Le Premier ministre le sait : sans la communauté internationale, son pays aurait depuis longtemps touché le fond. Il continue pourtant à plaider pour une aide financière et militaire accrue. Nommé fin janvier à la primature, André Nzapayéké ne s’imaginait pas « venir rouler sur une belle route bitumée », par contre, il savait qu’il lui faudrait « traverser des rivières infestées de crocodiles». Entretien à lire dans JEUNE AFRIQUE N* 2791 du 06 juillet 2014 en kiosque.