Le système d’immobilisation par cagoule : Les pratiques draconiennes des mercenaires de Wagner
Bangui, 08 janvier 2024 (CNC) – La République Centrafricaine, une terre des théâtres par excellence, livre actuellement une nouvelle pièce théâtrale tirée de la guerre d’Algérie ou les actions violentes et inouïes des chefs de bande, les mercenaires du groupe Wagner, font plonger le pays dans l’obscurité de la terreur et que même, les défenseurs des droits de l’homme ont l’hypermétropie pour voir. Au cœur de ces atrocités se trouve l’emploi de sacs plastiques pour cagouler afin de museler les voix des personnes arrêtées, les privant de leur droit fondamental à s’exprimer. Cette nouvelle forme de torture par cagoule des mercenaires et terroristes, insidieuse et cruelle, révèle l’ampleur de l’oppression exercée par les mercenaires de Wagner et soulève des questions profondes sur la dignité humaine et les droits inaliénables de chaque individu.
Les rues et quartiers de la République Centrafricaine résonnent des cris étouffés de ceux qui ont été pris au piège des méthodes impitoyables de Wagner. En utilisant des sacs plastiques pour cagouler les personnes arrêtées, couvrant ainsi complètement leurs têtes jusqu’à leurs cous, les victimes se retrouvent prisonnières du silence, incapables de faire entendre leurs appels à l’aide. Cette pratique cruelle, visant à étouffer les paroles des opprimés, aveugler les vues, soulève des questions fondamentales sur la dignité humaine et les droits inaliénables de chaque individu.
Les mercenaires de Wagner utilisent des méthodes d’immobilisation cruelles en couvrant les têtes des personnes arrêtées avec des sacs plastiques, les enveloppant jusqu’au niveau du cou. Ce geste brutal ne se limite pas à étouffer les voix des victimes, mais vise également à restreindre leur mouvement, les rendant incapables, aveugles de se défendre ou de se libérer. Avec leurs têtes et leurs épaules enveloppées dans le sac, les victimes se retrouvent complètement immobilisées, piégées dans un état de vulnérabilité extrême, sans aucun moyen de se protéger contre les abus et les agressions.
La complicité des autorités nationales dans l’arrivée de Wagner en République Centrafricaine est un affront à la justice et à la liberté. Alors que le peuple endure des souffrances inimaginables, les responsables politiques restent complices du silence, détournant le regard des horreurs perpétrées au nom de la sécurité. Il est temps de rompre ce silence complice et d’exiger des comptes pour les crimes commis contre l’humanité.
Il y’a lieu de noter que la situation actuelle en République Centrafricaine est un rappel brutal de l’urgence d’une action internationale concertée. Il est impératif de mettre fin aux abus de pouvoir de Wagner et de garantir la protection des droits fondamentaux des citoyens. Chaque voix étouffée par les sacs plastiques est un cri de désespoir qui appelle à la justice et à la liberté. Il est temps de briser le silence et de faire entendre la vérité sur les horreurs qui se déroulent en plein jour.
Par Alain Nzilo
Directeur de publications
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