Dérive jalouse à Douala : Quand l’amour secret du consul centrafricain engendre le chaos
Bangui, 22 janvier 2024 (CNC) – Au cœur de Douala, le consul de la République Centrafricaine, Monsieur Denis Ndobia, connu sous le surnom de “Francis Ngannou”, suscite une controverse singulière. Au-delà de ses fonctions diplomatiques, c’est sa liaison amoureuse avec sa secrétaire et sa jalousie exacerbée qui captent les attentions. Ces passions déchaînées, débordant sur son rôle public, ternissent l’image de la République Centrafricaine au Cameroun et soulèvent des questions sur la frontière entre vie privée et responsabilités diplomatiques.
La situation à Douala, au sein du consulat de la République Centrafricaine, dépeint un tableau peu conventionnel de la diplomatie. Au centre de ce tableau se trouve Monsieur Denis Ndobia, le consul, dont la liaison amoureuse avec sa secrétaire a engendré une spirale de jalousie et de désordre au sein du consulat. Surnommé “Francis Ngannou”, en raison de son passé d’handballeur et ses emportements physiques, il est devenu une figure controversée, autant crainte que moquée.
L’origine de ce trouble réside dans la relation clandestine qu’entretient un certain Roger avec sa secrétaire. Ce lien intime, loin de rester confiné dans l’ombre des bureaux du consulat, a des répercussions publiques. Monsieur Denis Ndobia alias Francis Ngannou, sous l’emprise de la jalousie, est prompt à interpréter toute interaction entre sa secrétaire et un autre homme comme une menace potentielle. Cette perception déformée l’amène à des confrontations, souvent violentes, avec quiconque ose s’approcher d’elle.
Ces comportements posent plusieurs problèmes. D’abord, ils ébranlent la dignité et le respect normalement associés à la fonction de consul. Ensuite, ils créent un environnement de travail toxique au sein du consulat. La secrétaire, au cœur de cette tourmente, est une victime collatérale, prise entre son devoir professionnel et les accès de jalousie de son chef amant Denis Ndobia alias Francis Ngannou.
Les répercussions de ces agissements ne se limitent pas aux murs du consulat. Ils se répercutent dans les rues de Douala, notamment dans les lieux publics comme les bistros, où M. Roger est souvent vu en train de consommer de l’alcool et sont sur les routes nationales pour les frontières. Un Centrafricain résidant à Bertoua, contacté par la Rédaction depuis sa ville, confirme l’information de cette jalousie du consul centrafricain Francis Ngannou de Douala. Ces scènes publiques, où il confronte et parfois agresse physiquement des individus, portent atteinte à l’image de la RCA.
Cette situation pose des questions cruciales sur la responsabilité des diplomates. Comment les actions personnelles d’un diplomate affectent-elles l’image de son pays ? Quelle est la limite entre vie privée et devoir public ? Et surtout, comment une institution peut-elle gérer de tels écarts de conduite ?
La situation de Monsieur Denis Ndobia à Douala n’est pas simplement une histoire de scandale personnel. Elle est révélatrice des défis auxquels sont confrontées les institutions diplomatiques. Ce cas met en lumière la nécessité d’une conduite irréprochable, non seulement pour le respect des normes diplomatiques, mais aussi pour la protection des individus impliqués et l’image du pays représenté. La République Centrafricaine se trouve face désormais à un dilemme crucial : maintenir l’intégrité de sa représentation à l’étranger ou risquer de voir son image ternie par les actions impétueuses de l’un des siens.
Par Alain Nzilo
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