La République en œuvre d’un Concept de pourrissement politique et institutionnelle tout azimute

Publié le 5 mars 2024 , 5:16
Mis à jour le: 5 mars 2024 11:43 am

La République en œuvre d’un Concept de pourrissement politique et institutionnelle tout azimute

 

Le président Faustin Archange Touadera en costume bleu, endormi complement lors d'une conférence internationale
Le président Faustin Archange Touadera endormi complètement debout au milieu des deux femmes diplomates lors d’une conférence internationale

 

Bangui, 06 mars 2024 (CNC)

 Le concept de pourrissement des différents organes d’état et les institutionnelles par le pouvoir aujourd’hui à Bangui atteints ces paroxysmes. 

Par ricochet œuvrant toutes sortes des stigmatisations de ses opposants quelques soit l’opposition politique, société civile, les patriotes combattants…, les associations œuvrant pour une vigilance des droits humains et des fondamentaux.

Du point de vue du pouvoir…, Toutes manifestations, grèves, réclamations sur les principes de droits et obstruction de l’opposition dans les assemblées, les sortis dénonciatrice …des alertes dû à la mauvaise Gouvernance, de l’injustice …dont le seul optique de contribuer à l’exercice démocratique, apparait comme une sorte des vacarmes, insultes, pamphlets au pouvoir …etc. sont autant de tactiques destinées à lui pourrir la vie ou leur pouvoir.

 

Selon l’adage. : Le pouvoir rend aveugle et effaçant tous discernements.

 

Le constat est très amer en République Centrafricaine a un haut niveau, le pourrissement n’est donc pas entendu dans le sens passif de laisser pourrir une situation, mais dans le sens actif d’un pouvoir afin d’assoir sa suprématie.

 

Nb) J’invite les hommes politiques de l’opposition, voire ceux de la majorité qui ont encore le sens de la justice et d’honneur, de la responsabilité…, Ceux de la Société Civile, les Associations de Droits Humains de s’unirent pour la justice pour tous et toutes.

 

  • L’arrestation hier d’un débuté sans le levé de son immunité parlementaire, l’honorable Dominique YADOCKA du 4ième Arrondissement de Bangui, jusqu’alors en détention illégale !
  • L’arrestation d’un officier de l’armée Centrafricaine (FACA), devant ces troupes, par des supplétifs étrangers non conventionnels.
  • Et maintenant l’arrestation de l’imminence Me Crépin Mbouli GOUMBA, Ancien Ministre d’Etat, Chef & Président d’un parti Politique de surcroit….. !

 

Que pouvons-nous penser dans la trajectoire Politique qu’emprunte, la République Centrafricaine ?

 

Un seul individu visible peut avoir une capacité de forte nuisance pour un besoin de pérennisation de son pouvoir ! Et qui s’exprime à travers ces adeptes et griots !

 

S’avantager dans ces ordres…et désordonner sans discernement, de faire passer les luttes politiques pour des tactiques de pourrissement multiples. Il y a d’abord la connotation négative du terme qui permet de faire passer les opposants politiques pour des emmerdeurs, dérangeants le bon fonctionnement de la République !

 

On est dans quelle République et quel Régime en République Centrafricaine ?

 

Pourrons-nous, nous prévaloir d’un régime Démocratique en Centrafrique ?

 

Ce qu’il faut savoir la stratégie du pouvoir Centrafricain, va ainsi de pair avec le « syndrome Nimby » (Not in my backyard, ou …Pas de ça chez moi…) ou je peux résumer : « c’est-à-dire touche pas à mon pouvoir …Comme s’il y’avait pas un précèdent pouvoir en Centrafrique ! » …Pour ne pas dire un Concept inventé aux États-Unis par les promoteurs de projets d’aménagements, pour décrédibiliser les mouvements d’opposition en renvoyant leurs motivations dans l’ordre psychopathologique : « La volonté de rationalité du débat, se heurte à des résidus fantasmagoriques contre lesquels la lutte est ardue, à besoin d’Union et Solidarité, Détermination », malheureusement ce que beaucoup des Centrafricains(es) ne comprennent pas encore ou la plupart. « La situation est très grave car on touche à la Démocratie, du bon fonctionnement de la démocratie sur la base des fondamentaux d’état qui sont » :

  • Séparation des pouvoirs (législatif, exécutif, judiciaire) ;
  • Souveraineté du peuple ;
  • Élection des représentants digne de ce nom ;
  • Coexistence de plusieurs partis politiques ;
  • Égalité des droits ;
  • Respect des libertés (d’expression, d’association, de la presse, etc.).

Pour rappel : Les trois pouvoirs définis par une Constitution sont le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire. La Constitution organise leur rôle mais aussi les liens qu’ils entretiennent, notamment la manière dont ils se contrôlent les uns les autres

 

L’engagement de la responsabilité publique repose sur divers fondements : la faute, le risque, l’égalité devant les charges publiques, la notion de garde. Ces fondements sont les principes justifiant que soit imputée à la puissance publique l’obligation de réparation de certains préjudices.

 

Pour engager la responsabilité de l’administration, il faut donc démontrer l’existence d’une faute, un préjudice et le lien de causalité entre les deux. Toutefois, il existe des cas de responsabilité administrative sans faute ; la victime n’aura alors pas besoin de prouver la faute pour obtenir réparation.

Nb) Notre République est malade à travers ces trois institutions citées ci-dessus dans sa représentation et les effets passifs !

 

Les arrestation et détention arbitraire d’un citoyen et encore des imminents fils de notre Pays, qui sont pleinement dans leur rôle d’émetteur des alertes politiques et de ces disfonctionnements pose un sérieux problème pour l’avenir.

 

Qu’est-ce que la détention arbitraire ? La détention arbitraire est une violation du droit à la liberté faut-il le rappeler !

Elle désigne l’arrestation et la privation de liberté d’une personne dans le non-respect du droit national ou des standards internationaux. Les traités internationaux peuvent en effet être invoqués pour garantir le droit à la liberté si la législation nationale protège l’individu d’une manière incomplète ou partiale.

Nb) Il ne faut pas seulement être un homme de droit pour comprendre ça ! Le pire beaucoup des hommes qui se disent Hommes de droit des intellectuels qui nous Gouvernes manques de cette clairvoyance et lucidité pour l’avenir.  Soit des docteurs en droits commettent des parjures institutionnels, pour ne pas dire, les interprétations erronées sur le plan juridique.

La détention peut être illégale sans être arbitraire et inversement. L’illégalité signifie simplement la non-conformité avec le droit, tandis que l’arbitraire fait référence au caractère inapproprié, injuste, imprévisible ou disproportionné de la détention.

Diaspora,

 

Par Mr. Aubin-Roger KOMOTO

Corbeaunews Centrafrique

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