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La ministre Michel Mouanga, souffrant de problèmes psychiatriques, sème le chaos dans son ministère

La ministre Michel Mouanga, souffrant de problèmes psychiatriques, sème le chaos dans son ministère

 

Michelle Mouanga, ministre du travail et de la formation professionnelle
Michelle Mouanga, ministre du travail et de la formation professionnelle

 

 

La ministre du Travail, Annie-Michel Mouanga, connue pour ses troubles psychiatriques, a provoqué un désordre sans précédent dans son ministère. Ses actions impulsives et ses accusations injustifiées contre ses collègues ont créé un climat de travail toxique, rendant la gestion quotidienne de plus en plus difficile.

 

Bangui, 7  juin 2024.

Par la rédaction de Corbeau News Centrafrique.

 

Depuis sa nomination au gouvernement, Annie-Michel Mouanga, ministre du Travail en Centrafrique, a créé une atmosphère de chaos au sein de son ministère. Ses problèmes psychiatriques qu’elle en souffre depuis la France ont entraîné des conflits constants avec ses collaborateurs, perturbant gravement la gouvernance et la gestion des affaires courantes. Cette situation renvoie à une défaillance systématique dans la sélection et la nomination des responsables au sein du gouvernement de Faustin-Archange Touadéra.

 

Un ministère en crise!

 

Sous la direction de Annie-Michel Mouanga, le ministère du Travail a vu son efficacité diminuer drastiquement. Elle a transformé cette institution en un terrain du détournement massif et de favoritisme, nommant ses proches à des postes clés sans considération pour leurs compétences. Les décisions sont souvent prises de manière impulsive, sans consultation ni planification, aggravant les tensions au sein de l’équipe.

 

Accusations et conflits internes!

 

Annie-Michel Mouanga a publié jeudi un texte sur les réseaux sociaux, dans lequel elle accuse plusieurs de ses collaborateurs de ternir sa réputation. Parmi les personnes ciblées, on trouve Raymond Nguimalé, son directeur de cabinet, Mme Damala Ouezo en charge du travail, M. Sangaté responsable de la protection sociale, M. Gonendji inspecteur en matière de protection sociale, M. Damoura directeur des études, et M. Yongondouga chargé de mission en matière de protection sociale. Ces accusations ont créé une atmosphère de suspicion et de méfiance, paralysant la collaboration et la cohésion au sein du ministère.

 

Problèmes psychiatriques et comportement erratique!

 

Les troubles psychiatriques de Mouanga sont bien connus et documentés. Avant sa nomination, elle a été internée à plusieurs reprises en France pour des problèmes de santé mentale graves. Ses antécédents incluent des épisodes de coma et des traitements en psychiatrie. Ces problèmes de santé affectent manifestement sa capacité à gérer le ministère de manière efficace et rationnelle.

 

Impact sur les réformes et la gouvernance!

 

Le comportement erratique de madame Annie-Michel Mouanga et son incapacité à collaborer avec son équipe ont un impact direct sur les réformes du ministère. Les projets stagnent, les décisions importantes sont retardées, et le moral des employés est au plus bas. La récente absence de préparation pour le sommet de l’OIT à Genève est un exemple flagrant de sa gestion défaillante. Malgré une invitation reçue en février, Annie-Michel Mouanga n’a pas préparé les documents nécessaires, ce qui a conduit à un refus de visa pour toute la délégation.

 

Nomination controversée et favoritisme!

 

La nomination de Mouanga au poste de ministre du Travail a été largement critiquée. Elle est le résultat du favoritisme, étant la nièce de l’épouse du président Touadéra. Cette connexion familiale explique en partie pourquoi elle reste en poste malgré les multiples accusations et son incompétence manifeste. Mouanga elle-même se vante de sa proximité avec le président, affirmant que personne ne peut la démettre de ses fonctions.

 

Un climat de travail toxique!

 

Les accusations publiques de Annie-Michel Mouanga contre ses collaborateurs ont eu un effet dévastateur sur le climat de travail au sein du ministère. Les employés vivent dans la peur constante d’être injustement accusés. Cette situation a conduit à une baisse significative de la productivité et à une détérioration des relations professionnelles.

 

Réactions et témoignages!

 

Les témoignages de certains employés et observateurs externes confirment la gravité de la situation. Selon des sources interrogées, Mouanga a un comportement autoritaire et refuse d’écouter les avis de ses collègues. Elle est décrite comme quelqu’un de difficile à approcher, créant un environnement de travail oppressant. Ces témoignages soulignent également l’impact négatif de ses décisions sur le fonctionnement quotidien du ministère.

 

Un appel à la responsabilité!

 

La situation au ministère du Travail sous la direction de Mouanga met en lumière la nécessité d’une réforme dans les procédures de nomination des responsables gouvernementaux en Centrafrique. La vérification des antécédents moraux et psychologiques devrait être une étape cruciale pour éviter la répétition de telles situations. Le gouvernement doit prendre des mesures pour assurer que les personnes nommées à des postes de haute responsabilité sont compétentes et aptes à gérer leurs fonctions de manière efficace.

 

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