Centrafrique : un crime passé sous silence

 

Centrafrique : un crime passé sous silence

 

Monsieur Simon Koitoua.

Bangui, le 12 mai 2017.

Par : Simon Koitoua.

 

La situation dramatique des populations d’Alindao et villes environnantes victimes des actes barbares et criminels sont inquietants. Les témoignages attestent que ces actes crapileux et inuhumains et de violences sexuelles sont generalisés sur l’etendu du territoire sous les yeux impuissants de la force de Minusca . Une grande partie de ces viols concernaient des mineures et femmes enceintes .

Les autorités Centrafricaines n’exercent pas la diligence requise pour empêcher ces viols ni pour mener des enquêtes débouchant sur des poursuites ni pour proteger les populations de ces regions . Les responsables de ces crimes sont connus ALI DARASS et consorts , et pourtant ils recoivent des billets de banques aupres du GOUVERNEMENT CENTRAFRICAIN en signe de recompense de leur crimes commis sur nos paisibles une sorte de parrainage des actes crapileux et promouvoir l’impunité.

Découragé par l’inutilité de faire confiance aux autorites de bangui qui sont sensées nous proteger helas ils brillent par l’incompetence notoire , les victimes sont délaissées , elles ne savent pas à quel sain se vouer.C ‘est un regime le plus mediocre , le plus incompetent qu’a connu la Centrafrique qui brille par l’autisme. Un premier Ministre qui devrait etre admis à la retraite car il a perdu toutes ses facultes intellectuelles selon les dires de ses collaborateurs.

Beaucoup de victimes préfèrent se taire et cacher le viol qu’elles ont subi, par peur des représailles des terroristes d’ALI DARAS qui ont scellé une alliance avec le gouvernement de SARADJI.Les terrosristes de DARASS doivent continueront à semer le chaos devant permettre aux autorites actuelles de s’enrichir sur le dos et dans le sang des innoncents.

En effet, je condamne avec la plus grande energie les plans machiaveliques du Gabonais PARFAIT ONANGA et qui arme les groupes armes via ses reseaux afin de tirer profils de cette crise Centrafricaine qui n’a finisse pas

D’autres facteurs, comme la pauvreté, le manque d’accès à l’éducation, à l’information et aux soins médicaux, aggravent encore la vulnérabilité des populations . Je me joins aux patriotes Centrafricains pour demander au gouvernement fantoche de Centrafrique de prendre sans délai des mesures pour protéger les femmes, les jeunes filles et les fillettes de la Centrafrique contre la barbarie de DARASS un Nigerien.

Devant la gravité de la situation, je demande instamment au gouvernement Centrafricain de prendre toutes les mesures nécessaires pour : • condamner clairement et publiquement cette barabrie, un crime dont les auteurs doivent être jugés et punis conformément à la loi .

PATRIOTE SIMON KOITOUA