Centrafrique : Alexandre Ivanov , Chef de Wagner en RCA , se moque des sanctions occidentales
Bangui, 24 juillet 2023 (CNC) – Suite aux récentes sanctions américaines et britanniques imposées aux chefs du groupe russe Wagner en Afrique, une figure clé émerge : monsieur Alexandre Ivanov, chef de la COMMUNAUTÉ DES OFFICIERS POUR LA SÉCURITÉ INTERNATIONALE (COSI). Face aux sanctions occidentales, il a choisi de défier les puissances étrangères en affirmant qu’il restera en République centrafricaine plutôt que de se réfugier en Grande-Bretagne. Cette déclaration audacieuse est perçue comme un acte de défi envers les Occidentaux, soulignant ainsi les limites des sanctions imposées à Wagner et à certains de ses officiers. Cette situation pousse les Centrafricains à réfléchir sur les mesures à prendre pour montrer que Wagner n’est pas invincible sur le terrain africain.
Dans un communiqué officiel émis par la COMMUNAUTÉ DES OFFICIERS POUR LA SÉCURITÉ INTERNATIONALE, monsieur Alexander Ivanov, le chef de la COSI, a réagi aux sanctions personnelles qui lui ont été imposées par le gouvernement du Royaume-Uni le 20 juillet 2023. Face à cette situation, il a déclaré de manière catégorique : “Je ne vais pas à Londres. Nous restons en RCA. Nous restons en Afrique !”
Cette déclaration forte et sans équivoque démontre la ferme détermination de monsieur Alexandre Ivanovà ne pas céder aux pressions des sanctions occidentales. Plutôt que de fuir vers un lieu plus sûr, il choisit de rester en République centrafricaine, affirmant ainsi son engagement envers la mission de la COSI sur le continent africain.
La réponse de Alexandre Ivanov : une moquerie envers les Occidentaux
Le choix de monsieur Alexandre Ivanov de rester en RCA malgré les sanctions occidentales est interprété comme une réponse moqueuse envers les puissances étrangères. Il semble mettre en doute leur capacité à le rechercher et à le capturer en République centrafricaine ou dans n’importe quel autre endroit du continent. Cette attitude souligne les limites des sanctions imposées par les pays occidentaux et remet en question leur efficacité pour contrer les activités de Wagner et de ses officiers en Afrique.
En défiant les sanctions, monsieur Alexandre Ivanov envoie un message clair : la présence de la COSI en République centrafricaine est solide et résolue. Cette détermination peut également être perçue comme un défi lancé aux occidentaux, montrant que la COSI, une branche du groupe Wagner en RCA est prête à faire face à toute adversité dans le cadre de ses opérations en Afrique.
Les limites des sanctions occidentales contre Wagner
La réaction de monsieur Alexandre Ivanov met en évidence les défis auxquels sont confrontées les sanctions occidentales contre Wagner et certains de ses officiers. Bien que les sanctions économiques et les interdictions de voyage soient des outils utilisés pour faire pression sur des individus et des entités, elles ont leurs limites, en particulier lorsqu’il s’agit de groupes opérant dans des zones complexes et instables comme l’Afrique centrale.
Les sanctions peuvent perturber les activités financières des individus et entraver leurs mouvements internationaux, mais elles ne garantissent pas toujours leur capture ou leur incapacitation sur le terrain. Lorsque des groupes tels que Wagner bénéficient de l’appui de certains gouvernements locaux ou opèrent dans des environnements où l’application de la loi est faible, les sanctions peuvent avoir des effets limités.
Il y’a lieu de rappeler que la décision du chef de la COSI, monsieur Alexander Ivanov, de rester en République centrafricaine malgré les sanctions occidentales est un acte de défi qui met en évidence les limites de telles mesures contre Wagner et certains de ses officiers. Sa détermination à rester en Afrique envoie un message fort, soulignant que la COSI ne sera pas dissuadée par les pressions extérieures.
Cette situation doit être considérée comme un appel à l’action pour les Centrafricains, les incitant à prendre des mesures concrètes pour renforcer leur sécurité et faire face aux menaces sur leur territoire. Il est temps de s’unir et de collaborer avec la communauté internationale pour faire face à ces défis complexes et assurer un avenir plus stable pour la République centrafricaine.
Par Alain Nzilo
Directeur de publications
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