L’empire des ténèbres : Touadera et les mercenaires de Wagner
Dans les rues de la Centrafrique, Touadera se pavane,
Aux côtés des mercenaires, l’ombre de Wagner plane.
Sous le masque du pouvoir, la terreur s’installe,
Les peuples centrafricains, leur liberté s’étouffe, mal.
Faustin Archange, Touadera, marionnette des intérêts sombres,
Aux côtés des mercenaires, l’âme se déchombre.
Wagner, la main de l’oppression, sans pitié,
Dans leur sillage, la mort danse, sans arrêt.
Les rues résonnent des cris des opprimés,
Dans le vent, le souffle de la révolte animé.
Touadera, tyran des temps modernes, se rit,
De la souffrance des peuples, de leur triste mépris.
Les mercenaires de Wagner, tels des loups affamés,
Déchirent l’espoir, dans un pays dévasté.
Leur présence, un cauchemar, une nuit sans fin,
Dans ce tableau macabre, l’innocence s’éteint.
La satire se mêle à la critique acerbe,
Contre ce régime où la justice s’absorbe.
Touadera et ses sbires, dans leur folie sanguine, Dressent un mur d’horreur où la raison décline.
Dans les cœurs des Centrafricains, la flamme persiste,
Malgré les ténèbres, malgré les brumes tristes.
Contre l’oppression, contre la tyrannie nue,
Se lève la voix du peuple, libre et résolue.
Que le monde entende l’écho de leur lutte,
Contre Touadera, contre Wagner, que l’orage éclate.
Dans les cœurs des opprimés, la flamme persiste,
Contre les tyrans, la résistance insiste.
Pa Alain Nzilo
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