Mutation Politique et Gravissime Socialement en Centrafrique, avec les conséquences politiquement préoccupantes.
Rappel bref : L’histoire Politique de la République Centrafricaine est faite de continuités rompues par des événements majeurs : la révolution dans l’armée, appeler le coup d’État de Saint-Sylvestre de JeanBedel BOKASSA. Le coup d’État de la Saint-Sylvestre est un coup d’État organisé par l’officier supérieur de l’époque, Monsieur Jean-Bedel BOKASSA, chef de file de l’armée de la République Centrafricaine (RCA), et ses officiers, notamment le feu Monsieur Alexandre BANZA, contre le Gouvernement du Président David DACKO le 31 décembre 1965, jusqu’alors le complotiste d’un dirigeant Français avec ces homologues Africains de l’époque, Monsieur Valerie Giscard d’Estaing et Monsieur David DACKO …L’Empereur Jean-Bedel BOKASSA, vient alors d’être renversé par une…Intervention Militaire Française sur ordre du Président Valerie Giscard d’Estaing (Opération Barracuda et Opération Caban). Réinstallation au pouvoir pour une deuxième fois le Président David DACKO
Un autre…Pseudo Coup d’État du Général André KOLINGBA ! À la chute de celui-ci en 1979, le Président David DACKO, installé par La France, nomme le Général André KOLINGBA … chef d’étatmajor des armées. Ce dernier a son tour…Démet le Président David DACKO de ses fonctions le 1er septembre 1981 et suspend la Constitution. Ce putsch a parfois été présenté, notamment dans la presse occidentale, comme un « Pseudo Coup d’État », le Général André KOLINGBA régnait à son tour sur la tête du Pays à côté de lui, un Français chef de sécurité présidentiel le Colonel Jean-Claude MANTION dans le cadre de la coopération entre la France et la République Centrafricaine, ce Colonel membre de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE) de la France. C’est notamment grâce à lui qu’est déjouée la tentative d’un putsch menée en 1982 par Monsieur Ange-Félix PATASSE.
Vue les circonstances ! Le 21 novembre 1986, un référendum permet tout à la fois l’adoption d’une nouvelle Constitution et la désignation du Général André KOLINGBA comme…Président à vie ! Au passage en 1987, celui-ci fonde le Rassemblement Démocratique Centrafricain (RDC)… Parti unique.
Tous ces remous et combat politique unanime et pression politique des opposants…En 1991, à la suite d’une série de grèves et de manifestations et sous la pression du président français de l’époque le Président Français… Monsieur François MITTERRAND, lors de la Conférence de la Baule, il amorce le processus de révision de la constitution en Faveur du Multipartisme… !
Enfin le Multipartisme et processus…, perspective de l’organisation des élections démocratique et avec en vue d’un ancrage de la Démocratie ! En 1993 Monsieur Ange-Félix PATASSE est élu Président de la République Centrafricaine. Début d’une Présidence, du Président Ange-Félix PATASSE plus ou moins…calamiteux, Le premier mandat qui se suivra par la suite des mutineries puis…La tentative de… Coup d’État de 2001 en Centrafrique est une tentative de Coup d’État menée par des commandos des forces armées centrafricaines dans la nuit du 27 au 28 mai 2001 ayant pour but de renverser le Président Ange-Félix PATASSE. Les perturbations des dirigeants et la République aux abois et les tensions, les accusations tout-azimut pour finalement … Le Gouvernement Centrafricain d’Ange-Félix PATASSE, Président depuis 1993, est renversé en son absence par l’ancien Chef des Armées Monsieur François BOZIZE
Nb) A chacun son tour chez le coiffeur l’histoire des régimes en République Centrafrique !
Renversement du Président François BOZIZE en République Centrafricaine…Peu après la signature d’un accord de paix avec le Gouvernement, le 11 janvier 2013, l’opposition des factions armées non conventionnelles baptisé Séléka repend les armes et s’empare de plusieurs villes importantes de la République Centrafricaine. Son pouvoir fragilisé, le Président François BOZIZE quitte le pays le 24 mars précipitamment. Son successeur sera Monsieur Michel DJOTODIA, une figure de proue de l’opposition factions armées non conventionnelles baptisé Séléka, suit a des multitudes exactions causées par ces rebelles et milices non maitrisées, Monsieur Michel DJOTODIA laissant le pouvoir quelques mois plus tard pour une courte transition in-extrémiste remplacé par Monsieur Alexandre-Ferdinand N’GUENDET, Puis Madame Catherine SAMBA-PANZA, dans une Nième transition dite consensuelle et un travail abattu de consultation Républicain en vue d’une remise à l’ordre constitutionnel, par la Transition de Madame Catherine SAMBA-PANZA …afin de prévenir l’avenir.
Ps) Pour une République Centrafricaine à la remise de l’ordre Constitutionnel espéré de tous, (ttes) des Centrafricains(es), ce qui suivent… Les élections groupées de 2016…Monsieur Faustin Archange TOUADERA a été élu Président de la République Centrafricaine, espoir d’une rupture tant entendue de tout ce qu’on sait, le contraire des régimes issus de coup d’Etat, et des Transitions.
Nb) Oh ! Centrafrique …Pays de tous les Paradoxes…Aucune Leçon Tirée de tous ces Acteurs Politiques, les Dirigeants pour l’heure aujourd’hui !
Qu’est-ce qui a vraiment échoué…en République Centrafricain ?
Le Pays du père fondateur Monsieur Barthélémy BOGANDA, vis-à-vis de la Politique que les peuples Centrafricains continu de subir !
Ruptures Sociales implicitement orchestré par le régime de Bangui, Crises politiques aiguës. Mais les données sociales sur lesquelles se construisent les interactions politiques sont erronés vraiment, absence des socles relationnels, et sociales qui fondent la Nation et la vie politique, les populations subissent des évolutions constantes négativement et finissent par engendrer des manière continuelles les négations sociales, pour ne pas dire une révolution quand les citoyens auront marres, et qui causeront les déroutes de la Nation, et par ailleurs auront des effets incommensurables vis-à-vis de la souveraineté et en compromettant l’avenir de la République Centrafricaine qui déjà hypothéqué. Dont les conséquences seront tragiques vue la somme. Nb) Ne pas le dire… c’est être complice.
Les constatations pour lesquelles l’histoire politique en République Centrafricaine ne trouve pas sens le plus noble malgré tout, et tous ces aspects tumultueux. Elles connaissent des mutations négatives et sensibles et nombreux des éléments antagonistes qui en constituaient le socle s’émoussent, provoquant l’affaiblissement – à côté de causes politiques afférentes aux luttes pour le pouvoir – des protagonistes importants des scènes politiques que sont les politiques. Les césures de l’histoire politique sont aussi le produit de ces courants de fonds, qui se refondent et ne peuvent pas s’expliquer uniquement par quelques ébranlements dans les calomnies, les diffamations, les éliminations physiques de tous ceux qui auront une opinion contraire.
Toutes ces transformations ultimes et négatives dans la société Centrafricaine, à la lumière de la situation passée et en regard de la problématique dégagée dans la première partie, deux dimensions principales seront privilégiées : les changements liés au développement des systèmes politique dans toute ces splendeurs, éducatifs de toute une génération future et ceux découlant de l’accélération de la re-civilité éducative du peuple Centrafricain…Des cultures d’Excellences à Rétablir qui sont aujourd’hui et quasiment disparaitre.
Nb) L’Emergence Exponentielle de la Médiocrité…Accrue comme Culture Politique et de la Gouvernance. Aussi par ailleurs, pouvoirs autoritaires, égale une société bloquée et dû au trafique des influences négatives
La République Centrafricaine connaisse de profondes transformations des systèmes politiques respectifs des institutions pas dans le bon sens à mon avis. La preuve en est cette remarque à la déstabilisation de la République Centrafricaine dans les différentes institutions, en paralysant pour ce qu’elles sont, que pour ce qu’elles ont été et ce qu’elles seront », traduisant le fait qu’une période de transition régressive est en cours malgré une nouvelle constitution voté plus récemment. La nouvelle constitution du pouvoir et de nouvelles exigences d’emprise sur la société se font jour. La politique en République Centrafricaine n’est plus seulement l’apanage des hommes politiques, avec son monologue, son monopole sur les fonctions représentatives et son contrôle sur la terre Centrafricaine. D’autres acteurs tentent d’affaiblir les lieux de pouvoir traditionnels et de nouvelles formules politiques émergent, incarnant ces inflexions : l’alliance entre certaines tendances des factions armées, des mercenaires de tout genre, des milices, des Liveurs patentés ou Influenceurs, toutes ces…Ramifications disqualifient les enjeux nobles de la mission de la politique auxquelles… ! On doit prêter attention sérieusement…c’est un appel sincère aux hommes politiques Centrafricains, quel que soit leur bord ou parti politique.
Tous ces groupes (Factions armées, Mercenaires, Milices et Associations tendancieuses, Liveurs patentés ou Influenceurs) ont une volonté d’imposer un contrôle strict sur la Politique Centrafricaine par les uns et les autres via les réseaux sociaux a pour des conséquences hors contrôle. D’où l’expression tous les chats sont gris la nuit (des manipulations de tout bord).
Le rapport entre ces tendances en gestation et certain des hommes politiques qui encourage ces genres des pratiques pose un problème essentiel du principe primaire d’un homme Politique…les (REI) ➔ de la Responsabilité, d’Ethique, d’Intégrité.
Nb) Il faut bien savoir, la mise en évidence négativement d’un pouvoir n’est jamais aussi forte que lorsqu’il gouverne une masse désarmée sous un corps intermédiaires. Toutes ces désordres de tout ce que j’écoute sur les réseaux sociaux, dans les cacophonies urbaines des Liveurs représentent ces corps intermédiaires au sens de la déliquescence de l’Etat, et la force de domination d’un pouvoir atteint son zénith quand il parvient à orienter et domestiquer à son profit les principales interactions sociales.
Fonctionnement, perpétuation et perspectives
Si les ambitions de transformation ou de modernisation de la société Centrafricaine affichée dans la rhétorique de la modification de la constitution officielle se sont affadies ou sonnent creux, l’omniprésence de l’État/Régime, comme allié des groupe-armées, mercenaires, milices a profondément renouvelé les rapports de force entre ces groupes et les politiques. La politique actuelle en République Centrafricaine s’enracine dans les mutations sociales les plus négatives que la République n’a jamais connue, dont le Pays et le pouvoir ne bénéficierait à jamais en espérant consolider sa politique. Par ailleurs la nouvelle constitution induise par la suite en vue de Transformation Politique, Economique et Sociale par l’intermédiaire de leur contrôle exclusif de l’appareil d’État et du développement de ses potentialités transformatrices. L’effet rémanent de ces stratégies d’ancrage se fait sentir jusqu’à nos jours non concluants, l’effet inverse qui devrait permettre la perpétuation du régime considéré à leur arrivée à l’objectif comme plutôt incertains. Les conséquences de la crise sociale se fonds sentir …En bon entendeur salut !
Que Dieu bénisse la Centrafrique… !
Diaspora Mr. Aubin-Roger KOMOTO
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