Tensions ethniques exacerbées : La gendarmerie face à ses démons interneas
La gendarmerie centrafricaine, bastion de la sécurité nationale, est secouée par des tensions internes d’une gravité sans précédent. Depuis l’ascension du général Landry DEPOT à sa tête, une division insidieuse se creuse, alimentée par une animosité inexplicable envers les officiers de l’ethnie Gbaya, révèlent des sources internes.
Le général DEPOT, dans un comportement aussi déconcertant qu’inquiétant, semble nourrir une aversion profonde envers ses pairs Gbaya. Ses actions, souvent soutenues par Madame Mamadou Patricia, elle-même Gbaya, ont eu pour effet de reléguer les officiers Gbaya au second plan, les excluant ainsi de toute participation significative dans la gestion des affaires sécuritaires de la nation.
Selon les informations recueillies auprès de plusieurs officiers de la gendarmerie, qui ont préféré garder l’anonymat par crainte de représailles, le général DEPOT déploie des stratégies discriminatoires à l’encontre des officiers Gbaya. “Nous sommes traités comme des parias au sein de notre propre institution”, confie l’un des officiers interrogé par la rédaction du CNC.
Un autre officier, la voix empreinte de frustration, déclare : “Le général DEPOT agit comme s’il avait une vendetta personnelle contre nous, simplement à cause de notre ethnie. C’est dévastateur pour la cohésion et l’efficacité de la gendarmerie.”
Les conséquences de cette politique discriminatoire se font sentir dans les quartiers de Bangui, où les officiers Gbaya, autrefois piliers de la sécurité du pays, errent désormais dans les méandres de l’oubli professionnel, relégués à des postes marginaux.
La situation soulève des questions essentielles sur l’intégrité et l’impartialité au sein des forces de sécurité centrafricaines. En favorisant la division ethnique au détriment de l’unité nationale, le général DEPOT compromet gravement la stabilité et la confiance du peuple envers ses forces de l’ordre.
Face à ces accusations troublantes, les autorités du pays se doivent d’agir avec fermeté et impartialité pour restaurer l’équité au sein de la gendarmerie et préserver l’unité nationale.
À dire vrai, l’avenir de la gendarmerie centrafricaine repose sur sa capacité à surmonter les divisions ethniques et à promouvoir une culture d’inclusion et de respect mutuel. Seul un engagement résolu en faveur de la justice et de l’égalité permettra à cette institution vitale de retrouver sa légitimité et sa crédibilité aux yeux du peuple centrafricain.
Par Alain Nzilo
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