Bangui (République centrafricaine) – Décidément, le sulfureux cherché à manger Chantal Jean-Édouard Koyambonou et sa clique de Étienne Malekoudou, Abel Ténguéré, Christian Gonidéré et Julius Saboko sont désormais connus dans toute la capitale comme des symboles de l’indécence politique de ces vingt dernières années en République centrafricaine.
Rédigé par Prisca VICKOS
Publié par Corbeaunews Centrafrique (CNC), le vendredi 16 décembre 2022
Koyambonou et sa clique pris en flagrant délit
La célébration de la festivités du 64e anniversaire de la proclamation de la République centrafricaine le 1er décembre dernier révèle au grand jour l’indécence du politique et la médiocrité cognitive de certains, soi-disant, politiciens centrafricains. Une occasion pour eux, de s’enrichir. Les symboles de cette pratique malsaine en politique centrafricaine sont, entre autres, Chantal Jean-Édouard Koyambonou, Étienne Malekoudou et Abel Ténguéré. Leur objectif, chercher toujours de quoi à manger.
Au départ, selon des informations recueillies par CNC, la rencontre entre le ministre chargé du secrétariat du gouvernement, monsieur Maxime Balalou et ces trois politicards du groupe MLPC-CO qui est à l’origine de toute cette perversion politique. Le ministre aurait exigé au sieur Koyambonou et sa clique que, désormais, dans toutes les activités officielles du pays, il faut qu’ils fassent tout pour que, le nom du MLPC seul soit entendu par les Centrafricains et non celui de Martin Ziguélé.
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L’indécence politique
Ainsi, pour le défilé du 1er décembre dernier, Koyambonou et sa clique sont allés au quartier Langbashi, dans le deuxième arrondissement de Bangui, recruter une dizaine des femmes pour venir defiler, habillées en tee-shirts et pages confectionnés avec les motifs de son organisation, le MLPC-CO, dernières les pancartes du MLPC. Avec la promesse de remise à chacune des participantes, un billet de 5 000 francs CFA et un petit lot de pagne de 6m. Or, ce que ces pauvres mamans ont oublié, c’est qu’elles font face aux pires escrocs politiques de ces 5 dernières années en Centrafrique.
Après le défilé du 1er décembre, Koyambonou et sa clique ont envoyé à chaque participante un billet de 1 000 francs CFA au lieu de 5 000 francs CFA promis. Pour les pagnes, elles ne verront pas la couleur. Sur le champ, la colère monte de plusieurs crans. Ces pauvres mamans ont décidé de mettre la main sur Koyambonou et sa clique. Elles sont allées les chercher en vain devant la résidence hôtelière de monsieur Jackson Mazette, située sur l’avenue de l’indépendance face au lycée Barthélemy Boganda .
Pour l’heure, Koyambonou et sa clique sont devenus des rats dans une maison abandonnée et habitée par un chat. Et ces pauvres mamans de Langbashi sont toujours à leurs trousses, depuis lors, en vain.
Contractées par la Rédaction, ces mamans ont juré qu’elles ne vont pas lâcher. Elles vont poursuivre leur recherche afin de les salir publiquement et percevoir chacune, les restes de 4 000 f CFA.
Affaire à suivre…
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