Djoubaye Abazène: 16 mois après, ou est  la réponse « totale, foudroyante et douloureuse » promise à Marchal?

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16 mois après ou est  la réponse « totale, foudroyante et douloureuse » promise par Djoubaye Abazène à Marchal?

 

Centrafrique : 16 mois après ou est la réponse « totale, foudroyante et douloureuse » promise par Djoubaye Abazène à Marchal?
Le ministre d’État en charge de la justice Arnaud Djoubaye Abazene copyright CNC

 

Par la rédaction de Corbeau News Centrafrique, CNC.

 Novembre 2023 : Arnaud Djoubaye Abazène promettait une réplique « totale, foudroyante et douloureuse » au rapport de Roland Marchal sur le pouvoir de Baba Kongoboro. Mais seize mois plus tard, en mars 2025, le silence règne. Cette absence de réponse trahit l’impuissance d’un régime qui préfère l’esbroufe à l’action.

 

Eh! Djoubaye Abazène, cela fait déjà plus d’un an. Plus d’un an que les Centrafricains patientent, l’oreille tendue, pour entendre la fameuse réponse « totale, foudroyante et douloureuse » promise aux analyses implacables de Roland Marchal, un chercheur français. C’était en novembre 2023. Deux mois plus tard, rien. Sept mois encore, toujours rien. Aujourd’hui, en mars 2025, le silence est une gifle. Où est-elle, cette réplique « totale, foudroyante et douloureuse » ? Introuvable. Ces gens-là, avec leurs mots ronflants, n’ont rien à dire, rien à offrir, sinon des promesses qui s’évaporent pendant qu’un peuple lasse de les attendre.

 

Roland Marchal, dans une interview tranchante à Radio France Internationale en novembre 2023, avait eu l’audace de poser un diagnostic sans détour : en République centrafricaine, Faustin-Archange Touadéra et son régime transforment leur faiblesse en outil de survie. Affable, rusé, le président jongle avec les peurs du vide et les errements internationaux,  Nations unies, Wagner, France, Rwanda,  pour s’accrocher au pouvoir. La population ? Qu’elle se débrouille. La crise de 2013 ? Jamais réglée. Insécurité, citoyenneté bafouée, prédation : tout est là, intact, sous le vernis des discours. Face à cette vérité qui cogne dur sur la tête de Baba Kongoboro, Djoubaye Abazène, drapé dans son titre pompeux, a juré une réponse « totale, foudroyante et douloureuse ». Un an après, on cherche encore. Où est-elle ? Nulle part. Ces incapables ne savent même pas aligner deux phrases cohérentes et promettent de réponse foudroyante aux gens? Quelle arrogance!!

 

Et que dire d’Alexis Ndui Yabela, ce professeur autoproclamé qui, aux côtés du ministre, a tenté de jeter le discrédit sur Marchal ? Lui aussi a promis une réplique, une sorte de pendant à la fameuse sortie « totale, foudroyante et douloureuse » de son compère. Résultat ? Rien. Nada. Un an plus tard, leurs menaces sonnent comme une vieille blague que personne ne trouve drôle. Djoubaye Abazène, avec son doctorat par correspondance, ose défier un chercheur reconnu, dont le travail repose sur des faits, des années d’analyse, une rigueur qui les dépasse. Quelle prétention ! Quelle farce ! Pendant ce temps, leur réponse « totale, foudroyante et douloureuse » reste un fantôme, un mot d’ordre vide qui ne trompe plus personne.

 

Ces hommes, piliers d’un pouvoir qui empeste l’arrogance et la médiocrité, se pavanent pourtant. Ils ont crié haut et fort qu’ils allaient pulvériser les arguments de Marchal. « Totale, foudroyante et douloureuse », qu’ils disaient ! Un an après, le néant. Incapables d’écrire une page potable, incapables de répondre avec sérieux, ils se contentent de brailler pour donner le change. Pendant que Touadéra joue les stratèges sur l’échiquier mondial, ses sbires, tels des acteurs ratés, débitent leurs promesses creuses. La réplique « totale, foudroyante et douloureuse » ? Une illusion. Les Centrafricains, eux, attendent toujours, oubliés par un régime qui préfère parader plutôt que gouverner.

 

Et cette colère qui monte, de Bangui aux confins du continent ? Les mots de Marchal ont secoué les consciences, mis des tyranneaux face à leurs miroirs. Les Africains ont entendu la promesse de Djoubaye Abazène, cette fameuse réponse « totale, foudroyante et douloureuse » censée clouer le bec au chercheur. Ils ont attendu, espéré peut-être, que ces messieurs montrent un semblant de compétence. Un an plus tard, zéro. Rien. Le désert. Ces criminels en costume rient au nez du peuple, forts de leur impunité, faibles dans leur nullité. Ils ne savent ni écrire, ni penser, ni agir – juste promettre, encore et encore, une réplique qui ne vient jamais.

 

Il faut le dire, le hurler : ce pouvoir est un clan des bras cassés, des totos, des criminels. Une insulte à l’intelligence, à la dignité, à l’espoir. Touadéra et sa bande excellent à survivre, à s’en mettre plein les poches, pendant que leurs valets crient à une réponse « totale, foudroyante et douloureuse » qu’ils sont trop incompétents pour produire. Un an après, les Centrafricains n’ont vu ni totalité, ni foudre, ni douleur – juste le vide, encore le vide. Ils méritent mieux que ce théâtre pitoyable, mieux que des promesses qui s’effacent, mieux que des incapables qui osent défier la vérité sans jamais la rattraper.

 

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