Centrafrique : exclusivité, baromètre CNC du gouvernement Sarandji remanié

Publié le 30 mars 2018 , 5:39
Mis à jour le: 30 mars 2018 5:45 pm

Centrafrique : exclusivité, baromètre CNC du gouvernement Sarandji remanié

 

 

 

 

 

Bangui, le 31 Mars 2017

Par : Corbeau News Centrafrique (CNC) .

 

30 Mars 2016, 31 Mars 2018, voilà aujourd’hui 731 jours que le président Faustin Archange Touadéra tente de diriger, malgré lui, le gouvernement que son ami et directeur de sa compagne Simplice Mathieu Sarandji est a la charge. Un gouvernement pléthorique pour rien et peuplé des personnes sans profil d’un dirigeant. La preuve, rien n’avance. Le bilan même de président Touadera longuement critiqué, est dû aux actions de son gouvernement. 85% du territoire est géré par des groupes armés, les massacres humains et économiques gagnent du terrain.

Ce baromètre de note de l’ensemble des membres du gouvernement ou chacun est noté sur 20, est le résultat tangible d’action ou d’inaction du président Touadera, de son Premier ministre et de ses ministres.

Le sommeil musicalisé du président Touadera est trop profond. Ce baromètre en charge de booster son sommeil profond et chronique, lui permettra de se tenir debout, sur ses quatre pieds, afin de chasser les chauves-souris et autres carnivores qui pullulent le palais de la Renaissance. Sinon, il finira son mandat comme il a commencé, sans projet exécuté.

En exclusive, voici les notes de chaque ministre et du Premier ministre à travers ce baromètre.

 

1- Henri Marie DONDRA, ministre des Finances et du Budget:

Note : 16/20    

Mention : Honorable.

Appréciation CNC : Pragmatisme et actions. Doit continuer dans ce sens. 

Peu bavard mais il lui arrive de s’enflammer si le cas se présente. Visionnaire et stratège, il connait les métiers des finances et économies. Son cheval de bataille, tout faire pour avoir les faveurs des bailleurs de fonds (FMI, Banque Mondiale, BAD …). Ces derniers misent sur sa rigueur et sa vision pour aider la Centrafrique.

Doit rester.

2- Henri Wanzet Linguissara, ministre de l’Intérieur chargé de la Sécurité Publique :

Note : 15/20    

Mention : Très Bien.

 

Gendarme de son état, le ministre Linguissara est la tête de pont du gouvernement. Sa présence inopinée et ses actions multiformes, Bangui la capitale vit dans un semblant de paix retrouvée. Cependant, Bangui n’est pas la Centrafrique. Le redéploiement en nombre, des policiers et gendarmes sur l’ensemble du territoire avec les moyens conséquents, doit rester sa priorité.

Doit continuer.

 

3 – Marie Noëlle KOYARA, ministre de la Défense Nationale et de la Reconstruction de l’Armée.

Note : 14,50/20    

Mention : Très Bien.

Son retour dans la maison de la Défense a été très bien accueilli par les officiers et hommes du rang qui composent les forces armées centrafricaines FACA. Considérée comme la cheville ouvrière du gouvernement, Marie Noëlle sait composer avec son homologue de l’Intérieur pour ramener la paix. Le redéploiement des FACAs à nos frontières doit consituer sa première priorité après le changement du gouvernement.

4 – Flavien Mbata, ministre de la Justice, des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux

 

Note : 13,50/20 

Mention : Assez-Bien.

Appréciation CNC : Doit tripler des efforts pour améliorer son département.

Très peu bavard, le garde des Sceaux Flavien Mbata navigue tant bien que mal comme un bon magistrat qui sait débrouiller. Mais son immixtion dans certains procès torpille dangereusement l’indépendance judiciaire. La justice de deux poids deux mesures poursuit dangereusement son boulevard de liberté. Ce que les Centrafricains dénoncent. Mis à la trouille désormais de certains de ses compatriotes centrafricains co-auteurs et complices de coup d’état déjoué à Malabo, les Centrafricains attendent le voir à l’œuvre.

 

5 –   Félix Moloua, ministre de l’Économie, du Plan et de la Coopération

Note : 13/20

Mention : Assez-Bien.

Appréciation CNC : Peut mieux faire mais son profil tribaliste ne le lâche pas.

Maitrisant le Département sur le tas, le géographe Moloua ne veut faire confiance qu’à ses propres parents pour diriger. Ce qui a fortement contribué au départ massif des cadres dudit ministère. En se retrouvant nez au four depuis le dernier premier anniversaire de Table ronde de Bruxelles, son Département ne sait plus comment faire pour transformer les promesses d’aides de Bruxelles en une réalité. Conséquence : Tous les bailleurs de Bruxelles ont fui le pays et zéro franc décaissé depuis novembre 2017.

Sa place n’est pas à la tête de ce Département.

 

6 – Honoré Feizouré, ministre de l’Agriculture et du Développement Rural

Note : 12, 50/20

Mention : Assez bien.

Appréciation CNC : Manque de volonté politique pour réussir.

En voulant se faire cavalier seul, cet agronome de formation se fait isoler des organismes partenaires au développement et ignore tout, de la réalité des cultivateurs. La lettre de mission que le chef du gouvernement lui a adressée lui devient illisible. Détenant un profil qui cadre avec le Département, il doit, dans ce cas, travailler beaucoup, innover et travailler de concert avec certains partenaires qui œuvrent dans ces secteurs pour alléger le calvaire des cultivateurs.

 

07 – Jean Serge BOKASSA: ministre de l’Administration du Territoire. De la Décentralisation et du Développement Local

Note : 12/20 

Mention : Assez-bien

Appréciation CNC : Franchise dans le travail apprécié

Jean Serge BOKASSA qui se retrouve sans escorte policière musclée du fait de découpage de son premier département, était trop nerveux au début avant de comprendre, grâce à la gère des cadres dudit ministère, qu’il est assis sur un Département juteux. Il arrive, non seulement, à calmer les cadres grévistes de son Département mais aussi, à monter au créneau si son autorité est bafouée ou n’est pas consultée. Son administration étant implantée sur l’ensemble du territoire, il doit, de temps en temps, visiter les Communes et les Sous-préfectures pour bien gouverner.

8 – Théodore Jousso, ministre des Transports et de l’Aviation Civile

Note : 11/20 

Mention : Passable.

Appréciation CNC : En baisse.

Dépouillé des Travaux publics, cet ancien cadre de l’ASECNA se retrouve sur un Département qui lui cadre en principe. Mais, son manque de volonté de bien faire, fait de lui un amateur attitré. Durant deux ans à la tête de ce Département, Jousso n’a pas encore mis sur pied sa propre société afin de lui attribuer le marché de fabrication des plaques d’immatriculation et permis de conduire. Conséquence, les immatriculations des véhicules sont ipso facto, y compris les permis de conduire, antidatés et délivrés au plus offrant. Il instaure une anarchie. Il redirige, avec le Premier ministre, dans leurs propres poches, certaines recettes réorientées au profit de l’Etat.

9 – Sylvère Ngarso, ministre de la Promotion de la Jeunesse et des Sports

Note : 11/20 

Mention Juste passable.

Appréciation CNC : Aucun progrès..

Il reste assis sur ses derniers acquis. Sa nonchalance et sa taciturnité sont des causes de son sommeil. Il se laisse faire et détrôné par les caciques du régime en quête de survie budgétaires qui lui reprennent des initiales. Un réveil de sa part s’impose.

 

10 – Côme Hassan, ministre du Commerce et de l’Industrie

Note : 10,50/20   

Mention : Moyen.

Appréciation CNC : Travail en baisse.

Etant témoin de certains détournements par certains ministres et qui sont restés impunis, le Premier industriel-commerçant, COME Hassan, magistrat de son état, s’est lui aussi atterri dans la sauce des fraudeurs en instaurant un centre de paiement de certaines taxes et droits dans son bureau. Trop fantaisiste, il instaure une dictature commerciale à travers des affiches publicitaires fallacieuses et sans application concrète sur le terrain.

11 – Moukadas Noure, ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire, Technique et de l’Alphabétisation :

Note : 10,50/20 

Mention : Moyen.

Appréciation CNC : Inactif.

Moukadas Noure qui n’avait aucun regard sur son ancien grand Département, continue de l’être sur ce Département découpé à sa taille. Il devient inactif en cette période creuse de l’enseignement. Un outsider sérieux.

 

12 – Gaby Franky Leffa, ministre de l’Urbanisme, de la Ville et de l’Habitat

Note : 10/20

Mention : Moyen.

Appréciation CNC : Travail en baisse.

Apres des sorties médiatiques, Gaby Franky LEFFA ne se fait plus remarquer depuis novembre 2017. En cause, crise d’initiative et esprit de créativité. Ses initiatives sont souvent remises en cause par certains cadres de son Département. Coincé, il ne respire plus bien.

 

13 – Chancel Sekode Ndeugbayi, ministre Délégué auprès du Ministre des Affaires Etrangères et des Centrafricains de l’Etranger, chargé de la Francophonie et du Protocole d’Etat.

Note : 10 /20.

Mention : Moyen

Appréciation CNC : Peut mieux faire.

Le seul et unique ministre rattaché à un autre ministre, Chancel SEKODE a la volonté de mieux faire. Pour faire ramener à la raison les différents chefs des Institutions du pays en proie à des conflits internes, il a pris le lead et a réussi à faire assoir autour d’une table dénommée « Retraite interinstitutionnelle de haut niveau sur la stabilité des institutions en RCA », ces différents chefs. Reste l’application des différentes recommandations. Peut mieux faire

 

14 – Jean-Louis Opalegna, Ministre de la Fonction Publique

Note : 09,50 /20.

Mention : Insuffisant

Appréciation CNC : Peut mieux faire.

Cet ancien compagnon de Faustin Touadera semble comprendre l’enjeu que regorge son Département. Il pilote depuis sa nomination une intégration de masse dans la fonction publique de l’Etat, il sera jugé à la fin. Petite chance lui reste.

 

15 – Virginie Mbaïkoua, ministre de l’Action Humanitaire et de la Réconciliation Nationale

Note : 09/20 

Mention : Insuffisant.

Appréciation CNC : Ne peut plus rien faire.

Ancienne vedette des déplacés internes à Bangui et à Bangassou, Virginie Baïkoua semble avoir pris de l’âge au gouvernement. En deux ans de service, elle n’en peut plus visiblement. Elle ne vit désormais que de ses relations avec d’autres membres du gouvernement pour avancer. Elle doit prendre congé des autres.

 

16 – Jean Christophe Nguinza, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Protection Sociale.

Note : 08,50/20.

Mention : Insuffisant.

Appréciation CNC : Effort à déployer.

Du ministère des comptes rendus à un ministre qui demande une forte capacité de créativité, Jean Christophe Nguinza, a du mal à poser ses pieds à terre. Il lui faut plusieurs séminaires pour lui faire lire sa lettre de mission. Sinon, dehors.

 

17 – Gisèle PANA, ministre de la Promotion de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’Enfant

Note : 08/20.

Mention : Insuffisant.

Appréciation CNC : Doit doubler d’efforts.

 

Inactive depuis le jeu de leur chaise musicale. Doit tripler des efforts et initier des reformes afin de garder sa place, au nom de parité, dans le navire.

 

18 – Charles Armel Doubane, ministre des Affaires Etrangères et des Centrafricains de l’Etranger

Note : 07,50/20.

Mention Très insuffisant.

Appréciation CNC : Doit faire des efforts pour soigner l’image de la diplomatie touadera.

Assis sur un fauteuil ministériel au nom de son ethnie, Charles Armel Doubane a du mal à bien faire fonctionner ce Département éparpillé à travers la planète. La nouvelle cartographie de la diplomatie touadera tarde à se mettre en place. Plus grave, tout le corps diplomatique centrafricain devient oisif et ne songe qu’à leur futur avenir de diplomate. Rien ne va plus. Il est temps de mettre fin de son règne axé sur la paresse et oisiveté.

 

19 -Yérima Youssoufa Mandjo, ministre de l’Élevage cl de la Santé Animale.

Note : 06/20

Mention : Médiocre

Appréciation CNC : N’en peut plus.

Toujours stable dans les actions, Yérima Youssoufa Mandjo cette figure de minorité dans le gouvernement est dépassée par ses propres défauts d’initiative. Ne possédant depuis le début de sa nomination d’aucun plan de relance du secteur d’élevage, il n’en peut désormais plus.

 

20 – Lambert Moukove – Lissane, ministre des Eaux, Forêts, Chasse et Pêche

Note : 06/20

Mention : Médiocre

Appréciation CNC : Effort à déployer.

Il ne sait quoi faire pour se démarquer car il ne comprend rien de ce que signifie Eaux, Forêts, Chasse.

 

21 – Thierry Kamach, ministre de l’Environnement et du Développement Durable

 

Note : 06 /20.

Mention : Médiocre

Appréciation CNC : Effort à déployer.

Ce fils d’entrepreneur parachuté à la tête de ce grand Département ne sait vraiment quoi faire. Il s’appuie sur le secrétaire général de son mouvement politique pour diriger le ministère. A changer sa place.

 

22 – Jean-Jacques Sanze, ministre de l’Enseignement Supérieur,

Note : 06 /20.

Mention : Médiocre

Appréciation CNC : Effort à déployer.

Cet ancien cadre et retraité est placé malgré lui à la tête de ce Département si prestigieux ou il doit affronter des enseignants chercheurs au quotidien pour mieux avancer les secteurs d’activités placés sous son autorité. S’il est bien entouré, il peut mieux faire. Mais helas, son cabinet n’est pas pour cette année 2018. L’homme à suivre.

 

  1. Gontran Djono Ahaba, ministre du Développement de l’Energie et des Ressources Hydrauliques

Note : 06 /20.

Mention : Médiocre

Appréciation CNC : Effort à déployer.

Plusieurs fois ministres, Gontran DJONO AHABA est apparu comme un ministre sans tête etni queue. Pourtant, il a eu déjà à diriger dans le passé ce Département. N-a-t-il pas les mains libres pour diriger son ministère ? Certainement OUI du moment où il a du mal à mettre son cabinet en place.

24 – Jean-Alexandre Dedet, Ministre chargé du Secrétariat Général du Gouvernement

Note : 06 /20.

Mention : Médiocre

Appréciation CNC : Présence non remarquée.

Inactif et invisible. Pourtant, Jean-Alexandre DEDET est sur un micro Département. Un ministère à fondre dans un autre.

 

25Nabla Haroune, ministre de la Modernisation de l’Administration et de l’innovation du Service Public.

Note : 05 /20.

Mention : Médiocre

Appréciation CNC : Invisible.

A la tête de ce Département taillé sur mesure afin de satisfaire les intérêts des uns et autres, Nabla HAROUNE doit déployer des efforts pour assoir son ministère inféodé dans plusieurs autres ministères. Un Département pour boire et pour manger.

 

  1. Ginette Amara, ministre de la Recherche Scientifique et de l’innovation Technologique

Note : 04 /20.

Mention : Nul

Appréciation CNC : Fantôme

Tout comme le ministre de la Modernisation de l’Administration et de l’innovation du Service Public, le ministre de la Recherche Scientifique et de l’innovation Technologique n’est que fantaisiste. Pour preuve, il lui apparait impossible de monter un organigramme. Même le Premier ministre a du mal à lui fabriquer une lettre de mission. Elle n’est visible que lors des actions protocolaires.

  1. Jacob Mokpem Bionli, ministre des Arts, de la Culture et du Tourisme

Note : 04 /20.

Mention : Nul

Appréciation CNC : Buissonniers

Aucune action visible ni présence remarquée. A cela s’ajoute les difficultés pour lui à comprendre la lettre de mission qui lui a laissé son prédécesseur.

 

  1. Eugénie Lucienne Ngbondo, ministre chargé des Relations avec les Institutions de la République

Note : 04 /20.

Mention : Nul

Appréciation CNC : ministre fantôme

Inactive et travail sans cadre logique.

 

  1. Pierre Somse, ministre de la Santé et de la Population

Note : 04/20

Mention : Nul

Appréciation CNC : Des efforts à faire

Inactif et simple figurant dans le gouvernement depuis sa nomination, Pierre SOMSE doit déployer de sérieux efforts.

 

  1. Simplice Mathieu SARANDJI, Premier ministre, Chef du Gouvernement:

Note : 03,50/20 ;

Mention : Médiocre ++ et aucun travail sérieux

Appréciation CNC : Agitation, insolence, incompétence notoire, gestion scabreuse du gouvernement, pilotage à vue et manque de vision.

Les résultats mitigés et décevants attribués à son patron Faustin Archange Touadera sont dus à son incompétence avérée et inaction palpable. La méfiance de la communauté des bailleurs trouve son début d’explication dans son nom (Sarandji), sa fonction dans la galaxie Touadera, (directeur de compagne), son regard et ses propos outranciers. Son pacte secret avec Touadera de le laisser deux ans à la tête du gouvernement tire à sa fin. Il a temps tant influencé les neurones de Touadera, il est temps qu’il plie bagage, sans chantage aucun et laisser la place à un autre Centrafricain plus aguerri. Bonne sortie.

  1. Ahamed Senoussi, ministre des Travaux Publics et de l’Entretien Routier.

Note : 03 /20.

Mention : Nul

Appréciation CNC :

Ce collégien et secrétaire communal n’a pas la tête et le cou qu’il faut pour supporter le poids d’un tel Département. S’il reste à ce poste, chaque Commune du pays dressera une frontière naturelle (foret, routes impraticable, ponts cassés) avec les autres Communes. On ne doit s’amuser de la sorte.

 

  1. Bertrand Touaboy, ministre des Petites et Moyennes Entreprises, de 1’Artisanat et du Secteur Informel

Note : 03 /20.

Mention : Nul

Appréciation CNC : Nul et aucune volonté de s’améliorer.

Ministre depuis toujours invisible, incompétent, incontrôlable et incontrôlé.

 

  1. Léopold Mboli Fatrane, ministre des Mines el de la Géologie

Note : 03/20.

Mention : Nul

Appréciation CNC : Affairisme.

Son passé d’acteur de pornographie, porteur de mallette de diamants font de lui un Centrafricain exclu d’office de la gestion des choses publiques. Le maintenir au gouvernement, c’est hypothéqué l’avenir et l’image des millions de Centrafricains.

 

34 – Ange Maxime Kazagui, ministre de la Communication et des Média

Note : 03/20

Mention : Nul

Appréciation CNC : bavard.

Tout comme son collègue MBOLI FATRANE, Ange Maxime KAZAGUI a un passé lourd des actes dégradants et infamants. Sa présence aux côtés de certains partenaires comme la MINUSCA fait rimer les esprits autour de son comportement d’homme de chambre-bureau. A remettre à sa famille.

 

35- Justin Gourna Nzacko, ministre des Postes et Télécommunications

Note 2,5 /20.

Mention :

Appréciation CNC : Dépassé et ne peut rien faire de mieux.

Cet ancien cadre de la SOCATEL et ministre-coordonnateur du projet CAB fibre optique ne plus désormais exercer comme ministre. Son plan consistant à faire disparaitre la société SOCATEL en lui soutirant plus de 93 174 184 F CFA à la COCATEL contre 46 272 154 F CFA notifiés à lui payer a été mis en exécution. Un cas flagrant de conflit d’intérêt. Qu’il regagne l’Assemblée national.

 

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