La Centrafrique est à vendre, et Touadéra tient la caisse

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La Centrafrique est à vendre, et Touadéra tient la caisse

 

La Centrafrique est à vendre, et Touadéra tient la caisse
Le Président Kongoboro se moque des centrafricains de leur souffrance

 

Par la rédaction de Corbeau News Centrafrique, CNC.

 Faustin-Archange Touadéra n’est plus qu’une ombre à la tête de la Centrafrique. Sous son règne, le pays n’appartient plus vraiment aux Centrafricains : il est devenu une terre bradée aux mercenaires russes de Wagner et aux soldats rwandais, qui dictent leur loi pendant que le président parade dans son palais. Les faits sont têtus, et les journaux de Bangui, du 24 février 2025, ne laissent aucun doute : la souveraineté nationale a été vendue au plus offrant.

 

Regardez l’armée centrafricaine. Le Langage la décrit comme un vestige, une force “politisée, tribalisée et divisée”, incapable de protéger le peuple. Après des décennies de dégradation, Touadéra a fini le travail : plutôt que de la reconstruire, il a préféré sous-traiter la sécurité à des étrangers. Wagner, ces mercenaires russes qui pullulent dans le pays, ne sont pas là pour aider, mais pour piller. Médias Plus le dit clairement : les recettes de l’État filent dans leurs poches, laissant la Centrafrique exsangue. Pendant ce temps, des contingents rwandais viennent compléter le tableau, comme le note Le Langage, soutenant un régime qui sans eux s’effondrerait comme un château de cartes.

 

Touadéra n’est pas un président, c’est un prête-nom. Le Démocrate parle d’un pouvoir qui “sous-traite” sa défense à ces forces, abandonnant toute ambition de souveraineté. Pourquoi ? Parce que lui et son entourage y trouvent leur compte. Pendant que Wagner contrôle les mines et les routes, les proches du président prospèrent. Qui profite ? Certainement pas le peuple, qui survit dans une pauvreté abjecte :  70 % des ménages, selon une étude citée par Le Démocrate.

 

Et pendant que le pays se désagrège, Touadéra s’accroche à son trône. L’Hirondelle raconte comment il fait taire les opposants avec des arrestations brutales, laissant Wagner et les Rwandais tenir les cordons de la répression. Le BRDC, qui réclame un dialogue, n’a aucune chance face à un président qui préfère ses alliés étrangers à son propre peuple, comme le souligne Le Langage. Même la MINUSCA, censée stabiliser le pays, est reléguée au second plan, tandis que les vrais maîtres sont ceux qui portent des armes venues d’ailleurs.

 

La Centrafrique est à vendre, et Touadéra tient la caisse. Les panneaux solaires à Bangui, vantés comme un exploit, ne sont qu’un écran de fumée pour cacher la vérité : un pays sans eau potable, sans écoles, sans avenir, comme le déplore Médias Plus. Les richesses partent à Moscou ou ailleurs, pendant que les Centrafricains crèvent de faim. Ce n’est pas un président qu’ils ont, c’est un gardien de comptoir, qui laisse Wagner et le Rwanda tirer les ficelles pendant qu’il compte les billets d’un pouvoir illégitime. La question n’est plus de savoir qui dirige, mais combien de temps ce marché de dupes tiendra avant que tout s’écroule.

 

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