Ndachima : les Wagner organisent des séances de sodomisation à grande échelle
Ndachima, une localité située à environ soixante kilomètres de Bambari, chef-lieu de la préfecture de la Ouaka, est devenue un lieu où se déroule à mainte reprise des activités troublantes orchestrées par les mercenaires du groupe Wagner.
Ces derniers, connus par les centrafricains pour leur criminalité de grande envergure, ont installé, depuis plusieurs années, à Ndachima, leur seconde principale base militaires consacrée à la surveillance de leurs sites miniers locaux. Cependant, en dehors de leur principale activités sécuritaire, ces mercenaires russes s’adonnent à d’autres activités criminelle, celle de la sodomisation des jeunes garçons.
D’après des informations recueillies par notre correspondant à Bambari qui s’est rendu à plusieurs reprises dans ce village minières de la Ouaka, où les mercenaires russes invitent régulièrement des jeunes garçons des villages environnants, y compris ceux en provenance de Bambari, où ils les accueillent avec des repas et des activités attractives. Mais derrière cette façade se cachent des actions plus sombres. Après ces festivités à la Vodka, des comportements étranges surviennent à l’intérieur de la base des mercenaires. Selon des témoignages locaux, les Wagner passent à la sodomisation en Yobo de ces pauvres jeunes garçons. Entre 4 à 5 hommes sur un seul garçon. Et cela s’est répété à plusieurs reprises. Comme si ces jeunes garçons ont consenti et acceptent leur sodomisation par ces Wagner à cause de la nourriture et de petites sommes d’argent qu’on leur donne.
La nouvelle de cette activité sexuelle de ces jeunes garçons a énormément choqué la population de Ndachima, plus particulièrement les artisans miniers et les conducteurs des véhicules des mercenaires russes. Ceci dépasse l’entendement. Les mercenaires du groupe Wagner, habitués à ce type d’activité, même sur nos soldats, n’ont guère rencontré de résistance farouche à Bangui comme en provinces. Leur arrogance atteint un point où ils déclarent qu’en Centrafrique, il n’y a pas des hommes.
L’impunité dont ils jouissent de la part de nos soi-disant autorités, aggravée par la facilité déconcertante qu’ils sodomisent nos soldats et certains jeunes garçons, arrêtent et emprisonnent certains commandants de brigades et des maires, tuent les civils, et agressent sexuellement nos mamans ainsi que nos sœurs est manifeste.
Rappelez-vous, même dans des lieux publics, comme la boîte de nuit 16ème dans le cinquième arrondissement à Bangui, ils sèment la terreur. Les tirs de pistolet en l’air ont fait fuir les clients, marquant leur domination par la peur.
Toutefois, la passivité des autorités et de la population face à ces actes criminels encourage les mercenaires à poursuivre leurs méfaits. Ndachima est aujourd’hui un symbole de la violence et de l’impunité qui règnent, un rappel douloureux des défis sécuritaires auxquels la Centrafrique est confrontée.
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