Le scandale qui empeste Bangui : Sylvie Naïssem et Arsène Gbaguidi, ou l’art de piétiner l’éthique.
L’indécence a atteint son paroxysme dans les hautes sphères de la République centrafricaine. Sylvie Naïssem, censée incarner l’impartialité de la justice constitutionnelle, et Arsène Gbaguidi, supposé garantir l’intégrité des élections, se vautrent sans vergogne dans une liaison aussi scandaleuse que nauséabonde.
Bangui, 30 juillet 2024.
Par la rédaction de Corbeau News Centrafrique.
Cette farce grotesque dévoile la pourriture qui gangrène nos institutions. Sylvie Naïssem, vice-présidente d’un conseil constitutionnel, déjà entaché de soupçons, n’hésite pas à partager sa couche avec celui-là même qui devrait être son vis-à-vis indépendant. Quant à Gbaguidi, ce prétendu garant de la démocratie, il se comporte comme un vulgaire pantin entre les mains du pouvoir, trahissant honteusement sa mission et la confiance des Nations Unies.
Leur relation clandestine, qui n’a de secret que le nom, empeste les couloirs du pouvoir. Ces deux personnages, ivres de leur propre importance, semblent avoir oublié toute notion de décence et de responsabilité. Ils se pavanent, inconscients du mépris qu’ils inspirent, sourds aux murmures indignés qui enflent dans la capitale.
Gbaguidi, ce soi-disant “Monsieur Élections” de la Minusca, n’est en réalité qu’un laquais servile, prêt à brader l’avenir démocratique de la Centrafrique pour satisfaire ses bas instincts et ses ambitions mesquines. Sa proximité avec le clan Touadera n’est plus un secret pour personne, transformant la MINUSCA en véritable marionnette du pouvoir en place.
Quant à Sylvie Naïssem, elle souille l’institution qu’elle est censée représenter. Sa conduite irresponsable jette l’opprobre sur l’ensemble du Conseil Constitutionnel, déjà perçu comme un repaire de partisans zélés du régime. Cette femme, qui devrait être un modèle d’intégrité, s’avère n’être qu’une opportuniste sans scrupules, prête à troquer son honneur contre quelques faveurs de boudoir.
Ce duo infâme incarne à lui seul la déliquescence morale qui ronge notre pays. Leur liaison n’est pas seulement une insulte à l’éthique, c’est un crachat au visage de tous les Centrafricains qui aspirent à une véritable démocratie.
Il est grand temps que ces deux parasites soient chassés des institutions qu’ils contaminent. Leur présence est une gangrène qui menace de faire pourrir tout l’édifice démocratique centrafricain. L’opposition, si elle a encore un soupçon de dignité, doit exiger leur démission immédiate et sans condition.
La Centrafrique mérite mieux que ces deux clowns pathétiques qui se croient au-dessus des lois et de la morale. Leur éviction serait un premier pas vers l’assainissement de notre vie politique, gangrenée par le népotisme, la corruption et l’incompétence.
Il est temps que le peuple centrafricain se lève et dise “Assez !” à ces manigances sordides. Sylvie Naïssem et Gbaguidi doivent être balayés, emportés par le vent de l’histoire, relégués aux oubliettes de notre mémoire collective comme les symboles d’une époque révolue, celle de la honte et de la compromission.
Par Alain Nzilo
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