Faustin Archange Touadera : Un Président qui étrangle la méritocratie et appauvrit le peuple
Bangui, 17 novembre 2023 (CNC) – Dans les coulisses du pouvoir en République centrafricaine, un tableau sombre se dessine sous la présidence de Faustin Archange Touadera. Les révélations troublantes faites par l’activiste Évariste sur la gouvernance en cours soulignent un système où la médiocrité prévaut, étouffant toute possibilité pour les plus méritants d’émerger.
Faustin Archange Touadera, semble-t-il, d’après l’activiste Évariste, a bâti son règne en favorisant la médiocrité au détriment de la méritocratie. Son témoignage pointe du doigt un gouvernement où les individus aux mains sales sont privilégiés lors des nominations, établissant ainsi une aristocratie de médiocres. Cette stratégie, selon les révélations faites par Évariste, vise à s’entourer d’individus redevables, prêts à protéger le président coûte que coûte. La nomination semble être conditionnée par le degré de compromission, laissant peu de place à ceux qui aspirent à servir avec intégrité.
L’utilisation de forces adverses pour se maintenir au pouvoir est une tactique décrite par Évariste. Les médiocres, placés délibérément au sommet de la hiérarchie, sont instrumentalisés pour empêcher l’émergence des plus méritants. Cette manipulation, destinée à éliminer toute menace potentielle, s’avère être un mécanisme cynique de conservation du pouvoir.
Une illustration concrète de cette stratégie est dévoilée dans le processus de nomination des ministres. Les compétences et les mérites ne sont pas les critères principaux, mais plutôt l’origine villageoise et l’allégeance personnelle. Les plus méritants, selon le témoignage, sont écartés au profit d’individus sans expérience ni qualification, créant ainsi un cercle vicieux de médiocrité gouvernementale.
Les conséquences de ce mode de gouvernance sont sévères. L’épuisement des ressources financières de l’État au profit de l’élite corrompue se traduit par un appauvrissement généralisé du peuple. Les hôpitaux manquent de moyens, l’éducation est négligée, et les infrastructures indispensables font défaut. La censure sociale, décrite comme étant grippée, laisse place à une réalité où les fils des paysans sont laissés pour compte, privés des services essentiels.
À vrai dire, Faustin Archange Touadera, en maintenant son pouvoir à travers une stratégie qui étouffe la méritocratie, sacrifie le bien-être du peuple centrafricain. L’appauvrissement généralisé, résultant de la préférence accordée à la médiocrité plutôt qu’à l’excellence, soulève des questions cruciales sur la légitimité et la responsabilité du leadership en place. Le peuple trinque, les plus méritants sont écartés, et l’avenir de la République centrafricaine semble compromis sous un gouvernement où la compétence est sacrifiée au profit de l’opportunisme.
Par Gisèle MOLOMA
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