Centrafrique : Non à la création d’une milice d’État à la solde d’un pouvoir aux abois (Par David Bohong)

Publié le 29 octobre 2014 , 6:26
Mis à jour le: 29 octobre 2014 6:26 pm

Corbeau News Centrafrique (CNC): 29-10-2014,  23h19

 

Camp militaire de Kassai à Bangui en RCA

Centrafrique : Non à la création d’une milice d’État à la solde d’un pouvoir aux abois (Par David Bohong)

Longtemps considérée comme un havre de paix et de prospérité en Afrique, la Centrafrique a basculé depuis décembre 2012 dans un cycle de violences entretenus par les criminels et bandes de prédateurs.

Le pouvoir impopulaire et incompétent de Catherine Samba-Panza qui tire à sa fin est en train de créer une nouvelle milice d’État au sud de Bangui dans le septième arrondissement notamment à Ouango totalement à sa solde pour exterminer le peuple Centrafricain. Les instigateurs de cette bande organisée sont DEMAFOUTH, SOKAMBI, SAYO et bien d’autres.

C’est pour quoi nous demandons à la Communauté Internationale d’ordonner la dissolution pure et simple de ce fameux Bataillon d’Intervention Rapide version Samba-Panza et constitué uniquement des anciens mutins et ex-soldats FACA en retraites rappelés urgemment pour circonstance par la voleuse de l’argent du peuple Centrafricain envoyé par l’Etat ANGOLAIS.

Ceci risque de produire d’immenses tensions dans le pays en discriminant toute une frange de la population surtout toute la population ayant réclamé le réarmement des FACA et non la constitution de milice à la solde d’un pouvoir aux abois réputé par les prédations et détournements de deniers publics au détriment de la pauvre population centrafricaine. L’objectif de cette nouvelle stratégie montée à la va vite par CSP, Demafouth avec les mutins Yakoma et APRD de Sayo est d’empêcher la tenue du dialogue nationale surtout de l’élection prochaine prévue pour début 2015.

Catherine Samba-Panza a détruit complètement tout ce qui reste de la Centrafrique pour la ramener à l’âge de pierre. La solution pour ré dynamiser la Centrafrique est le retour à l’ordre constitutionnel rapide.

 

PAR : DAVID BOHONG

 

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