Par Angèle Kanzoro
Bangui, République centrafricaine, samedi 22 août 2020 ( Corbeaunews-Centrafrique ). Le gouvernement de Faustin Archange TOUADERA, après un tête-à-tête avec le boucher des Centrafricains, prend la résolution qu’Ali DARASSA renoue avec son poste de Bambari comme cela s’est fait à leur belle époque de pouvoir des Seleka. Beaucoup d’eau a coulé et les choses ont terriblement changé en leur défaveur. C’est pourquoi, Ali DARASSA a-t-il encore le pouvoir de revenir là où le sang qu’il a fait couler roule encore dans les airs ?
Il faut reconnaître que cet étranger d’Afrique de l’Ouest qui est arrivé dans le pays par notre intermédiaire, couve dans l’eau froide. Après avoir pris la responsabilité des choses publiques, ils ont brûlé les étapes à assassiner comme des mouches les autochtones de ce beau pays d’accueil. Le monde entier n’accepte et ne tolère guère ces gens sales nommés à jamais les rebellions qui veulent vivre avec les hommes normaux. Ils ont salué le Centrafrique, depuis que des nationaux leur fait la part belle en les infiltrant dans le système national.
Le pouvoir de TOUADERA a pactisé avec ceux que la nation n’hésite pas à qualifier comme ses proches parents. Il en est ainsi de cet oiseau de mauvais augure très estimé par tous les accompagnateurs de l’homme du 30 mars 2016. Beaucoup de compatriotes sont convaincus, qu’il ne reste au chef de l’Etat de le promouvoir Premier ministre devant l’accompagner dans les lourdes tâches qu’il abat au jour le jour. Vu que le temps qui est le sien ne reviendra pas deux fois, et donc profitons-en et laissons les gens raconter tout ce qu’il leur passe par la tête.
Qu’on le veuille ou pas, un Africain qui se bat en Afrique ne peut que rendre service à lui-même si ses concitoyens ne meurent pas en désordre. Et effectivement, c’est ce que la RCA vit comme choc dont le responsable numéro 1 du pays ne s’en émeut aucunement. Raison de plus, les origines du président de la République ne sont qu’anormaux tant il est terrible d’avoir une idée exacte de ses propres origines.
Tout est mal depuis que le dernier gagnant aux élections passées prend les choses en main. Les préoccupations de l’heure vont tant bien que mal. Car, il est difficile de savoir exactement, si en République centrafricaine l’on se demande si on doit penser à un chef d’Etat humain ou un chef d’Etat à la gomme !
Par Angèle Kanzoro
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