Sonia Bindoumi, ou l’art de se discréditer en direct sur la radio mille colline de Fidèle Gouandjika

Rédigé le 09 octobre 2025 .
Par : la rédaction de Corbeaunews-Centrafrique (CNC).
Sonia Bindoumi a encore déliré en direct. Et comme à son habitude, elle l’a fait avec la subtilité d’un marteau-piqueur et l’élégance d’un égout à ciel ouvert. À l’écouter, on se demande si la sénilité est une maladie ou un choix de carrière. Car il faut un certain talent pour accumuler autant de contradictions, d’insultes et de mépris en si peu de temps. Cette dame, qui se croit encore une « jeune fille » alors que son âge devrait lui commander la sagesse, a offert sur les ondes de la Radio Mille Collines de Fidèle Gouandjika une masterclass en hypocrisie politique, en voyoutisme assumé, et en mépris de classe. Passons en revue ses perles, une à une, pour lui montrer à quel point son discours est non seulement indigne, mais surtout révélateur de sa propre décadence.
La jeunesse, cette valeur que Sonia Bindoumi piétine dans sa folie. On ne sait pas si c’est son vrai nom. Mais on l’appelle quand même Sonia Bindoumi. Cette dame, en l’écoutant, elle s’indigne : « Martin Ziguélé, à 70 ans, doit apprendre à dire la vérité ». Ah, l’ironie ! Voici une femme qui, à un âge où l’on devrait être un pilier de sagesse, se comporte comme une adolescente qui cherche son premier copain, insultant tout ce qui bouge pour se faire une place parmi les criminels, parmi les criminels, les voyous de la République, les cherchés à manger. Elle qui se dit « jeune » à 50 ans passés, alors que chez nous, la jeunesse se mesure à l’énergie et aux idées, pas à la capacité à hurler des insanités à la radio. Mais après tout, quand on a passé sa vie à mendier des miettes de pouvoir, on finit par confondre la maturité avec la capacité à aboyer comme des chiennes plus fort que les autres.
Si éduquer un enfant qui devient bordel est une honte pour la famille, que dire alors de Sonia Bindoumi qui, à l’âge où l’on devrait être un modèle, se transforme en conseillère du « bordélisme politique » ? Il faut être clair, Sonia Bindoumi n’est pas une jeune fille, c’est une vieille dame en crise d’adolescence, qui croit que la politique se résume à des règlements de comptes et à des coups bas. Elle qui se prétend être « jeune fille de ce pays » ne propose rien, ne construit rien, ne fait que cracher sur ceux qui, au moins, ont le mérite d’avoir un parcours. Elle est le parfait exemple de ce qu’elle dénonce : une génération qui a échoué à élever ses enfants, et qui passe son temps à insulter ceux qui, eux, ont au moins fait quelque chose.
« Ces hommes politiques centrafricains de l’opposition comme Martin Ziguelé, Anicet-Georges Dologuelé recevaient beaucoup d’argent pendant les dialogues, c’est devenu leur fond de commerce ». Voici une accusation qui en dit long sur l’état mental de celle qui la porte. Car qui, mieux que Sonia Bindoumi, connaît les dessous des combines politiques ? Elle qui, visiblement, a fait du bordelisme politique, du putage politique son unique compétence. Quand on passe sa vie à quémander des faveurs, à chercher « de quoi manger » dans les couloirs du pouvoir, on n’a pas de leçon à donner sur l’intégrité. Si le dialogue était un commerce pour certains, Sonia Bindoumi en est la caissière zélée, toujours prête à monter les enchères pour un bout de pain des criminels de Boy-Rabe.
Elle s’indigne que Martin Ziguélé ou Dologuélé aient pu bénéficier de fonds. Mais où étaient ses principes quand elle-même courait derrière les hommes du pouvoir pour se remplir les poches ? La différence, c’est qu’eux au moins ces hommes politiques ont occupé des fonctions de haut niveau dans ce pays, ils ont construit des écoles, des partis, des carrières. Mais toi Sonia Bindoumi , toi, tu n’as construit qu’une réputation sale : celle d’une pute politique, une « griotte » payée pour aboyer quand le régime te donne 1000 ou 2000 francs CFA à chaque insulte.
« Bonne retraite, Martin Ziguélé ! ». Voici une phrase qui en dit long sur sa folie. Car si Ziguélé prend sa retraite, c’est après des décennies de combat politique, avec des hauts et des bas, mais au moins avec une trace. Sonia Bindoumi, elle, n’a jamais été élue, elle n’a jamais occupé une fonction digne dans ce pays, elle n’a jamais dirigé quoi que ce soit, elle n’a jamais proposé un seul projet pour son pays. Elle n’est qu’une voix criarde, un parasite des ondes de la radio mille colline, une spécialiste de l’insulte facile. Quand elle souhaite une retraite à Ziguélé, on se demande : et elle, quand compte-t-elle prendre la sienne ? À 80 ans ? Quand elle aura fini de salir la réputation de tous ceux qui osent encore croire en la politique ?
Elle célèbre le départ de Ziguélé comme une victoire. Mais quelle victoire ? Celle d’une femme qui n’a jamais rien gagné, si ce n’est le droit de parler fort sans jamais être écoutée. Elle, elle s’accroche comme une pute politique à son micro de la radio mille colline, persuadée que son voyoutisme valent une carrière.
« Martin Ziguelé doit passer devant la justice authentique ! ». Voici une exigence qui ferait rire, si elle n’était pas si pathétique. Sonia Bindoumi, qui passe son temps à accuser les autres de corruption, de manipulation, de malversations, oublie un détail : elle n’a jamais prouvé quoi que ce soit. Elle qui réclame la justice pour les autres semble terrifiée à l’idée qu’on puisse un jour examiner son propre parcours. Car que trouverait-on, si on fouillait dans ses affaires ? Des faveurs sexuelles obtenues en échange de services rendus ? Des déclarations radio payées à coup des billets de banque?
Sonia Bindoumi hurle à la manipulation, à la trahison, aux « gros loups ». Mais qui, mieux qu’elle, incarne la manipulation ? Qui, mieux qu’elle, a fait carrière en jouant les marionnettes des puissants ? Elle qui accuse Crépin Mboli-Goumba et Dologuélé de se déchirer pour de l’argent, elle qui connaît si bien les mécanismes de la trahison, ne serait-elle pas tout simplement jalouse de ne pas en être ?
« C’est de la maladie mentale ! », avait dit un auditeur de la radio mille colline à son sujet. Difficile de lui donner tort. Car il faut une certaine forme de folie pour croire que la politique se résume à des règlements de comptes radiophoniques. Il faut une certaine forme de déni pour passer sa vie à insulter les autres, tout en se croyant intouchable. Il faut une certaine forme de mépris pour soi-même pour se comporter ainsi, à son âge, sans jamais réaliser à quel point on fait pitié.
Sonia Bindoumi n’est pas une menace pour quiconque. Elle est une caricature, un exemple de tout ce qui pourrit la politique : le culte de la personnalité toxique, l’absence totale de projet, la recherche éperdue de reconnaissance par la destruction. Elle est la preuve vivante que quand on n’a rien à dire, on crie. Quand on n’a rien à offrir, on insulte. Quand on n’a rien construit, on démolit.
Sonia Bindoumi n’est pas une opposante. Elle n’est pas une intellectuelle. Elle n’est même pas une polémiques digne de ce nom. Elle est une pute politique en colère », une « voyoute des ondes », une « spécialiste du bordélisme politique ». Elle incarne tout ce qu’elle prétend combattre : la corruption des esprits, la médiocrité des ambitions, la lâcheté de ceux qui préfèrent insulter plutôt que d’agir.
Alors oui, Sonia Bindoumi , vous avez raison sur un point : « la fin de toute chose vaut mieux que le commencement ». Pour vous, la fin ne saurait tarder. Car un pays qui se respecte ne peut tolérer indéfiniment une telle indécence. Votre retraite, madame, ne sera pas célébrée. Elle sera un soulagement.
Et quand vous partirez enfin, personne ne vous regrettera. Pas même ceux que vous avez passé votre vie à insulter. Car vous n’aurez laissé derrière vous qu’un vide, un bruit, et une question : comment une seule personne a-t-elle pu gaspiller autant de salive pour si peu de résultat ?
À vous, Sonia Binoumi, nous pourrions dire : bonne retraite. Mais à quoi bon ? Vous n’avez jamais vraiment commencé.
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