La République Centrafricaine : Pays Sanctuariser par les Rebelles et l’état d’Urgence !

Le président Faustin-Archange Touadéra, candidat à un second mandat le 27 décembre 2020, lors d’un meeting à Bangui, le 19 décembre 2020.  
Le président Faustin-Archange Touadéra, candidat à un second mandat le 27 décembre 2020, lors d’un meeting à Bangui, le 19 décembre 2020.   CopyrightDR

 

Quelle sera l’avenir du peuple Centrafricain dans tout ça ?   

La coalition des factions armées et les alliés politiques qui continuent de perpétrer, encourager  la tragédie, les souffrances  des Centrafricains(es)  a l’intérieure du Pays, tant à l’extérieur  occasionnant les masses populaires vulnérables en faisant des réfugiés. Les souffrances de nos compatriotes doivent nous interpeller tous (ttes), en mettant nos divisions, stratégies égoïstes à côte.

Nous…, les peuples Centrafricains(es), dans sa majorité, Démocrate soit Républicaine, devrons crier plus haut avec fermeté et détermination que nous ne sommes pas comme eux et, nous ne partageons pas leur vision de coquette du pouvoir, et de la manière de faire de la politique ou une recherche quelconque d’accession à la responsabilité dans notre Pays.

 

La future de la Centrafrique doit être ce que les Centrafricains eux-mêmes décideront d’en faire et non les groupes armés non conventionnelles avec leurs alliés et mercenaires qui arpentent la République, en prenant le peuple en otage, pillent les richesses souterraines de notre cher Pays.

Appels aux Centrafricains(es) à la vigilance. Le récent évènement pas si lointain démontre, de l’avènement chaotique de la coalition « SELEKA », et nouvellement dans l’actualité politique Centrafricaine prétextant, créant une nouvelle coalition baptisé « CPC : Coalition pour le Changement  », en préambule d’une nouvelle tragédie qui se profile et s’affligera à nouveau au peuple Centrafricain,  les raisons gardées, sont nombreuses. La dernière élection groupée : mal organisé, du moins mauvaise stratégie ou tac-tic onéreux, dispendieux, dans les organisations et agencement, ont engendrés cette colère, la violence inhumainement qu’endurent les Centrafricains(es), n’est jamais constructive.  De surcroit, quoi que ce soit…de positive,  moins encore à la reconstruction d’une Nation si divisé par des intérêts égoïstes des tous ces acteurs en vue les factions armées non-conventionnelles, des hommes soient politiques imbus de leurs personnes  qui se caches derrières ces mercenaires, sont très  néfaste pour le Pays.   Les allégeances contre nature envers un chef décrié, combattus, trahis dans le passé,  aujourd’hui présente une contradiction d’intégrité, de la cohérence dans les postures, de l’honnêteté  intellectuelle, politique de certains hommes politiques Centrafricains.

J’appelle aux compatriotes déviants de revenir dans la République, de respecter les institutions de la République. J’exhorte toujours dans mes réflexions  à mes compatriotes : une Responsabilité Républicaine, l’Ethique Républicaine, la Responsabilité Citoyenne, quand on veut faire de la politique, pourtant bien passe par l’unité, de l’exemplarité entre les citoyens, par…d’abord la solidarité sans discrimination des peuples confondus et le respect des uns et des autres, respect de la religion de tout un chacun. Donc, les compatriotes Centrafricains et, tous ceux qui sont dans la déviance…Pour n’importe quelle mauvaise raison, de revenir dans la République, mener un combat politique seine de vigilance en respectant les institutions de la République, d’avant-gardiste pour l’intérêt générale du peuple Centrafricain, afin d’aidée à la reconstruction de notre Nation, un héritage qui sera légué à la nouvelle génération.

Pour qu’une Nation vive, il faut que les groupes, les clans, les esprits tribaux, des ethnies meurent. Ce n’est pas une vue d’esprit. Mes Chers(es) compatriotes pour défendre notre patrie, il faut commencer d’empêcher les ennemies du peuple Centrafricain, d’atteindre leurs objectifs.  Ce qui se passe en Centrafrique, les Responsabilités sont collectives et dissonantes sur deux points et, qu’il faut bien discerner entre :

Le pouvoir en place :

Vis-à-vis du pouvoir en place aujourd’hui en Centrafrique, de la manière de Gouverner, les compositions des équipes dirigeantes, les entourages bardés de Griots…, les choix sans aucune base de qualifications, d’expériences…voir un mélange du genre, des proximités collaboratives tous azimut, confondus, irrationnelles…etc. Pour tout dire un Pays complètement déstructuré sur le plan des institutions et de l’autorité d’Etat sur l’étendue du territoire, a bien besoin de la clairvoyance, des compétences, d’expériences.  Les sommes des efforts consenties ou la résultante de l’accord de Khartoum très mitigé, malgré tout, encore un acte manqué !

En écoutant comme tous (ttes) les Centrafricains(es) attentivement le mot Résilience, dans l’un des discours du chef de l’Etat.  Voulons faire un appel avec ce mot : « la Résilience » d’un peuple, sous le coup d’un traumatisme des factions armées non-conventionnelles et ces mercenaires et de lui dire : regardez nous rebondirons, pour ma réélection vous devez accepter donc ma politique en qualité du chef de l’état réélu pour une nouvelle Quinquennat.  Le peuple attend aussi l’application de ce mot résilience dans son sens étiologique, pragmatique que rationnel.

Pour une définition en ce terme : La Résilience réclamée, c’est la capacité pour un Pays, une Nation, une Société d’entreprendre, de rebondir après une épreuve, un épisode particulièrement douloureux, un cataclysme…etc.

Cependant, le concept de la Résilience ne doit pas cacher, aujourd’hui une volonté réelle de faire accepter les traumatismes, la tragédie que les Centrafricains(es) endurent sans la Justice avec un grand « » et, de dire au peuple : apprenez à vous construire malgré tout ce que nous vous proposons comme Gouvernance sans changer quoi que ce soit… avec un Pays assiégé plus de 80% et les Centrafricains(es) privés de liberté, mais pour autant de vivre tout simplement sans avoir peur,  sans risqués leurs vies.

Ce mot ne doit pas annihilé tout consentement et toute possibilité de dire NON à la mauvaise Gouvernance, de la corruption, et de tous les dérapages inimaginables. Au nom du traumatisme, tragédie, au nom de notre capacité de résilience nous sommes face à une orchestration des peurs aujourd’hui  pour notre pays, nos parents, l’avenir simplement hypothéquée. Ces peurs ne nous permettent pas de nous construire mais bien de nous déconstruire. Et comme nous devons avancer, car nous sommes forts, nous devons tout accepter. Tout allant tellement vite il est impossible de s’arrêter, juste un instant, pour réfléchir à l’engrenage infernal dans lequel nous nous trouvons imposés par cette nouvelle coalition dite CPC, les conséquences des mauvaises stratégies dans la Gouvernance, des décisions très souvent hasardeuses et subversives « Le peuple paye a assez les conséquences ».

Opposition démocratique rebaptisé ou regroupé dans le COD-2020.

Soit l’Opposition démocratique, excelle du fait de double jeux et trouble fait ! Nous avons vues dans les stratégie d’infiltrations, d’allégeance et autres sabotages sur beaucoup des sujets qu’il fallait plus être lucide et pragmatique dans le relèvement difficile de notre Pays, afin de mieux embrayer une sortie de crise plus intelligente. Par ailleurs, au lieu d’exercer une réelle opposition, déjà sur les enjeux, en premier lieu la Sécurité sur toutes les dimensions (territoriale, humaine, économique…), être vigilance sur la Gouvernance à l’endroit de la gabegie les copains(es) d’abord…En un mot, être vigilant dans les dérapages de la gouvernance, que de s’étaler sur des conflits d’égos de personnes, sortant complètement des enjeux qui gangrènent,  asphyxie le peuple Centrafricain. Et empêche son émergence sur le plan économique, de développement, ainsi l’émancipation des Centrafricains(es)

L’Etat d’urgence ! Aujourd’hui, la politique de fermer ne doit pas assourdir le tout compte et des complotists, au nom des dérapages, et privation des droits humains, de la privation de la liberté d’aller et venir, d’une nouvelle Orientation politique de musèlement, au lieu de la Gouvernance concertée dans les respects des institutions, des choix intègres des acteurs compétents, expérimentés, intègre, responsable pour une nouvelle destinée de la Centrafrique.

Notre Pays n’est plus un Pays normale, pour une stratégie hasardeuse sur le plan politique et Gouvernance, laisser pour compte à la sous-traitance de la communauté internationale sans donner une orientation politique venant de nous-même pour notre Pays, que seul nous fils et filles du pays former, ayant acquis de compétences, de l’expérience ailleurs ou en Centrafrique, pourrons maitrisés sur un plan politique, économique, sociologique, démographique… et, moderne dans l’air de la mondialisation pour ce siècle par les voix d’une gouvernance  technologique.

Le Président Paul KANGAME, pour son Pays Rwanda, de sa qualité de Chef d’Etat, clairvoyant à réussit et sortir son pays dans l’abîme, grâce à son ouverture d’esprit vis-à-vis de la politique de reconstruction avec les Diasporas venant de tous bords, les fils et filles de son Pays hier perpétré dans les désaccords et manipulation politique, de division engendrant ce que nous connaissons tous la génocide entre les fils et filles de Rwanda.

Quelles sont aujourd’hui nos capacités de rebond à travers le mot la « Résilience » ?

 

Diaspora,

Par Mr. Aubin-Roger KOMOTO

Fait à Lyon, le 30-01-2021