CENTRAFRIQUE : LES CONTRE VERITÉS DE SARANDJI ET SES SBIRES A TRAVERS DE MONSONGE MONSTRUEUX.
Bangui, le 22 Mai 2017
Par : Herman THEMONA CNC,
Il n’est que ce fictif ministre de l’Information et de la Communication. Ce n’est pas lui le ministre Théodore Jousso du Transport et de l’Aviation Civile, porte-parole du gouvernement. Mais par excès de zèle, comme d’ailleurs certains ministres protégés du gouvernement Sarandji se l’arrosent, il intervient pour mettre le feu à la poudre. En exclusivité, votre site d’information CNC vous fait lire ces textes officiels qui vous éclaireront, chers internautes, d’en savoir plus sur le drame et la cacophonie centrafricains.
1. L’interpellation du PM et de son gouvernement.
Son doungourou de ministre poltron de l’Information et de la Communication, le sieur Charles Lemasset-Mandja a fait une déclaration à la Radio et télé Centrafrique, leur boulevard habituel pour mettre en déroute les élus du peuple. Dans sa déclaration, il affirme que l’Assemblée nationale n’a nullement interpellé le Premier ou ses membres du Gouvernement pourtant ceux-ci restent sereins à travers journée des questions écrites et orales au gouvernement.
2. De la contre-vérité du ministre Charles Lemasset-Mandja le fauteur de trouble
Sarandji et son gouvernement, invités aux exercices démocratiques, tous les mercredis à 10 heures à l’Assemblée nationale à compter du 12 avril 2017, ce Sarandji de PM et les membres de son gouvernement, sous prétexte de s’occuper de madame Michaëlle Jean, Secrétaire générale de l’OIF en visite de travail en Centrafrique, ont remis aux calandres grecques cette interpellation. On doit légitimement se poser certaines questions; Est-ce un acte de désinvolture ou de bonne foi ? Est-ce que la Secrétaire générale de l’OIF est à Bangui tous les mercredis à 10 heures ?
Que des mensonges grotesques pour manipuler l’opinion nationale. Chers internautes, voilà, les vraies vérités sur les agissements de Touadéra, Sanrandji et toute leur clique qui veulent leurrer et retourner tout un peuple qui a souffert, malgré l’insécurité totale, frein posé par la communauté internationale aux élections en Centrafrique, lesquelles ont été jugées libres, démocratiques et transparentes par la Communauté nationale et internationale.
Toutefois, les honorables élus du peuple doivent savoir qu’ils n’ont rien à craindre, même si des bêtes enragées comme le surdoué et cherchées à manger de tous les jours Rigobert Vondo et ses pairs guignols de Bangui et agitateur qui vocifèrent, disant de manière idiote qu’il n’y aura jamais de mention de censure, ce qui est vivement souhaité par le peuple que les élus représentent.
Vous avez de potentiels mandats de législatures qui vous attendent. Ces mandats sont hypothéqués à votre défense de vos électeurs qui n’attendent que de vous voir au pied du mur.
À suivre les analyses qui viendront dans nos prochaines éditions.