe par les éléments de Séléka.  Le  pays est  battu et anéanti. On efface le moindre indice de l’État laïc susceptible d’exister. Séléka fait plonger le pays dans une grande terreur.

Les centrafricains par acte de bravoure vont occuper le tarmac de l’aéroport international du pays  pour dénoncer l’insécurité et les exactions des séléka. Et puis naissent les auto-défenses ou anti-balaka qui contribueront à équilibrer les rapports de force ; ils mettront en doute la machine de répression criminelle des séléka.

 

Pendant ce temps, DJOTODIA installe dans l’incapacité un gouvernement très prononcé et autres institutions puériles. Il n’a aucune autorité, et face aux exactions de Séléka, un désamour est installé au sein des populations et lui-même. Il est vu par la population comme quelqu’un qui serait venu de loin s’offrir un territoire par occupation comme le ferait un Sultan. Un  pouvoir dans le sang, la terreur, la souffrance et la haine. On frôle un affrontement interconfessionnel. La mémoire gardera la trace. Là aussi la justice est attendue.

 

La confusion abracadabrantesque

 

Du jamais vu mais ça s’est passé comme ça. A N’Djamena au Tchad on a fait faire démissionner Michel Djotodia sans forme et sur place il prit la route d’exil pour Bénin.

Dans la même confusion, Madame Catherine Samba-Panza devint Président de Transition et Ferdinand Nguendet le chef du parlement de transition. Une transition qui porte le drapeau  rouge des actes d’indélicatesse. Madame Catherine Samba-Panza organise les élections en 2015 et elle donne la victoire à Faustin Archange Touadera.

 

A l’issue de ces élections, Touadera signe un accord de paix à Khartoum avec les groupes armés quatorze(14) au total, dont trois(3) se révéleront être très dangereux, très équipés et très violents. Ils sèment la terreur et occupent une très grande partie du territoire de nord à l’est en empêchant le rétablissement de l’État dans les zones. Ils vont partager le pouvoir avec Touadera sans conviction et ni pouvoir de faire. Touadera devient ainsi chef domestique et incarne à lui tout seul son pouvoir, avec une gestion de l’État qui fait appel à un concubinage des grandes puissances et les chefs de guerre comme acteurs principaux, en exclusion des compétences que regorgent le pays, est tout simplement inacceptable.

 

 

La prise de conscience

 

Notre pays n’a jamais été gouverné au sens du terme de gouvernement qui consiste en la manière démocratique et responsable de diriger ou de conduire un État. Notre pays a été  toujours dominé et écrasé. Les gouvernements successifs ne se sont jamais préoccupés de s’occuper du pays. Ils ont été des pouvoirs dominants et non des gouvernements.

 

En somme, BOKASSA fut le seul chef d’État qui a tenté d’initier le progrès pour son pays avant que la folie impériale ne s’empare de lui. En 1975 notre pays a connu une autosuffisance alimentaire. On mangeait à notre faim ; le  fonctionnement de l’État était jusqu’à cette date presque satisfaisant.

Les autres présidents n’ont vécu pour eux, leur famille, leur ethnie et  l’appartenance à leur région. Ce faisant ils ont instauré une culture de l’intérêt personnel, donc égoïste au détriment de l’intérêt général.

 

Le centrafricain ne pense qu’à son  intérêt personnel que l’intérêt général. Il veut tout gagner dans la facilité et sans labeur. Il n’exprime aucune loyauté vis-à-vis de son pays. Le centrafricain veut son intérêt même dans le malheur et le déshonneur. Il est intéressé par les gains immédiats, et est prêt à se soumettre à tout, sans grande conviction. Il est médiocre voire incompétent. Il aime se satisfaire de la corruption.

 

Nos chefs d’États se sont toujours entourés de personnes limites et incompétentes. Ils préfèrent utiliser les petites gens, les petits esprits comme on utilise une bougie pour illuminer une table pour le dîner mais placée sur une réverbère elle est incapable d’éclairer une rue.

 

L’aide extérieur

 

Nous n’avons pas encore vu un seul  pays au monde qui a connu son développement ou tout simplement réglé  l’essentiel de ses problèmes sociaux grâce à l’aide de l’extérieur. Nous sommes culturellement demandeurs d’aide alimentaire et d’argent. L’aide est un recours qui doit être méritée. Notre recours à l’aide est une facilité qu’on adore de s’en leurrer.

 

La profusion des organismes non gouvernementaux sur notre sol sème la confusion et est aussi source de dérèglement et de déstabilisation. Les activités qu’ils mènent ont un impact contre-productif sur notre économie. Ils sont du milieu « d’affaires ou du business » de la charité. Notre malheur est la base de leur activité et comme toute activité, ils savent la produire et renouveler leurs offres au monde entier. Sur nos images infâmes, les ONG font leur chiffre d’affaires.

 

Les ONG ne peuvent pas se substituer à la mission de l’État. Les ONG se comportent comme des multinationales du secteur social. Ils imposent leurs diktats à nos gouvernements  pauvres en entretenant leur dépendance à leurs activités sociales. Ils affaiblissent et décrédibilisent notre pays et l’action de l’État.

 

Ces organismes ne sont, et ne seront jamais la solution à nos problèmes de développement. Ne leur donnons pas la raison de justifier leur présence sur notre sol. Le monde  aujourd’hui est avant tout  un monde d’intérêt  et le social tel venu d’ailleurs est un saupoudrage.

Il faut bien comprendre,  nous centrafricains ; personne ne fera pour nous, ce  qui relève de notre responsabilité et des conditions de notre vie. D’une manière ou d’une autre c’est nous centrafricains  de nous prendre en mains d’abord. SOYONS PASSIONNÉS POUR NOTRE PAYS.

 

La Discipline

 

La prise de conscience passe d’abord par une règle : la discipline. On ne peut rien entreprendre ou réussir une activité humaine sans application d’une discipline. Il faut s’appliquer une discipline ; le manque de discipline conduit au malheur. Le manque de discipline chez nos gouvernements dans la gestion de la chose publique a conduit au drame que vit le pays. Savoir imposer à soi-même des valeurs positives comme une armature, une intégrité morale, est une vertu qui peut être bénéfique pour ceux qui nous entourent et dans la prise de responsabilité.

 

L e déséquilibre social

 

A ce jour les femmes et les jeunes alors qu’ils forment plus de 80% de notre population active ne travaillent pas ou encore ne sont pas valablement occupés. Ils sont au chômage critique  et vivent de la «débrouillardise»: un désœuvrement continu caractéristique de la pauvreté. Socialement subsistent encore de sérieuses confusions au sein de nos populations, d’ordre ethnique et religieux. Les centrafricains continuent de se conduire ou d’entreprendre par des actes ethniques communautaires.

 

Le déséquilibre scolaire

 

L’éducation nationale est déséquilibrée, elle ne sait pas suivre l’évolution sociale et économique de notre pays. L’éducation nationale est trop ouverte aux études supérieures inadaptés et sans débouchées que les formations diplômant liées à des métiers professionnels techniques et d’artisanats pouvant aider les diplômés à se mettre à leur compte. On assiste au phénomène de la régression hiérarchique à l’école. Les certificats et les diplômes ont perdu leur valeur en tant qu’étalons de compétences. Avec l’ancien système on ne passait pas en classe de cinquième  avant d’être compétent en classe de sixième.

Aujourd’hui, le diplôme chez nous prouve simplement pour la plus grande part que l’élève a eu la compétence de supporter  un nombre d’années d’études sur les bancs scolaires et non qu’il mérite un niveau de compétence. C’est la sublimation de l’incompétence.

Les jeunes centrafricains sortent très tôt de l’école sans aucun bagage professionnel. Cette situation est très alarmiste dans la communauté de confession musulmane. Les filles sont lourdement victimes de la déscolarisation. Ils ne peuvent pas dans ce cas contribuer au développement de notre pays. L’école et la formation seront rendues obligatoires jusqu’à 18 ans et à charge de l’État. Le maître doit être le responsable de sa classe et le professeur,  le responsable de ses cours. Un conseil pédagogique se penchera sur la question des augmentations de niveau de compétences , nous attendons de l’école et de l’université.

Il faut savoir que tout problème social aussi négligeable soit-il, a toujours un impact sur l’économie et la politique.

 

Le déséquilibre sanitaire

 

Le système sanitaire est délabré, le manque d’infrastructures et de matériels est écœurant, les centrafricains n’ont plus accès à la santé et la vocation sociale et noble du métier de la santé est également détournée, celle de rendre la vie à des personnes souffrant d’une maladie. Les docteurs, les infirmiers et infirmières profitent du système. Beaucoup de médecins formés par l’État, se sont mis à leur compte et ne donnent plus rien à l’État. Aussi beaucoup d’erreurs médicales sont commises à l’hôpital. La responsabilité civile des soignants sera engagée si la faute de la pratique est avérée.

 

Le déséquilibre judiciaire

 

La justice pour tous et la loi la règle.

La justice dans notre pays souffre de corruption et de négligence dans le traitement des affaires juridiques. Les conséquences sont des plus désastreuses sur la valeur impersonnelle de notre justice. Beaucoup de nos compatriotes se plaignent de la justice au niveau du tribunal, la police, la gendarmerie. Notre justice doit lire le droit sans être inquiétée.

La RCA  se doit être un pays de droit et ceci  sans aucune autre forme de procédure, le droit et rien que le droit.

 

Le déséquilibre organisationnel

 

On ne peut produire que quand on est bien organisé. On ne contrôle que ce qui est bien organisé.

On a une organisation étale et fixe, terriblement cloisonnée et sans rendement. Un personnel de l’Etat est pléthorique, tous des individus se prétendant de hauts diplômes mais diplômes galvaudés, en manque d’activités. Au sein de l’organisation de l’État, il y a des chômeurs. L’État a embauché plus que le besoin réel de son fonctionnement. Les emplois administratifs sont en général limités. L’État, pour faire fonctionner les administrations n’embauche qu’au besoin. De toutes les organisations dans notre pays, d’ordre public ou privé, l’État est la source de toutes les incompétences qui minent le pays.

 

Le manque de compétences

 

Notre pays manque  cruellement de compétences.

Le manque de compétences n’est pas seulement sur le plan humain mais le plan physique et matériel: les petits ateliers de fabrication, l’électricité, l’eau potable, les routes, les ponts, les hôpitaux, les écoles et universités, les habitations, les hôtels et restaurants, les terrains de sport,  les grandes salles de spectacles et de conférences, les places de loisirs, etc…

 

Les finances nationales

 

MGR YOMBANDJE  a été  si pertinent à ce sujet dans une interview  qu’il a accordée au journal « le confident » à l’issue de la mission qu’il a assurée à la tête des Etats généraux des finances en 2011. Nous prenons ici ses conclusions.

Nous ne produisons pas assez ni de façon rationnelle pour prendre en charge les dépenses nationales avec une marge de sécurité rassurante. Les besoins de fonctionnement de l’État sont de plus en plus grands. La mobilisation et la gestion des ressources de l’État ne sont pas  transparentes ni responsables. Le déséquilibre budgétaire est  inexorablement patent et  chaque année. L’État ne vit que de la fiscalité et non de la production.

 

Il nous faut entrer dans l’ère de la perspective de production plus développée et d’investissement pour accroître les capacités financières de l’État. Cela suppose un réel changement de mentalité et une volonté politique réelle sans ambiguïtés pour relever  le défi afin de donner l’opportunité à notre  pays d’entrer  enfin dans l’ère de la prise en charge de son destin à court et long terme.  L’État doit se prendre en charge sur ses fonds propres et que l’aide extérieure est une aide méritée. Il  faut des actions techniquement élaborées  que les politiques orientent par des décisions éclairées. L’économique prendra plus de place que le politique et on aura besoin de toutes les forces vives pour arriver à ce tour de force national.

 

Pour relancer  l’économie et accroître la prospérité de notre pays, de principe l’innovation de l’agriculture, le partenariat public-privé pour éviter de freiner l’élan d’investissement et de création d’emplois. Aujourd’hui les centrafricains sont très pauvres et si on veut qu’ils deviennent moins pauvres, il faut en finir avec les petits boulots de dépendance sociale que leur offrent les ONG détruisant en eux tout sens du risque, de l’initiative et du travail  réellement économique. Les ONG sont les créateurs de ce monde clos de l’assistance sociale qui dissimulent aux pauvres, adultes et jeunes, les réalités les plus fondamentales  de leur vie : pour vivre bien et  échapper à la pauvreté il faut  tout faire pour conserver une famille unie et travailler davantage.

L’agriculture est notre seule voie de développement. Sacrifions nos efforts à l’agriculture contre des espoirs prometteurs incertains de l’exploitation des minerais de notre sous-sol, même si ils offrent des avantages. Nous innoverons l’agriculture par notre concept des micro-fermes.

 

La créativité

 

Il faut exercer notre esprit à la créativité. La créativité n’est pas le seul monopole des professionnels de la création. La créativité s’apprend. Elle peut s’apprendre à plusieurs  niveaux. Le centrafricain ne sait pas entreprendre.

Pour créer, il faut pouvoir créer, il faut vouloir créer, il faut savoir créer.

Il faut pouvoir créer : il faut avoir regardé le problème à résoudre au fond des yeux, il faut avoir collecté toute l’information sur lui, en avoir bien isolé les contraintes et les variantes, en avoir fait l’inventaire le plus exhaustif possible.

 

Il faut vouloir créer, et outre le fait d’avoir envie de résoudre un problème ponctuel, il faut avoir développé chez soi et ceux qui nous entourent ces attitudes et aptitudes propices que sont la logique associative, l’acceptation inconditionnelle même de l’improbable, cette flexibilité qui permet de déboucher  sur des croisements étonnants , tant il est vrai que rien ne naît de rien et que la création n’est souvent que la réorganisation de réels préexistants, mais ressortissant jusqu’alors à des univers disjoints.

 

Il faut savoir produire des idées. Il existe en effet des techniques de production, ou plus exactement de stimulation  de l’imaginaire, qui consistent en la reproduction systématique et, il faut bien le dire, artificielle de ces processus, bien connus aujourd’hui, et qui font d’un chercheur  un « trouveur ».

Au final, il faut savoir reconnaître les « bonnes idées » car combien de « bonnes idées » ont-elles ainsi été abandonnées, faute d’avoir été reconnues et testées. Un des postulats fondateurs de la création : le groupe est la situation créative privilégiée.

 

Le défi du développement 

Le développement est notre seul défi. Trouvons une politique de développement et sacrifions nos efforts mais des sacrifices évalués et comptons sur nous d’abord.

Donnez l’exemple d’un pays qui a connu son développement grâces aux aides étrangères !  Il n’y en a pas.

Donnez l’exemple d’un pays qui  a connu son développement grâce aux concours des ONG. L’abondance des ONG dans notre pays est le verdict d’un jugement sans vergogne que la RCA est un pays malade, un pays d’assistanat. Les ONG doivent se limiter au juste idéal social qu’incarne la question des droits de l’homme, la justice, la santé: la croix rouge, médecins sans frontières.

Donnez l’exemple d’un pays qui a connu son développement grâce à la production :  c’est l’Angleterre, c’est la France, c’est l’Allemagne et les Etats unis.

Plus récemment, ce sont les pays asiatiques qui se sont illustrés en profitant de l’éclosion technologique pour atteindre le même niveau de développement que les vieux pays industrialisés de l’occident.

 

Ces pays, pour en arriver là, ont fait un choix politique et se sont sacrifiés. Par exemple  dans les bouquins parlant de la réussite asiatique, ces pays ont consacrés plus de 60% de leur budget national à l’éducation pour former leurs enfants dans le domaine technologique, 10 ans plus tard et c’est le succès.

 

Nous allons faire de même. Nous allons nous sacrifier et c’est choisi, c’est le concept innovant des micro-fermes et la technologie.

Beaucoup de nos compatriotes par manque de ténacité et par manque de culture du résultat qui parfois pour l’atteindre est long, vont pleurer ; mais c’est une pleure nécessaire et c’est le coût à payer.

L’USD-COMODES pour sa part, l’ensemble des actions, des mesures à mettre en place pour progresser  sont simples. Ce sont ces choses simples là que nous devrions réaliser pour avancer.

Vous direz que les choses simples sont difficiles à réaliser et vous n’avez pas tort. Mais si certains hommes sous d’autres cieux ont réussi leur rêve, nous aussi, nous le pouvons.

 

C’est pour cela, l’USD-COMODES dit que nous allons payer les conséquences de notre immobilisme, de notre culture de facilité, à tout demander aux autres sans produire nous-mêmes. Produisions  maintenant et donnons aux autres. Nous sommes capables car nous avons la terre. Montrons aux autres que nous sommes devenus une solution, que nous ne sommes plus le pays qui demande ou qui revendique, nous pouvons aussi nous, contribuer à trouver des solutions aux problèmes simples des hommes.

 

Notre pays est confronté à des épreuves et à des difficultés de tout ordre qui menacent sa sécurité, sa prospérité, son existence. C’est pour cela, l’USD-COMODES dans ce ton grave et sévère sans se prendre à aucune  formule de politesse,  que nous devons nous lever pour empêcher notre pays de sombrer dans la position du pays toujours demandeur d’aides et de secours et sortons de cette position qui fait de nous un peuple fainéant et incapable, un peuple qui aime la soumission. Ce cycle que nous venons de connaître est assez suffisant pour nous faire prendre conscience.

 

USD-COMODES est engagé comme la nouvelle culture et ne se détournerait pas de cette vision qu’elle a de son pays. Nous pouvons.

 

USD-COMODES déclare la fin de  la délinquance, la fin  du  désordre public,  la fin au vol pour ne pas dire détournement, la fin à la corruption qu’elle considère comme crime et le criminel connaît son sort.

Place au respect de la République Centrafricaine. Place à la dignité de la République Centrafricaine. Place à la rigueur et la discipline.  Place au sens de la responsabilité.

 

La marche vers le bonheur politique ou la félicité sociale

 

La vocation de la politique est de  se mettre au service des autres. Le dévouement total,

à une cause qui compte pour tous ceux qui nous entourent, et par extension à l’humanité, est éminemment inspirant et peut être source d’une détermination inconditionnelle.

Le bonheur politique, c’est la satisfaction d’avoir accompli une grande tâche pour le bien d’autrui.

Les hommes sont capables de s’affranchir des états mentaux qui entretiennent leurs souffrances et celles des autres, pour trouver la paix intérieure et contribuer au bien d’autrui. Il ne suffit pas de le souhaiter : il faut entraîner son esprit pour.

L’homme doit se mettre au service de la vertu entendue ici comme le dévouement à la collectivité et pour plus d’égalité de jouissance entre les hommes, c’est la marche vers la félicité sociale.

 

L’État a l’obligation d’apporter le développement, l’État doit être entrepreneurial, il doit distribuer le pouvoir économique aux citoyens.

Il y a trois choses importantes à l’homme : l’unité de sa famille, sa sécurité et sa vie satisfaisante.

A ne pas oublier que « Le sang versé de nos compatriotes dans les tragédies que le pays a connu est une semence de l’unité et de la paix ». Plus jamais ça.

USD-COMODES,  est un parti qui s’appuie sur des réalisations de projets de développement. Il doit bâtir un État, fort et économiquement.

 

 

Bibliographie du leader.

Robert ENZA né le 24 avril 1956 à Fort Crampel

Père de 5 enfants :

 

Études :

Diplôme d’Ingénieur commercial ( Bordeaux/ France )

DESS entrepreneuriat et de gestion de projets Innovants (Université Montesquieu Bordeaux IV /France)

DESS organisation et management (IESTO-CNAM de Nantes / France).

 

Fonctions exercées :

Chef de rayon liquides, Super marché groupe Casino /France ;

Assistant marketing, Société Schneider Electric à Grenoble / France.

Responsable comptable, Société Leroy Somer, Filiale à Vierzon /France ;

Assistant  Administratif et financier, Société Uramin Inc. RCA ;

Directeur des Ressources Humaines, Société AREVA Ressources Centrafrique ;

Chef de division des Ressources Humaines, Société, Moov-Centrafrique.

Ancien Vacataire des cours de contrôle de gestion et gestion financière en Master1 et Master 2 depuis 2003 à  2018 à  HEGC, NEW TECH, IIM, FASEG, à Bangui.

Auteur de plusieurs articles publiés dans les journaux locaux.

Court séjour (10 mois) au ministère de la défense, une belle découverte et la connaissance du département.

 

Pays séjours professionnels

France (Paris la Défense)

Afrique du sud (Johannesburg )

Arabes Émirats Unis ( Abu Dabi)

Cote d’Ivoire (Abidjan)

 

Politiques

parti communiste, parti socialiste et de l’UDF français ;  MLPC et UPADES ; Secrétaire général du CIDD (comité pour  l’information et la défense de la démocratie) à Bordeaux.

 

Signes zodiaques : taureau chez les romains ; Noyer  chez les grecs ; singe de feu chez les chinois et signe numérologique, le chiffre  4.

Le prénom Robert, en langue celte : ours rouge

 

Caractéristiques de Robert :

Compétiteur dans l’âme. Grande foi morale, désir d’harmonie. Courageux et intuitif. Dévoué et exigeant. Sociable et soucieux de loyauté. Fidèle et généreux. Diplomate et patient. Dynamique et infatigable.

Tenace et souple dans les affaires. L’amitié  représente pour lui une valeur essentielle.

Homme  de confiance (chiffre 4) car carré.

Par Robert ENZA

Président

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