Un dialogue politique Inclusif avec les forces vives de la nation non-armée
Bangui, République centrafricaine, mercredi, 10 mars 2020, 04:37:59 ( Corbeaunews-Centrafrique ). Vues les expériences d’une part et d’autre, de la matière à œuvrer pour la paix, afin de la restauration de la justice, de l’équité en vue de la réconciliation !
Il me semble convaincu que la seule solution dans le cas présent en Centrafrique demeure un dialogue franc entre les forces vives de la nation non-armés, et que les politiques sortent de leur ambiguïté, des mélanges du genre sans aucune pression quelconque, des factions armées non-conventionnelles à travers duquel le pays continu d’enterrer ces enfants, n’aspirerons pas quelconque à une démarche de réconciliation, de la Paix véritable.
Ps) Posant la problématique ainsi la statuée dans le bon sens des enjeux vitaux de la République.
Mais pour se faire, une responsabilité Républicaine s’exige et citoyen il en faut, enfin d’éthique, d’intégrité est le maître-mot, que j’invite tous les hommes politiques à la cohérence de leurs engagements en démocratie contre la résurgence hostile et de boycotte sous prétexte égoïstement politicienne, en tenant compte des souffrances qu’endure les peuples Centrafricains.
Contre tout acte de terrorisme dans notre Pays enfoui dans ces fameuses factions armées non-conventionnelles dite Coalition Patriotique de Changement « CPC » et aux relents insurrectionnels, le contre offensif de l’État Centrafricain et ces partenaires alliés dans les reconquêtes de la restauration de l’autorité de l’Etat, par ailleurs doivent constamment rechercher le soutien des populations et intégrer le fait que le seul usage de la force ne saurait suffire.
Pour réduire significativement l’impact de toutes ces forces de Mal, les États avoisinants doivent intégrer le fait que la communauté internationale, par le biais de la MUNISCA, les partenaires bilatéraux ne sauraient suffire sans leurs soutiens. Pas plus que le seul usage de la force FACA, les partenaires et, alliés au contraire ! Contre les factions armées non-conventionnelles, la Coalition Patriotique de Changement et consort « CPC » tous ces rebelles aux regains insurrectionnels, préjudiciable et néfaste pour notre cher Pays qu’ils prétendent rechercher un changement patriotique.
Tous les Démocrates, les Républicains épris de Paix doivent, s’unirent comme un seul homme, qu’il serait inutile de parler que des hommes politiques seulement, vue que la plupart ont faillient à leur devoir en qualité de responsable politique, posant des actes subversives, de surcroit en prêtant allégeance aux forces du mal, à travers ces postures macabres espérés de certains hommes politiques pas forcement les intègres, ont occasionnés des stratégies dont certaines politiques permettent la remixage de la barbarie avec les forces du mal. En remettant en question forcément l’important paradigme de fonctionnement de nos institutions.
Notre Pays se retrouve à nouveau dans une turbulence incomparable, inqualifiable, donc le pouvoir en place, les forces vives de la nation doivent être vigilantes de ce qu’ils sont les enjeux réels de la sortir d’une crise pour notre pays de l’abîme. En intégrant une dimension d’éducation géopolitique des enjeux aux citoyens. Aussi par ailleurs accorder beaucoup plus d’importance au bon renseignement que d’utiliser la calomnie, les diffamations.
- NB) L’utilisation de la presse et des radios locales devrait être en bonne escient.
Importance pour l’intégrité territoriale et administrative
La reconquête des préfectures et sous-préfectures par des forces alliées et les forces de sécurités intérieures « FSI » peut être que bénéfique, mais qu’il doit être accompagné de manière pragmatique et pérenne dans la seule condition, la restauration de l’autorité de l’Etat et sur le plan administratif partout où c’est nécessaire.
De même pour une meilleurs adhésion de la politique avec la contribution de tous les fils et filles du Pays à l’unissant, et contre tout méfiance, dérapage.
Œuvrer pour une bonne Compagne de sensibilisation au près de la jeunesse qui se fait enrouler si facilement dans les forces du mal, l’utilisation de langages accessibles aux populations, la collaboration avec les autorités politiques et traditionnelles, ou en partenariat avec les sociétés civiles sont des pistes à explorer avec beaucoup de dextérités et sincérités.
Il conviendra d’intégré les efforts des citoyens en tant qu’alliés incontournable.
Les erreurs soient de l’accord dit de Khartoum qui n’étais pas un accord inclusif, mais exclusif seulement qu’avec les factions armées non-conventionnelles, les milices antibalaka avec le Gouvernement relève une évidence échec, en excluant les acteurs politiques d’opposition, la société civil, sous prétexte qu’elles sont contreproductives. En intégrant, certains acteurs de ces factions armées non-conventionnelles, dans les dispositifs étatiques, armées sans que ces derniers puissent avoir une compétence réellement dans une conduite des affaires d’Etat, ni des disciplines militaires et encore moins les connaissances des institutions était très énigmatique, irrationnelle. Dans ces conditions, ces raccourcies de faire de la politique, de roublardise a toujours un effet boomerang ! Tout prêtre à croire qu’il n’y ait pas une réelle volonté de part et d’autre d’œuvrer pour la Paix cherchée. Les réponses n’avait pas tardées d’arriver, vues les différentes défections, pour ne pas dire trahison dans les représentations mêmes des institutions suite au accord dit de Khartoum.
La complaisance n’est pas à la responsabilité politique, a la gouvernance hasardeuse, des conduites d’un pays comme le nôtre si meurtrie.
La lutte contre la déviance continuelle de ces factions armées non-conventionnelles et ces mercenaires, les exactions éventuelles vis-à-vis de la population prise en otage, les forces régulières de la sécurité FACA et alliés, ainsi contre l’armé d’interposition de la communauté international constitue un facteur déterminant d’aller jusqu’au bout de cette guerre asymétrique, guerre à laquelle les Centrafricains(es) sont les premières victimes, les institutions de la République. Hypothétiquement de fait, l’avenir de la République hypothéquée. L’exigence d’une justice s’avère nécessaire, qu’il conviendra de communiquer sur cet aspect et, de bien veiller que la justice tôt ou tard puisse s’exercer pleinement et procède aux réparations pour les victimes.
« Surtout, veiller à être vigilant aux dérapages et les stigmatisations ethniques, confessionnelles, ce qui peuvent encore augurer à un lendemain encore plus tragique et irréparable ».
Communiquer, encore et encore, en vue de mettre fin aux conflits intercommunautaires et ethnique manipuler par certains hommes politiques, à travers les factions armées non-conventionnelles. Tout & toute Centrafricain(e) a droit d’exister. Aucune communauté ne doit plus être ni ciblé, ni indexée au titre de son appartenance ethnique, soit politique. Il conviendra d’œuvrer pour des discussions intercommunautaires et retenir l’échelle de l’intégrité territoriale, a l’union de la Nation pour ce faire à une éventuelle réconciliation pour une Paix durable.
La Coalition des Patriotes pour le Changement « CPC ».
Quand on utilise les différentes communautés à s’entretuer sous prétexte, d’appartenance à une ethnie ou d’une confession religieuse ou soit en œuvrant dans des différentes factions armées non-conventionnelles, puis en se revendiquant dans une Coalition, soit Coalition des Patriotes pour le Changement « CPC », vous devez poser clairement de quel élan, combat patriotique…que vous posés ? Vues les actes négatives que vous imposées pour vos compatriotes, constater et relever d’antipatriotisme en tous les cas. Et encore moins pour quel changement dixit !
Quel est le sens de ce mot patriote ou patriotisme, que vous defender par certain de vos adeptes de manière ostentatoire dans les médiats NTIC ?
Bien que je sache le mot patriote définie souvent dans ce sens : c’est un attachement sentimental à sa patrie, se manifestant par la volonté de la défendre, de la promouvoir et non des tués, asphyxiés la population sur le plan économique, de liberté d’aller et venir dont vous réclamez le patriotisme de manière incongrue, tout et son contraire mes chers compatriotes de la coalition dite CPC, vous être les premiers victimes de vos turpitudes, cupidités avec les mercenaires qui vous entourent. Vous n’avez pas les mêmes intérêts manifestes ce que vous ignorez.
Chers(es) compatriotes encore lucide de la sauvegarde de notre Patrie :
Une vraie convention patriotique doit se mettre en place dans notre Pays, peut import les compositions, les formes, les hommes…, mais il faut de la responsabilité citoyen, de l’intégrité, de l’éthique en unissant toutes les forces vives de la Nation, avec le concours des dignes fils et filles de Centrafrique…Diaspora, déjà représenté légitimement dans des ONG et Association, des populations l’Anda. Ce dialogue qui se profilera, aura plus de chance d’être appliquées dans ce cadre d’ici-là pour une renaissance apaisé de la Centrafrique.
L’État doit avoir ensuite l’intelligence d’orienter tous ces projets et programmes vers la satisfaction des attentes exprimées à son égard dans cette nouvelle manifestation qui se profile. Il faut en finir avec les grandes messes inutiles qui ne débouchent que sur des engagements entre copain d’hier, qui sont des ennemies de circonstance d’aujourd’hui et très souvent ces arrangements finales non tenus car les protagonistes n’ont ni la volonté politique, ni la sincérité, ni l’honnêteté intellectuelle dans les paroles données. Que les dirigeants de l’heure doivent mettent en œuvre les engagements qui sont les siens d’ici là ! bien sur après les législatives. Les carottes sont cuites pour la Présidentielle du fait de manque et de la clairvoyance depuis le début du quinquennat finissant et, qui vient d’être renouvelé qu’il faut l’admettre. Le temps est maintenant de faire baisser les tensions et en créant les conditions d’une action plus efficace contre les factions armées non-conventionnelles dont les fameux CPC ou LIBERATEUR version Antibalaka et SELEKA renouveler.
L’autorité de l’Etat dans sa globalité pose des problématiques dogmatiques aux vues des :
· Sécurités des citoyens,
· Administrations plus élargies.
Les déploiements des forces de l’arme Centrafricaine et les alliés, en guise de la reconquête de nos provinces assiéger, est un aspect qu’il faut poursuivre avec acquittance constance, vigoureuse et résolument.
La restauration de l’autorité de l’Etat doit être prise en charge comme un enjeu major aux vues de la restauration de l’intégrité territoriale et de la resécurisation du peuple Centrafricain… qu’un engagement, ne peut être effectif et, efficient, dans la seule condition qu’une présence visible de l’autorité de l’Etat satisfaisante ainsi la réinstallation de son l’Administration dans toutes les zones de tension.
Les gros soucis de sécurité des agents est compréhensible, mais cela doit être surpassé par un réel appui des notables locaux et les responsables communautaires, religieux. Il faut impérativement que les dirigeants doivent changer leur fusil d’épaule en la matière des approches fondamentales des affectations.
L’État doit exceptionnellement envoyer dans la zone du personnel qui en est la meilleure maitrise des secteurs ou soit native de la région et cela à tous les niveaux de la représentation administrative, de la justice, les services sociaux avec les moyens qui nécessitent (préparations sur les enjeux avant prise de poste à l’endroit d’affectation aux ministères de tutelles, accompagnement avec les moyens et prise en charge d’installation par exemple…)
Ces agents affectés sont davantage concernés en vue de la responsabilisation et de la réconciliation, stabilisation entre les différentes ethnies et communautés de confessions diverses. En espérant tant d’harmonie entre les différentes ethnies et communautés de confessions d’autre fois vivaient paisiblement entre eux dans les passés.
L’avantage d’une telle approche, dans les affectations des agents natifs de la région, Ils sont moins enclins à certaines attitudes condamnables et outrancières, seront mieux acceptés et seront donc plus en sécurité si une collaboration plus étroite avec les notables locaux et responsables communautaires afin de mieux avancer dans leur mission si transverse. Ces agents auront enfin une meilleure perception des risques et seront donc moins enclins à se replier à la moindre rumeur. Nous devons savoir remettre en cause certains dogmes administratifs pour installer cette dynamique dans toutes les zones d’insécurité dans les zones sensibles et a risque, de ce fait, devrait permette une contribution aux communes vis-à-vis des agents communaux des différentes groupe ethnique et communautaire de confessions diverses, même s’il faut recourir à des recrutements démographique, tout est une question de la redistribution de la responsabilité et aussi mise à la disposition les moyens adéquats.
L’enjeu primaire dans la restauration de l’autorité de l’Etat tendant vers la livraison de l’ensemble des services de base aux administrés, un point essentiel de la bataille pour gagner les cœurs unis de nos compatriotes. Les administrations doivent fonctionner, et la satisfaction des attentes des populations est à prioriser aux services rendus aux citoyens et non le contraire de les ponctionnés. À cet effet, la réponse et les attentes espérés aux doléances escomptera dans une Nième dialogue et les accords de paix intercommunautaires est une base à retenir. De manière structurelle, l’État de droit doit cibler le renforcement des voies de communication, de dialogue, en l’amélioration de l’accès aux sensibilisations et compagnes dans les zones sans que ça soit des actes superficielles non-sensibilisatrices a la vie communautaire, essentiel pour la réconciliation intercommunautaires des populations, bien sûr avec l’impact de la justice et réparation qu’il faut subventionner vis-à-vis des intéressés.
Occuper l’espace son sous-estimer l’ennemi, en l’infiltrant.
Vue l’insécurité grandissante à travers les factions armées non-conventionnelles « CPC », l’utilisation des approches communautaires civils aux services de la sensibilisation et réconciliation, sans exclure la stratégie militaire contre-offensive à la reconquête de nos territoires assiégés par les factions armées non-conventionnelles et mercenaires.
Les États de la sous-région doit se mobiliser pour la cause Centrafricaine. Bien leur signifier que l’insécurité en Centrafrique peut être contagieuse pour les autres pays envoisinant, et de s’organiser dans cette perspective au-delà de la frontière. Les actions des forces de sécurités et alliés, dans le cadre de ces stratégies contre-insurrectionnelles des factions armées non-conventionnelles, doivent-elles aussi sortir du cadre classique et s’engager dans la voie d’une plus grande agilité et contre-offensive de nos forces loyaliste et alliés, en amélioration de leurs capacités d’anticipation jusqu’au dernier retranchement des factions armées non-conventionnelles. Il faut tendre vers la même souplesse que les ennemis de la Paix et des institutions Centrafricains, qui ne cesse de démontrer leur capacité à s’unir, à se regrouper, malgré leur divergence d’intérêts enquête, conquise qui sont les pillages de nos richesses miniers qui les animes finalement se coaliser pour nuire au Pays et le peuple Centrafricain. Le Pouvoir doit redynamiser les fortes de sécurités et de défenses par les biais d’une unité plus légère et mieux aguerries motivés. Les forces spéciales d’élites de nos armées FACA doivent disposer d’effectifs plus nombreux et l’amélioration de leurs performances doivent constituer une priorité avec une reconnaissance dans leur pair, de la population et, d’accroissement de manière significative. Par ailleurs une exigence est attendue de leur part aussi dans l’application de leur mission dans une responsabilité irréprochable.
Nb) Il faut impérativement une vision politique claire de sortie de crise avec le concours de tous les forces vives sans esprit d’exclusion de la Diaspora.
Le Pays a bien besoin de se relever sur tout le plan.
Fait à Lyon le 08/03/2021
Diaspora,
Mr. Aubin-Roger KOMOTO