Bangui, République centrafricaine, lundi, 30 novembre 2020, 21:37:59 ( Corbeaunews-Centrafrique ). Selon des informations venant des militants de l’UNDP, Martial Pabandji, Directeur national de campagne de Michel Amine aurait conclu un deal avec Mathieu Simplice Sarandji sans la bénédiction de Faustin Archange Touadera. Pour les militants de l’UNDP, un tel accord sonne le glas de la vie politique de Michel Amine car ne profitant qu’à ce dernier au détriment de la base.
Selon des sources proches du parquet, en plus de la présentation hebdomadaire à la gendarmerie, il est interdit à Amine Michel de quitter le territoire français voire Marseille sans autorisation du parquet.
Il y a beaucoup de contraintes que la loi impose aux gens qui sont en liberté provisoire. Pour l’instant, Amine ne peut sortir comme il veut, ni organiser des manifestations publiques. Il est surveillé de prêt parce que l’affaire n’est pas close a expliqué une source proche du parquet qui a requis l’anonymat.
Amine Michel sous contrôle judiciaire ne peut se rendre à Bangui et par conséquent traite avec Sarandji et Ngouadjika qui complotent depuis longtemps contre Faustin Archange Touadera.
Des sources indépendantes confirment que plus de 80 millions de FCFA ont été versés à Amine Michel pour obtenir son ralliement tardif au MCU.
Selon certaines indiscrétions Mathieu Simplice Sarandji joue cette carte parce qu’il viserait la présidence de la République. En plaçant ses pions partout il est maintenant certain de déstabiliser le pouvoir de son cher cadet Faustin Archange Touadera.
Invalider la candidature des hommes dévoués à la cause du chef de l’état est un plan machiavélique de Mathieu simplice Sarandji.
Le pot aux roses démasqué à l’exemple de la démission de Ludovic Ledo qui s’est senti frustré par cette fausseté, c’est que la médiocrité est instituée au sommet de l’état depuis l’accession de Sarandji à la primature.
Eh oui, la roue tourne, elle s’appelle Histoire, celle-là qui met fin aux cycles des imposteurs tyranniques qui se prétendaient dirigeants ! Mais ne sont représentatifs que de petits nombres à la marge. Nous vous faisons pénétrer dans l’envers du décor de ce splendide ÉCHEC des médiocres !
Comme si personne ne pouvait s’imposer bien qu’au sommet de l’état nous avons trois gouvernants (Touadera-Sarandji et Ngouadjika) et c’est le très moyen qui s’impose partout.
L’ordre désagréable claque en…soyez moyen, sentez moyen, pensez moyen, œuvrez moyen et restez moyen.
Cet état équivalent à l’apprentissage de l’enfance, qui doit se sentir inférieur mais uniquement dans ce qu’il apprend, afin de l’apprendre justement, d’accepter de l’apprendre – mais qui doit s’interrompre avec les rites de passage de l’adolescence.
La médiocratie, elle, dure tout le mandat : tout y est fausse monnaie. C’est antinaturel, c’est complètement malsain, c’est une déviance que ne doit pas admettre la société…D’où ceci provient, oui ces perversions ?
Le fait que la démocratie est le fait de donner le pouvoir aux moins que rien, aux faiblards aux mollusques en Centrafrique, Sarandji et Ngouandjika croient disposer de trop de temps afin de nuire à tous les grands esprits, les êtres brillants ou rayonnants, les grandes âmes, les charismatiques.
Avec le but, par l’usure des mesquineries, de les faire tomber, de les effacer, d’en faire oublier les méthodes et les résultats (enfin, surtout, de « croire » » qu’ils le font…). Les médiocres n’ont pas pris réellement le pouvoir (dans le sens positif de ce mot de « pouvoir », qui est de changer l’immobilisme en un désir puissant de transformation collective) – ils l’empêchent, seulement, de pouvoir fonctionner.
D’où la survenance de mots boiteux et enlisés, tels « gouvernance », où personne ne décide et où tout s’effondre dans la gestion limitée aux uniques intérêts trop particuliers. Trop particuliers parce que particulièrement égoïstes.
La nation est étouffée par ces intérêts qui suicident toute la société puisque leurs accumulations virales ne sont pas…gérables ! Autrement qu’en posant des régulations partout. Oui des limitations, des plafonds, des cordons de protections sanitaires : la médiocratie c’est si nuisible pour la civilisation qu’il faut vite lui mettre des…bornes. Des bornes pour les bornés !
Le très grave dommage de cette médiocratie, de ce règne des cœurs vulgaires, des insensibilités et indifférences aux autres – c’est qu’ils/elles ne savent absolument pas penser.
Qu’ils refusent les règles qui permettent de raisonner, d’argumenter ou de débattre…collectivement. Cette mégalomanie de l’insignifiance détruit tellement de sociabilités et de débats de fonds… C’est le « règne des assassins » de Rimbaud, ces assis, qui ne sont pas des tueurs au sens concret, mais de terribles simplificateurs, des destructeurs insensibles à tous sentiments d’empathie s et de compassions, des êtres profondément indifférents à tout ce qui n’est pas leurs uniques narcissismes. Et que, s’il n’y avait pas tant de cupidités économiques, de m’as-tu-vu culturels qui n’ont rien à dire sinon tout saturé de leur vaine image, des avides de gloires sans contenus (juste médiatiques), etc. – autres médiocres en fait – cette médiocratie aurait été domptée depuis longtemps. Et les talents, compétences brillantes, voire génies se seraient attelés à…réparer tous les dégâts causés par les médiocrates.
Ils ne sont pas assez grands pour savoir reconnaître les autres, éprouver de la gratitude, émettre de l’admiration existentielle. Montrer un cœur ardent. Rien ne les soulève, ne les surpasse, ne les dépasse, ne les transporte, ne les envole, ne les rend gigantesques…Ils sont trop sous leur taille pour « voir » une pensée, la parcourir et en savourer toutes les beautés. Ils n’ont à partager avec autrui que…l’effondrement d’eux-mêmes, la déception à tous les étages. Ils rétrécissent tout à leur manque de vision et leurs cœurs de hideux avares.
Notons que Selon des informations venant des marseillais Amine Michel endetté jusqu’aux molles serait aux abois car il aurait mis sa résidence à Marseille en vente sans preneur jusqu’alors.
Fait à Bangui le 28-11-2020
Par Mathieu BAGAZA
Rapporteur Général de l’UNDP
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