Kaga-Bandoro : Un casque bleu pakistanais devenu casque rouge. En colère, il a mordu et manger le nez d’un adolescent en présence du Préfet

0
99

Kaga-Bandoro : Un casque bleu pakistanais devenu casque rouge. En colère, il a mordu et manger le nez d’un adolescent en présence du Préfet

 

Kaga-Bandoro : Un casque bleu pakistanais devenu casque rouge. En colère, il a mordu et manger le nez d'un adolescent en présence du Préfet
Des casques bleus de la Minusca en Centrafrique

 

Rédigé le 01 septembre 2025 .

Par : la rédaction de Corbeaunews-Centrafrique (CNC). 

Notre équipe d’enquête a passé une semaine à vérifier cette affaire. La MINUSCA et les autorités préfectorales de Nana-Gribizi tentent d’étouffer le scandale.

 

En effet, il y a une semaine, à Kaga-Bandoro, un casque bleu pakistanais a agressé sauvagement un jeune adolescent. Il lui a mordu et déchiqueté le nez dans des circonstances qui soulèvent de graves questions sur la conduite des forces de maintien de la paix.

 

Notre équipe de journalistes a mené une enquête discrète pour comprendre ce qui s’est réellement passé. Nous avons contacté le préfet de Nana-Grébizi, dont dépend Kaga-Bandoro. Il confirme les faits mais refuse d’entrer dans les détails. Visiblement gêné, il coupe court à toute discussion approfondie.

 

Du côté des casques bleus pakistanais, c’est le silence total. La MINUSCA a verrouillé l’information. Même la famille de la victime se mure dans le silence, probablement sous pression. Nous continuons nos recherches pour obtenir plus d’éléments dans les prochains jours.

 

Voici ce que nous avons pu reconstituer de cette affaire. L’adolescent aurait volé quelque chose appartenant aux casques bleus pakistanais. On ne sait pas quoi exactement, ni si ces accusations sont fondées. Après le vol présumé, le jeune a pris la fuite.

 

C’est le préfet de Nana-Grébizi qui a retrouvé l’adolescent. Au lieu de le remettre aux autorités judiciaires, il l’a directement amené à la base des casques bleus pakistanais.

 

C’est là, devant le préfet, que l’un des casques bleus pakistanais en colère s’est jeté sur l’adolescent. Dans un accès de rage, il lui a manger le nez, le déchiquetant partiellement. Une agression d’une violence inouïe qui transforme ce supposé gardien de la paix en tortionnaire.

 

Au lieu d’emmener immédiatement la victime à l’hôpital, les casques bleus l’ont gardée dans leur infirmerie de base. Ils la soignent là-bas depuis une semaine, loin des regards. Cette décision vise clairement à empêcher que l’affaire ne s’ébruite en ville.

 

La famille reçoit des consignes strictes : ne parlez à personne. Les autorités préfectorales de la Nana-Gribizi participent activement au camouflage. Tout le monde travaille pour que cette histoire reste secrète.

 

Les habitants de Kaga-Bandoro se demandent. Comment un casque bleu, censé maintenir la paix, peut-il devenir si violent pour une simple accusation de vol ? Qu’est-ce que ce jeune aurait pu voler de si précieux pour justifier une telle sauvagerie ?

 

Personne ne sait même si l’adolescent a réellement commis un vol. Mais même si c’était le cas, aucun objet ne vaut qu’on mutile le visage d’un enfant.

 

La MINUSCA préfère étouffer l’affaire plutôt que de faire la vérité. Cette attitude complice transforme un incident grave en scandale institutionnel. Au lieu de sanctionner et d’enquêter, on camoufle et on fait taire.

 

Même la presse reste muette, probablement par peur ou sous pression. Cette omerta généralisée pose une question: à quoi servent les forces de maintien de la paix si elles brutalisent les populations qu’elles sont censées protéger ?

 

Un casque bleu qui devient casque rouge, c’est exactement ce qui s’est passé à Kaga-Bandoro. Un adolescent porte aujourd’hui les cicatrices de cette violence institutionnelle. Sa famille vit dans la peur et le silence.

 

Cette affaire dépasse le simple fait divers. Elle questionne la responsabilité de la MINUSCA et sa capacité à contrôler ses propres troupes. Quand les gardiens de la paix deviennent eux-mêmes source de violence, qui protège les civils ?

 

L’enquête continue. Nous ne lâcherons pas cette affaire tant que la vérité ne sera pas établie et que justice ne sera pas rendue à cet adolescent mutilé.

 

CONTACTER CORBEAU NEWS CENTRAFRIQUE

Corbeaunews Centrafrique

Tel/ WhatsApp : +236 75 72 18 21

Email: corbeaunewscentrafrique@gmail.com

Rejoignez notre communauté

Chaine officielle du CNC

Invitation à suivre la chaine du CNC

CNC Groupe 3

CNC groupe 4

CNC groupe le Soleil

Note : les deux premiers groupes sont réservés  uniquement aux publications officielles du CNC