CENTRAFRIQUE : LES DÉLIRES INQUIÉTANTS DU MINISTRE BIDA KOYAGBELÉ EN RUSSIE
Par la rédaction de Corbeaunews-Centrafrique.
La scène se déroule dans une salle de conférence en Russie. Le ministre délégué chargé des grands travaux à la présidence de la République centrafricaine, Bida Koyagbelé, prend la parole. Ce qui suit restera dans les annales de la diplomatie centrafricaine comme l’un des moments les plus gênants de son histoire récente.
ANATOMIE D’UN DISCOURS DÉLIRANT DU MINISTRE BIDA KOYAGBBELÉ
Devant un parterre d’officiels russes à Moscou, le ministre BIDA KOYAGBELÉ déroule un récit fantasque qui défie l’entendement. Première affirmation stupéfiante : la République centrafricaine serait « le lieu où Dieu avait déposé son trésor », selon ce qu’il présente comme une légende de l’Égypte antique. Une allégation qui fait sourire les historiens et égyptologues.
Mais ce n’était que le début. Dans un crescendo de déclarations aberrantes, le ministre BIDA KOYAGBELÉ affirme que la société Rossiologia aurait « découvert » les richesses minières du pays. Une révélation qui aurait pu surprendre… si ces gisements n’étaient pas déjà cartographiés et exploités depuis des décennies.
« Nous avons découvert avec Rossiologia que ce pays était le pays le plus riche en termes de concentration de ressources d’Afrique », proclame-t-il, ignorant délibérément l’histoire minière du pays et les nombreuses études géologiques menées bien avant l’arrivée des Russes.
LA FRANCE, BOUC ÉMISSAIRE DE SERVICE
Dans la suite de son intervention, le ministre BIDA KOYAGBELÉ se lance dans une charge virulente contre la France, l’accusant d’avoir « instrumenté l’insécurité » en Centrafrique et dans tout le Sahel. Une assertion qui fait fi de la complexité des réalités géopolitiques régionales et des multiples facteurs d’instabilité.
« Nous avons été envahis par la France pendant plusieurs dizaines d’années et à travers son système colonial fondé sur le vol, la prédation et la barbarie», déclare-t-il, utilisant un néologisme incompréhensible (« abrédation ») qui traduit sa confusion mentale.
UN PROFIL PSYCHOLOGIQUE inquiétant du ministre BIDA KOYAGBELÉ
Les témoignages affluent concernant l’état mental du ministre BIDA KOYAGBELÉ. Des sources proches, s’exprimant sous couvert d’anonymat, dressent le portrait d’un homme aux prises avec des troubles psychologiques sévères.
« Depuis l’université, il a toujours eu cette propension au mensonge pathologique », confie un ancien camarade de promotion. « Ce n’était pas des petits arrangements avec la vérité, mais des inventions complètes, des histoires abracadabrantes qu’il défendait avec une conviction déconcertante ».
Un membre de sa famille ajoute : « Nous sommes profondément inquiets. Son comportement s’est aggravé avec les années. Il vit dans une réalité parallèle qu’il a construite de toutes pièces ».
LES CONSÉQUENCES DIPLOMATIQUES
Cette prestation désastreuse du ministre Koyagbelé n’est pas sans conséquences pour la Centrafrique. À l’heure où le pays tente de diversifier ses partenariats internationaux, de telles déclarations sapent sa crédibilité sur la scène mondiale.
Le contraste est saisissant avec d’autres nations africaines anciennement administrées par la France. Pendant que le Sénégal, la Côte d’Ivoire ou le Cameroun développent des relations diplomatiques équilibrées et matures, la Centrafrique se retrouve prisonnière d’un discours victimaire et déconnecté des réalités.
UN SYSTÈME QUI POSE QUESTION
L’incident expose des questions plus larges sur le fonctionnement des institutions centrafricaines. Comment un individu manifestement inapte peut-il occuper un poste ministériel aussi important ? Pourquoi les autorités maintiennent-elles en fonction un ministre dont les troubles du comportement sont de notoriété publique ?
Le silence assourdissant du gouvernement devant ces dérapages répétés interroge. Cette absence de réaction traduit-elle une approbation tacite ou une paralysie institutionnelle ?
VERS UNE CRISE DE CRÉDIBILITÉ
La prestation du ministre en Russie représente plus qu’un simple incident diplomatique. Elle révèle une crise profonde au sein de l’appareil d’État centrafricain. Le maintien en fonction d’un ministre visiblement déconnecté de la réalité compromet la capacité du pays à être pris au sérieux par ses partenaires internationaux.
L’urgence d’une intervention au plus haut niveau de l’État se fait sentir. La Centrafrique ne peut se permettre de voir son image internationale continuellement ternie par les élucubrations d’un ministre qui confond tribune diplomatique et thérapie de groupe.
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