Après avoir refusé de participer aux négociations de paix sur la Centrafrique à Brazzaville, l’ex-Séléka a finalement accepté mercredi de signer l’accord de cessation des hostilités entre groupes armés.
C’est un accord au forceps, mais un accord quand même. La délégation de l’ex-Séléka a accepté mercredi 23 juillet en début d’après-midi de signer l’accord de cessez-le-feu dont devait accoucher le “Forum pour la réconciliation nationale et le dialogue politique” organisé à Brazzaville, a annoncé l’Union africaine.
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