TOUT EST FINI, ET TOUT EST BIEN FINI…., UNE FIN EST UNE FIN…
ET LA DESCENTE DANS LES NOIRES ABYSSES VA COMMENCER
Le Seigneur donne ce dont on a besoin au moment dont on en a besoin. IL ne se substitue pas à nous, mais soutient nos efforts. IL nous rend libres, autonomes, responsables, parce que c’est question de vie ou de mort et nous devons veiller les uns sur les autres. Mais le Peuple Centrafricain a été un Peuple de déception.
Pourquoi ?
Parce que,
Peuple peureux, qui ne veut pas prendre de risque,
Peuple qui accepte facilement la soumission aveugle, sous prétexte de préserver le pain de sa famille, alors qu’il vit dans la galère,
Peuple méchant de cœur, parce qu’il manque d’amour,
Peuple non solidaire, parce qu’il n’aime pas assister les autres, mais voudrait bien que les autres l’assistent, alors que la solidarité et la nécessité de partager s’imposent pour faire face aux fléaux sociaux ou aux épreuves de la vie,
Peuple qui n’applique pas les préceptes et messages divins, alors qu’il accepte facilement les balivernes des faux prophètes,
Peuple qui, pour avoir négativement imité et copié des modèles importés, refuse sa tradition, alors que la tradition est la foi vivante des ancêtres, la racine de l’inspiration pour aller de l’avant et la référence pour le futur.
Pour sa survie maintenant et désormais, le Peuple Centrafricain se doit d’avoir de nouveaux regards, parce qu’il a déjà porté sa propre mort en terre à travers les souffrances séculaires, les inimaginables et innommables exactions, affres de la première période (1960-2023) de la pseudo-indépendance octroyée et doit :
- Renaître par une réconciliation vraie, rendue inévitable par l’hyper sanguinaire Touadera qui a allumé des feux tout autour de lui, lesquels feux se sont interconnectés et dégagent la chaleur d’un four crématoire qui commencer à le calciner, notamment,
- Le feu des groupes armés qu’il a dilatoirement et sibylline ment amnistiés,
- Le feu des mercenaires Wagner qui ont mis à feu et à sang le pays et qui sont auteurs d’une prédation inédite
- Le feu Lorenzo, Président de l’Angola avec qui il est en affaire dans les diamants-or et les bovidés, qui lui avait proposé entretemps de nommer un Leader de l’opposition à la Primature pour faire chuter la pression politique,
- Le feu Kagamé, son beau-père du Rwanda qui voudrait faire de Centrafrique l’arrière-base pour mieux déstabiliser la République Démocratique du Congo-RDC avec le M23 pour continuer de piller ses ressources minières,
- Le feu de la mafia avec Amougou Bélinga, commanditaire et acteur d’assassinat, arrêté au Cameroun dont les premières révélations sont accablantes pour lui,
- Le feu des grands mauvais esprits pour neutraliser les Leaders de l’Opposition Démocratique et de la Société Civile qui le combattent,
- Se détacher de la soumission noire entretenue, grâce aux grands mauvais esprits depuis 7 ans pour une obéissance aveugle, et être en mesure de savoir quelle nouvelle société centrafricaine il faut construire après tous les gâchis politiques de notre histoire socio-politique peu glorieuse, et être capable de transformer le désordre en ordre, de faire mieux sur fond d’amour de la Patrie, c’est-à-dire, instaurer un monde juste ou équitable, heureux, prospère reposant sur des valeurs de :
- Vérité pénitentielle,
- Pardon sincère,
- Paix du cœur,
- Guérison sociale adaptée,
- Réconciliation vraie,
Afin de connaître la gloire et la splendeur divines.
Mais curieusement, au moment où le Bon DIEU a accepté que le Peuple Centrafricain prenne sa destinée en main, voilà que Sieur Touadera, dans l’ardente chaleur de son four crématoire, charge un illuminati honorable d’évoquer un dialogue salvateur et envisage de nommer à la Primature un Leader de l’opposition.
Mais quel dialogue ? Et pourquoi maintenant ?
Et un Leader de quelle opposition ? Son opposition politique créée de toutes pièces ou l’Opposition Démocratique ?
N’est-il pas trop tard Sieur Touadera ? Vous étiez dans le couloir de la mort, maintenant vous êtes dans le four crématoire. La situation est irréversible.
Sincères considérations.
WAFIO Jean Serge
Président Fondateur du PDCA