CENTRAFRIQUE : Quand le Ministre Bertrand Touaboy renie son origine et trahit
Bouar, le 18/05/2017
Par : Anselme Mbata, CNC.
Pour mieux découvrir cette brebis galeuse qui ne reconnait plus son origine politique ni la personnalité qui a fait de lui ce qu’il est maintenant, revenant sur le baromètre d’évaluation des ministres de SARANDJI.
Ministre de l’Entreprenariat National, de l’Artisanat, de la Promotion des Petites et Moyennes Entreprises :
01 /20.Exclu sur décision du Conseil car, élève clando jamais reconnu et jamais reconnaissant.
Ministre invisible, incompétent, incontrôlable et incontrôlé. Ce ministre, sincèrement est l’exemple patent qui fait la honte de la jeunesse centrafricaine. Il est lui-même la justification totale de certains ténors d’une idéologie selon laquelle la jeunesse centrafricaine ne vaut rien.
Hors bien de membres de la jeunesse centrafricaine, malgré la baisse de niveau tant dénoncée qui fait que plusieurs préfèrent le chemin facile pour atteindre leurs objectifs, se défendent valablement car compétents et astucieux dans l’exercice des fonctions qu’ils occupent.
Nous ne dirons jamais assez qu’il de ces personnalités qui ne lésine pas avec les frauduleux honteux moyens qu’ils utilisent pour s’approcher de certains valeureux responsables du pays lorsqu’ils ont un but à atteindre.
Tel est, nous pouvons l’affirmer avec fracas, le cas de Bertrand Touaboy, un petit directeur au ministère des mines, sans parti politique car incapable de faire valablement figure d’adhérent qui puisse réellement soutenir un parti, a trompé la vigilance des responsables de l’URCA, s’affichant comme un admirable patriote, or c’était pour atteindre le but qu’il s’était assigné, celui de devenir ministre quelque part. Et ça y est, grâce à ce défendeur des compatriotes qu’est Anicet George DOLOGUELE, président de l’URCA qui n’a pas voulu salir ses mains en acceptant devenir un ministre, lui a fait confiance et l’a proposé ministre de l’entreprenariat.
Nouveau ministère, il fallait bien quelqu’un de valeureux pour donner du dynamisme à ce ministère dont la simple dénomination fait rêver plus d’un Centrafricain à une véritable flambée d’entreprises en RCA à cause des diverses potentialités et richesses du pays.
Dommage, plus d’un an aujourd’hui au volant dudit département, la médiocrité de son ministre et surtout sa fâcheuse incompétence ont vite fait de donner des résultats qui sont à la hauteur de leur maître.
Qu’à cela ne tienne, Bertrand Touaboy ne cesse de démontrer par son comportement de véritable animal enragé, son incompréhensible ingratitude envers celui à qui il doit sa fragile ascension car ne comprenant pas qu’occuper un poste ministériel n’est que vanité.
Combien de ministres sont-ils déjà passés là ? Au cas d’un fracas dégringolade, va-t-il se tourner vers son faiseur qu’est Anicet-Georges DOLOGUELE ? Puisque la risée ne tu pas le ministre centrafricain, certes que Bertrand Touaboy, sans vergogne aucune, va se remettre à pavaner dans les alentours de l’URCA et de son président. Sans blague, et peut être, il se retournera vers SARANDJI son nouvelle bête à traire pour qui il se dévoue désormais.