“Le Groupe des ambassadeurs africains à Pékin exige immédiatement l’arrêt des tests forcés, de la quarantaine et des autres traitements inhumains infligés aux Africains”, déclare la note adressée au chef de la diplomatie chinoise, Wang Yi.
Une copie a aussi été envoyée au président en exercice de l’Union africaine, le Sud-Africain Cyril Ramaphosa, ainsi qu’à tous les ministres africains des affaires étrangères.
Côté chinois, les autorités rejettent ces accusations et parlent plutôt “d’incidents isolés”.
“La Chine traite tous les individus du pays, chinois et étrangers, sur un pied d’égalité”, lit-on dans un communiqué publié par l’ambassade de Chine au Zimbabwe.
Avec VOA