Bangui, 27 nov. 21 (Corbeaunews – Centrafrique ) – « L’État de droit en République centrafricaine a subi un assaut frontal vendredi lorsque des gendarmes nationaux ont facilité la sortie de détention de Hassan Bouba et que la Cour pénal spécial a été empêché d’accéder au centre de détention.

Hassan Bouba appartient à la garde à vue conformément à l’ordonnance du tribunal pour faire face aux accusations que la Cour pénale spéciale a apporté contre lui pour les crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
Le gouvernement de la République centrafricaine est à la croisée des chemins entre justice et impunité. ” Le gouvernement doit clairement soutenir son retour en détention afin que la justice réclamée à plusieurs reprises par le peuple centrafricain puisse être rendue. ” Declare Lewis et Élise
Lewis Mudge, Directeur Afrique centrale
Elise Keppler, Directrice associée, Programme de justice internationale
Human Rights Watch