Bangui (République centrafricaine) – D’apparence, cela ne semble pas aller si mal pour les mercenaires du groupe Wagner en Centrafrique. Mais mon influenceuse, qui dit avoir eu plusieurs relations intimes avec des russes, dont certains haut placés, nous affirme avoir eu, dans l’intimité, des confidences de ces derniers. Et tout n’est pas aussi rose qu’on essaie de nous le faire croire parce que pour eux nous sommes des dupes. On nommera notre influenceuse Henriette pour préserver son anonymat.
Rédigé par Gisèle MOLOMA
Publié par Corbeaunews Centrafrique (CNC), le mardi 24 janvier 2023
Parmi ces aventures, se trouve “un très haut responsable”, dont elle préserve l’identité “pour qu’il n’ait pas de souci, ici comme chez lui en Russie”. Ce dernier semblait avoir un rôle central dans l’organisation des mercenaires. Ce haut responsable s’est confié notamment sur la propagation de certaines maladies dans les emprises de ses compatriotes. En effet, la guerre en Ukraine affecte durablement les effectifs russes, et ils sont donc obligé de recruter jusqu’à dans les prisons, comme leur chef Progogine s’en vante.
Les exigences physiques et sanitaires ont toute été revue à la baisse pour pouvoir incorporer ces nouvelles recrues au passé douteux. L’augmentation du nombre d’instructeurs sur le territoire centrafricain depuis début décembre ne va-t-elle pas ramener des bactéries qu’un pays qui sort tout juste du covid n’a absolument pas besoin?
Dans le même registre des effectifs, l’amant s’est épanché sur le manque flagrant d’hommes “depuis la guerre en Ukraine, et la diminution des effectifs ici”, “ce qui ne [nous] permet plus de contrôler efficacement l’ensemble du territoire”. Depuis le printemps dernier, l’effort de la société Wagner s’est envolé vers les intérêts premiers du Kremlin, et son opération spéciale. Désormais, les groupes armés sont devenus une menace importante pour le dispositif russe. Le haut dirigeant russe ne vante pas les mérites des Forces armées Centrafricaine, qui, dit-il, “n’ont pas le niveau pour tenir leur propre pays face au danger”. Ni même, ce ne sont pas les russes noir, c’est supplétifs “peureux, qui fuient au premier coup de feu” qui vont les aider à tenir le territoire.
La question reste à savoir :
Bangui et Touadera seraient ils en danger?
Peut-ton se préparer à digérer l’après Wagner et quelles seront les séquelles psychologiques en Centrafrique?
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