Héritier Doneng : Quand un Chef Milicien roule la France dans ses activités Criminelles.
Il est inconcevable qu’un individu comme Héritier Doneng, chef de la milice sanguinaire « Requin », puisse encore bénéficier de privilèges diplomatiques. Responsable de massacres, de pillages et de viols en Centrafrique, ce criminel notoire, qui a fait régner la terreur dans les rues de Bangui, a été officiellement invité par la France à assister à l’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024. La France, autrefois fière de ses principes républicains et des droits de l’homme, se couche aujourd’hui devant un meurtrier dont les crimes sont bien documentés et connus de tous, y compris des autorités françaises.
Bangui, 19 août 2024.
Par la rédaction de Corbeau News Centrafrique.
La France : Complice d’un assassin.
Héritier Doneng n’est pas un simple ministre au passé douteux. Il est un bourreau, un assassin, dont les mains sont tachées du sang de milliers de Centrafricains. À la tête de la milice « Requin », il a semé la terreur, causant la mort de civils innocents et orchestrant des massacres sans précédent. Les victimes de Doneng sont nombreuses, et leurs cris de justice résonnent encore. Pourtant, la France, en acceptant de l’inviter, en faisant de lui un “diplomate”, se rend complice de ses crimes. Le silence coupable des autorités françaises face à l’horreur de ses actions est une honte pour la République.
Un opportunisme diplomatique qui dégoûte.
Au lieu de répondre de ses actes devant une cour de justice, Doneng utilise son poste ministériel pour obtenir des privilèges personnels. Récemment, avant le lancement des jeux olympiques de Paris, il a envoyé une note à l’ambassadeur de France contenant une liste de 11 individus, pour demander que ceux-ci reçoivent des visas.
Parmi les personnes citées, on retrouve sa propre fille soi-disant, car c’est lui-même qui le précise dans la liste, ainsi qu’un couple d’agriculteurs ses parents et le chef de service de protocole qui fait office de son garçon de course, qu’il l’a qualifié de directeur de protocole. Cette demande est un nouvel affront à la dignité des Centrafricains. Ce n’est pas seulement une preuve d’opportunisme, c’est une insulte à toutes ses victimes. Que viennent faire ces gens dans une délégation officielle censée représenter la Centrafrique aux Jeux Olympiques ? La réponse est simple : il s’agit d’un abus de pouvoir éhonté, d’un stratagème pour permettre à ces individus de fuir le pays sous couvert de diplomatie.
Une France déshonorée.
En cédant à cette demande, la France ne fait pas que perdre son honneur ; elle se rend complice d’un criminel de guerre. Comment un pays qui se targue de défendre les droits de l’homme peut-il accepter de telles pratiques ? En fermant les yeux sur les atrocités commises par Doneng, la France prouve qu’elle est prête à sacrifier ses valeurs sur l’autel du pragmatisme diplomatique. Elle envoie un message terrible : les droits de l’homme ne pèsent rien face aux intérêts politiques et économiques.
La rage du peuple centrafricain.
Les Centrafricains en ont assez de ces jeux d’hypocrisie. La publication de la liste des bénéficiaires de visas sur les réseaux sociaux a déclenché une vague d’indignation. La colère du peuple est à son comble. Comment accepter que le bourreau de leurs frères et sœurs puisse profiter d’une escapade à Paris, accompagné de ses proches ? Comment accepter que la France, censée être un bastion de justice, accorde des privilèges à un criminel alors que des milliers de Centrafricains continuent de souffrir des conséquences de ses actions ?
Honte à la France, honte à Doneng.
Il n’y a pas de mots assez forts pour exprimer la trahison ressentie par les Centrafricains. Héritier Doneng aurait dû être jugé pour ses crimes, et non honoré par une invitation aux Jeux Olympiques. La France, en acceptant de jouer ce jeu pervers, trahit non seulement le peuple centrafricain, mais aussi ses propres principes. C’est une honte internationale, un scandale qui ne peut être ignoré. La complaisance envers les criminels de guerre doit cesser, et cela commence par refuser d’accorder des privilèges à des monstres comme Doneng.
Conclusion Intégrée
Cette affaire montre à quel point la situation est désespérée. Le peuple centrafricain ne mérite pas que son bourreau soit ainsi honoré. La France doit se ressaisir et montrer qu’elle est encore capable de défendre les valeurs qui ont fait sa réputation. Mais pour cela, elle doit cesser de courber l’échine devant des criminels comme Héritier Doneng. Le temps de l’impunité doit prendre fin. Il est temps de rendre justice à ceux qui ont souffert sous le joug de ce tyran.
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