Le conflit persistant en Centrafrique est alimenté par le déni des droits de minorité,la marginalisation et la stigmatisations de ces minorités engendre forcement la frustration susceptible d’alimenter la haine entre les différentes couches de la population,d’où ce que nous vivons en Centrafrique.
La réponse privilégiée comme étant un moyen de résoudre définitivement les problèmes,n’est que de façade,d’où la recrudescence sans cesse des conflits dans ce pays. De part une analyse historique et ponctuelle,les tentatives pour mettre un terme à la violence privilégiée par le gouvernement de transition et la communauté internationale,ne font que préparer le terrain pour beaucoup de violence à venir,les”accords de paix se transforment en de simples cessez-le-feu,les droits de la minorité musulmane doivent être inscrits dans la constitution et doivent être appliqués sans hypocrisie dans tous les rouages de l’administration(pendant les élections,dans le système de la défense et de sécurité,dans le domaine domaine de l’éducation et justice,sans exception).
Seule la défense des droits de minorité musulmane,par les gouvernements qui seront mise en place à l’avenir et aussi par l’implication de la communauté internationale garantissant ces droits,que les conflits de ce genre en Centrafrique ne se reproduisent plus.
CANEVAS