Mama Brigitte, Touadera, votre mari, a encore frappé…

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Mama Brigitte, Touadera, votre mari, a encore frappé…

 

Mama Brigitte, Touadera, votre mari, a encore frappé…
Faustin Archange Touadéra courtise amoureusement une des filles d’accueil. lors de la cérémonie

 

Par la rédaction de Corbeau News Centrafrique, CNC.

 Mama Brigitte, Touadera, votre mari a encore frappé ! Pas par un décret, Ni par une loi, mais c’est une nouvelle conquête. En Centrafrique, on ne parle plus que de ça : Faustin Archange Touadera, notre cher président, Baba Kongoboro, a encore frappé. Mais pas avec une réforme audacieuse ou un discours inspirant, non, non. Il a frappé là où il excelle : dans l’art de la chasse aux maîtresses. Si on comptait ses conquêtes, on remplirait un roman de 400 pages – et encore, il faudrait une suite pour les aventures en cours ….

 

Au pays de Boganda, pays de Zo kwé zo, un pays où la paix reste un rêve fragile et où les défis s’empilent comme des montagnes, on pourrait espérer que les dirigeants se concentrent sur l’essentiel : reconstruire, unir, redonner espoir.

 

Après des décennies de conflits, de pauvreté endémique et d’instabilité politique, le peuple attend des leaders qui portent haut les valeurs d’intégrité et de responsabilité. Le président, en théorie, devrait être ce phare dans la tempête, un homme capable de guider la nation vers des jours meilleurs. Faustin Archange Touadera, alias Baba Kongoboro, arrivé au pouvoir en 2016 avec des promesses de stabilité, semblait incarner cet espoir pour beaucoup. Élu dans un climat de chaos par deux fois, il portait sur ses épaules l’attente d’un renouveau, d’une gouvernance sérieuse et d’un leadership exemplaire. Mais les années ont passé, et les priorités, semble-t-il, ont dérivé. Là où les Centrafricains espéraient des routes, des écoles, ou simplement un peu de sécurité, ils ont récolté autre chose : des histoires qui font tourner la tête, des anecdotes qui oscillent entre comédie et tragédie. Car si le pays manque de tout, il ne manque pas de rumeurs, et celles-ci tournent souvent autour d’un même nom, celui du président Baba Kongoboro.

 

On parle moins de ses discours officiels que de ses escapades officieuses, moins de ses réformes que de ses frasques. Dans les marchés de Bangui, dans les différents quartiers de la capitale, les langues se délient, et les récits s’entremêlent : Touadera, disent-ils, a une passion qui dépasse les affaires d’État….

 

Ce n’est pas un secret bien gardé, mais une chronique ouverte, alimentée par des témoins, des murmures et parfois des éclats de rire. Les Centrafricains, habitués à rire pour ne pas pleurer dans cette condition misérable, ont transformé ces histoires en une sorte de feuilleton national, où le président joue un rôle qu’aucun scénariste n’aurait osé écrire.

 

Et pourtant, au milieu de ce théâtre, une voix reste silencieuse, ou du moins indécise : celle de Mama Brigitte, la bien aimée des centrafricains, la première dame, qui voit son mari s’éloigner des promesses de campagne pour s’aventurer sur des terrains bien moins glorieux. Car si Touadera frappe encore, ce n’est pas là où on l’attendait.

 

Prenons l’histoire de la Rwandaise, par exemple. Une jeunes garde-du-corps au teint brun clair, qui veillait sur Mama Brigitte, la première dame. On aurait pu penser qu’elle était là pour protéger l’honneur de la maison, mais non, Baba Kongoboro en a décidé autrement. Un geste, un regard, et hop, voilà une nouvelle passagère dans le train présidentiel. Mama Brigitte, elle, reste bouche bée. Selon ses propres mots, elle ne comprend pas comment son mari, avec ses presque 70 ans, arrive encore à courir après des jeunettes – et à laisser des souvenirs vivants derrière lui. Oui, un enfant est né de cette idylle rwandaise, et le scandale a fait le tour du pays, même à l’étranger. Mais à ce stade, plus personne ne s’étonne : c’est la routine chez Touadera.

 

Et puis il y a cette cérémonie d’accueil en 2025, où des filles ont été alignées pour saluer le grand homme. Parmi elles, une demoiselle d’une vingtaine d’années, fraîche comme une mangue de saison. Le président passe, salue tout le monde avec la dignité qu’on lui connaît… jusqu’à ce qu’il arrive devant elle. Là, il lui prend la main, la lève en l’air comme un trophée, et lance un sourire digne d’un mauvais feuilleton. Les gardes-du-corps, bien entraînés, comprennent le signal : “Le chef a besoin d’elle”. La fille sourit en retour, flattée ou juste habituée à ce manège. Parce que oui, en Centrafrique, on sait que quand Faustin passe, il ne repart pas les mains vides.

 

Mais le plus drôle,  ou le plus triste, c’est l’histoire de cette joggeuse maligne près du lycée Boganda. Elle avait entendu les rumeurs : le président aime “ramasser” les filles dans le coin. Alors, chaque matin, elle enfilait ses baskets, faire sortir tous les attribues d’une jeune fille en écla.

 

Imaginons une fille  qui a une présence magnétique. Elle porte sa jaquette ajustée, un peu courte, et qui laisse deviner ses formes sans tout révéler, et un collant qui moule ses jambes, accentuant leur galbe et leur finesse. Ses seins, mis en valeur par le tissu tendu, captent le regard presque malgré soi,  pas besoin de décolleté plongeant, juste cette simplicité qui frappe. Elle bouge avec une assurance naturelle, pas calculée, mais qui te happe. Quand elle passe, tu sens cette énergie qui te tire, comme si tout en elle disait “regarde-moi” sans qu’elle ait à le demander. Ses cheveux tombent peut-être en désordre étudié, ou ses yeux accrochent la lumière juste assez pour te faire perdre le fil une seconde.

 

C’est exactement ce que cette fille faisait ce jour. En plus, elle faisait semblant de faire du sport, et attendait son heure. Mais un jour, miracle, elle croise Touadera. Lui, seul devant, suivi à 100 mètres plus loin, ses gardes-du-corps en tenue civile. En voyant la fille, le Président ne pouvait pas s’en passer. Automatiquement, il  s’arrête pour lui parler. Mais la jeune fille, jouant la naïve, ne capte pas tout de suite celui qui lui parle.  Elle poursuit son petit sport sans brancher. Mais 100 mètres plus loin, arrivée au niveau des gardes du corps du Président, ils lui glissent à l’oreille : “Ma sœur, c’était le président qui vous parle!  Tu viens de rater le jackpot !”, elle s’écrie : “Merde !” C’est perdu pour elle Une occasion en or de décrocher des cadeaux, une villa, ou au moins un selfie présidentiel, envolée. Pauvre petite, elle n’avait pas lu le manuel du “Comment séduire Faustin en trois leçons”.

 

Parce que oui, c’est presque un sport national maintenant. Les filles savent, les mamas savent, tout le monde sait. Faustin Archange Touadera ne se contente pas de diriger le pays, il collectionne les conquêtes comme d’autres collectionnent les timbres. Et le système suit : les gardes-du-corps jouent les entremetteurs, les cérémonies deviennent des castings, et les rues de la capitale un terrain de chasse. Pendant ce temps, Mama Brigitte se gratte la tête, et les Centrafricains oscillent entre rire et désespoir.

 

Alors, si on parle de ça aujourd’hui, pas juste pour rire, mais pour dire stop. Stop à ce cirque où le pouvoir rime avec abus, où les mains du président s’égarent là où elles ne devraient pas. Un pays, ce n’est pas une cour de récréation pour un homme sans limites ni pitié. Réveille-toi, Centrafrique, et rigole un bon coup, mais n’oublie pas : il est temps que Touadera range ses gestes et se souvienne qu’il est là pour gouverner, pas pour draguer….

 

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