EMILE RAYMOND GROS NAKOMBO, PRESIDENT DE LA DÉLÉGATION SPÉCIALE DE LA VILLE DE BANGUI ASSIS SUR UNE BRAISE.

Publié le 3 février 2022 , 7:09
Mis à jour le: 3 février 2022 3:10 pm

 

Bangui, 4  février 2022 (Corbeaunews – Centrafrique ) – Ce que l’on dit ne doit étonner personne car le mensonge finit toujours par être rattrapé par la vérité. Nommé Président de la Délégation Spéciale de la ville de Bangui, Émile Raymond Gros Nakombo n’a fait que mettre en application son plan sombre de tout avoir le même jour.

 

Nul ne peut contrarier cette vérité palpable et visible d’une gestion scabreuse et opaque d’un soi-disant docteur en économie. Si en effet, l’actuel président de la délégation spéciale de la ville de Bangui était véritablement un docteur en économie, cela devrait se traduire dans ses œuvres pour faire avancer la Mairie de Bangui.

 

Malheureusement, il n’a usé son temps dans la falsification des quittances pour renflouer ses caisses parallèles et le recouvrement avant la clôture de l’écriture comptable. En bon rusé politique, Émile Raymond Gros Nakombo a menti qu’il serait en mesure de revivre les temps immémoriaux aux banguissois.

 

L’homme ne se contentait qu’avec son 1,23% à la présidentielle de 2016 pour s’agripper au pouvoir de Bangui. Pompeusement, Émile Raymond Gros Nakombo s’est arrogé le grade de Docteur en économie, alors que l’on dit : « les diplômes ne sont que des contenants et que le professionnalisme est la preuve du contenu ».

 

Mais hélas ! L’objectif premier de l’homme de Sosso Nakombo est celui d’amasser de l’argent à travers les quittances parallèles, le bradage des airs bus pour ses buts politiques inavoués.

Militant fieffé du Rassemblement Démocratique Centrafricain (RDC) où il n’a jamais déposé officiellement sa démission, Emile Raymond Gros Nakombo mise toujours, après la disparition de Désiré Kolingba à prendre la tête de cette formation politique.

Émile Raymond Gros Nakombo a instauré un système de recouvrement des taxes communales, avant le délai. La ville de Bangui est devenue trop sale, alors qu’il y a le service de voierie.

 

Par un compatriote centrafricain qui a requis l’anonymat

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