Simplice Yarkokpa, le commandant mafieux de la garde présidentielle pris la main dans le sac
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Par la rédaction de Corbeau News Centrafrique, CNC.
Simplice Yarkokpa, ex-milicien anti-balaka devenu commandant, n’est pas seulement un voyou en col blanc, c’est le roi d’un trafic de drogue colossal. L’équipe de Corbeau News Centrafrique (CNC) a mis la main sur des preuves accablantes : chez lui, des bidons remplis de tramadol qui coûtent des millions, des palettes de drogue camouflées en galettes, des sacs de charbon bourrés de produits narcotiques – un véritable supermarché de la came. Flagrant délit, le mot est faible. Ce criminel notoire, qui gravit les galons grâce à ses liens ethniques avec le président et son cousinage avec le ministre de la Défense, ne se contente pas de braquer ou d’extorquer : il inonde le pays de drogue et accuse les autres pour couvrir ses traces. Cet article tape fort sur ce parrain intouchable qui mérite d’être radié – et jugé – sans délai.
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Un trafic colossal sous le toit de Simplice Yarkokpa
Les images des drogue dure obtenues par Corbeau News Centrafrique ne laissent aucun doute : chez Simplice Yarkokpa, c’est un QG de la drogue. Des bidons débordent de tramadol, cette pilule qui ravage la jeunesse centrafricaine. Des galettes empilées, soigneusement entourées pour tromper les regards, cachent des quantités industrielles de narcotiques. Et les sacs de charbon ? Une façade ingénieuse pour dissimuler des palettes entières de produits illicites. Tout ça stocké chez lui, sous son contrôle direct, avec ses hommes pour veiller au grain. Ce n’est pas un petit deal, c’est une organisation mafieuse, un marché noir qui prospère sous le nez des autorités – ou plutôt avec leur complicité. Simplice Yarkokpa ne se contente pas de récupérer les saisies pour son profit, comme il l’a déjà fait par le passé : il fait venir la marchandise, la stocke, la distribue. Un baron de la drogue en uniforme, rien de moins.
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Le maître du double jeu : Accuser pour régner
Ce n’est pas la première fois que Yarkokpa montre son vrai visage. (Parenthèse : dans notre précédent article intitulé : La mafia de Yarkokpa fait tomber sept policiers, Une radiation illégale sous les ordres d’un ministre complaisant, nous révélions comment il a fait radier sept policiers honnêtes : DOUI Odilon, OUAPOLE Freddy, BANGHA Jean Augustin, OUASSERENDJI Chrysostome, DIMANCHE-YONGOWANA ALFIO Jacques Valdez, GONIDANE Alexandre Nelson et NGOUAYE NDARATA Quirinus Frédéric, en les accusant de crimes fictifs pour protéger son empire.) Sa stratégie est connue de tous : quand des agents tombent sur ses magouilles, il les fait taire. Il appelle le président, invente des histoires de braquage ou de vol, et deux jours plus tard, le ministre signe une radiation. Mais cette fois, il est coincé. Les bidons, les galettes, les sacs de charbon chez lui ne mentent pas. C’est lui le trafiquant, pas ceux qu’il accuse. Ce type est une machine à salir les autres pour cacher sa crasse.
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Un criminel béni par le pouvoir
Comment un tel bandit peut-il sévir impunément ? La réponse est simple : Simplice Yarkokpa est intouchable. Ancien chef anti-balaka, il a rejoint la garde présidentielle grâce à son ethnie, partagée avec le président, et son lien familial avec le ministre de la Défense. Son passé de milicien ? Un tremplin. Ses crimes , braquage de 800 millions de FCFA chez les deux franco-algériens en juin 2024, extorsion, trafic ? Des médailles dans ce système tordu. Il grimpe les galons à une vitesse folle, passant de hors-la-loi à commandant, pendant que ses victimes pourrissent en prison ou perdent leur boulot. La garde présidentielle, censée protéger la nation, est devenue son fief, un bunker pour ses combines. Ce n’est pas un officier, c’est un parasite qui suce le sang du pays.
Flagrant délit : La fin de l’impunité ?
Les preuves sont là, éclatantes, irréfutables. Des bidons de tramadol trafiqués, des galettes de drogue, des sacs de charbon bourrés de drogue – tout ça chez Yarkokpa, sous son toit, avec ses hommes comme sentinelles. On appelle ça un flagrant délit, et dans n’importe quel État digne de ce nom, ce type serait déjà menotté. Mais en Centrafrique, les règles ne s’appliquent pas aux parrains. Pourtant, cette fois, il doit tomber. La garde présidentielle ne peut pas garder un criminel pareil dans ses rangs. Il faut le radier, le juger, le jeter en prison. Ses galons ne le protègent plus : les images parlent, et elles puent la culpabilité.
La justice
Ce scandale n’est pas juste une histoire de drogue, c’est une insulte à tous les Centrafricains qui veulent un pays propre. Pendant que Simplice Yarkokpa entasse ses bidons et ses palettes, des gamins sniffent son tramadol dans la rue, des flics honnêtes perdent leur job, et l’État regarde ailleurs. Le journal Corbeau News Centrafrique a fait son boulot d’investigation : les preuves sont là, publiques, explosives. Maintenant, c’est au président, au ministre de la Défense, à la justice de bouger. S’ils ne font rien, ils sont complices. Point barre.
Rappelons le au clair : Simplice Yarkokpa n’est pas un commandant, c’est un cancer. Chez lui, des bidons d’alcool frelaté et de tramadol, des galettes de tramadol et des sacs de charbon dégueulent de drogue – un trafic monstrueux qu’il dirige en maître. Il accuse les autres pour se couvrir, mais cette fois, il est nu devant les faits. Ce milicien recyclé, porté par ses appuis ethniques et familiaux, doit être radié de l’armée et jugé pour ses crimes. La Centrafrique ne peut plus tolérer ce genre de vermine au sommet. Assez de bidons, assez de mensonges – que la justice frappe, et fort.
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