Sexe et pouvoir en Centrafrique : le scandale du président putschiste Touadera
Bangui, 19 septembre 2023 (CNC) – La République centrafricaine , un pays riche en culture et vachement aussi riche en histoire grâce au nombre de ses rebellions et aussi au nombre de ses multiples coups d’Etat, est aujourd’hui le théâtre d’une autre histoire scandaleuse qui vient s’enrichir son histoire vachement déjà riche et secoue l’ensemble des nations au monde désormais. Au cœur de cette controverse histoire, c’est le président putschiste constitutionnel Faustin Archange Touadera. Il est sous le feu des projecteurs pour ses liaisons tumultueuses avec des conséquences désastreuses qu’elles entraînent sur le pays et surtout, sur les filles. Le sexe et le pouvoir se mêlent de manière choquante, révélant un côté obscur de la politique centrafricaine.
Touadera, un président putschiste avec trois femmes officielles.
Faustin Archange Touadera, a déjà chez lui trois femmes officiellement reconnues, mais cela ne semble pas le suffire à étancher sa soif de relations amoureuses. Le putschiste Touadera poursuit ses multiples conquêtes des maîtresses ave son titre à travers le pays et à l’étranger, brouillant les frontières entre sa vie personnelle et son rôle politique. Parmi ses conquêtes notoires, on compte déjà et l’on peut recompter dans son gouvernement, la ministre des Affaires étrangères, Sylvie Baïpou-Temon, et la ministre de la Culture, Jennifer Saraiva-Yanzéré.
Un réseau de relations scandaleux
Ce qui est plus choquant, c’est que le président putschiste Faustin Touadera ne s’arrête pas là, sur les deux femmes qu’il les a placées dans ses gouvernements à répétition. Il étend, et continue d’étendre, ses réseaux de relations jusqu’aux enfants même de ses collaborateurs et de ses amis proches, tels que les filles de Simplice Mathieu Sarandji, président de l’Assemblée nationale, les filles d’Émile Gros Nakombo, président de la délégation spéciale de la ville de Bangui et les filles de Pierre Somsé, son ministre de la Santé Publique, pour ne citer que ceux-ci.
Non content de simplement fréquenter ces jeunes femmes, le président putschiste les nomme ensuite à des postes de responsabilité au sein du pouvoir ou dans son cabinet ou dans un cabinet ministériel, comme l’a été le cas avec la mauricienne Sandra Bodin. Une belle occasion pour lui de les aligner sur des missions à l’extérieur du pays à tour de rôle.
L’abus de pouvoir exposé au grand jour
La révélation la plus troublante est que le président putschiste Faustin Archange Touadera intègre ces jeunes femmes dans sa délégation lors de ses voyages à l’étranger, ouvrant ainsi la porte aux abus de pouvoir divers et aux corruptions dignes de ce nom. Les conséquences de cette pratique ne se font pas attendre non plus. Les jeunes femmes se rivalisent désormais ouvertement entre elles pour gagner les faveurs du président, et cela a récemment atteint son apogée et un point très critique lors qu’une violente altercation a eu lieu au Cuba la semaine dernière entre la fille du ministre Pierre Somsé, la brune jeune mademoiselle la plus cherie de Touadera, Sandra Somsé, et l’ancienne, la plus vielle et démodée à ses yeux, Madame la ministre des Affaires étrangères, madame Sylvie Baïpou Temon. Les deux jeunes femmes se sont battues comme à l’école primaire pour déterminer qui aurait l’honneur d’accompagner désormais Faustin Archange Touadera.
Les répercussions sur la nation centrafricaine
Ce scandale met en lumière la déliquescence des institutions politiques en République centrafricaine. L’exploitation des relations personnelles pour des gains politiques et financiers est non seulement inacceptable sur le plan éthique, mais elle sape également la stabilité du pays. Les luttes internes pour gagner les faveurs du président peuvent détourner l’attention des véritables enjeux et des besoins du peuple centrafricain.
Précisons que l’affaire des conquêtes du président putschiste Faustin Archange Touadera révèle un sombre chapitre de la politique en République centrafricaine, où le pouvoir est utilisé pour satisfaire des désirs personnels, et où les conséquences touchent non seulement les personnes impliquées, mais aussi toute une nation. Les détails de cette affaire continuent de se dévoiler, laissant de nombreux citoyens inquiets pour l’avenir de leur pays. La République centrafricaine mérite une gouvernance responsable et transparente, plutôt que d’être le théâtre de scandales politiques qui sapent la confiance du peuple envers ses dirigeants.
Par Alain Nzilo
Directeur de publications
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