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Le chemin troublant de la ministre Bemaka Soui Josiane : âge, mariage, diplômes, identité floue

Le chemin troublant de la ministre Bemaka Soui Josiane : âge, mariage, diplômes, identité floue

 

Mme Konan, née Bemaka Soui Josiane Lina, ministre des Actions humanitaires
Mme Konan, née Bemaka Soui Josiane Lina, ministre des Actions humanitaires

 

 

Bangui, 07 février 2024 (CNC) – Madame Konan, née Bemaka Soui Josiane Lina. La nouvelle ministre des Actions humanitaires qui vient de succéder à madame Virginie Mbaïkoua qui a occupé ce poste durant sept années. Madame Konan, née Bemaka Soui Josiane Lina est née le 11 juillet 1970 à Bangui, selon son acte de naissance qu’elle a atterri avec à Abidjan en côte d’ivoire et qui figure sur tous ses documents administratifs à cette époque. Avec son parcours et ses relations intimes avec le président putschiste Faustin Archange Touadera, elle est la nouvelle figure énigmatique de la scène politique centrafricaine depuis janvier 2024.

Même si elle a taillé, taillé, voire, limé à plusieurs reprise son âge à sa convenance, les parcours académiques et professionnels qu’elle affiche au public suscitent des interrogations croissantes. Malgré son mariage et son ascension au sein du gouvernement, des doutes persistent quant à l’authenticité de ses diplômes et de son expérience. Son histoire soulève des questions sur l’intégrité du processus de nomination et l’importance de la transparence dans la fonction publique centrafricaine. Révélation de Corbeaunews. 

 

    

Le mariage à Abidjan et son union avec un Ivoirien, monsieur Dieudonné Konan. 

  

 

Madame Konan, née Bemaka Soui Josiane Lina, avant son immersion dans la politique centrafricaine, amorçait son parcours à Abidjan, en Côte d’Ivoire lorsqu’elle a regagné son père le feu général Bemaka Soui. C’est à Abidjan qu’elle a rencontré et épousé pour la premier fois son homme, monsieur Dieudonné Konan, le 31 juillet 2004, date qui scellait ainsi leur union dans la métropole ivoirienne. Ce mariage, initialement empreint de promesses et d’engagements, deviendra le point de départ d’une série d’événements mystérieux et d’interrogations persistantes sur le parcours de Bemaka Soui Josiane Lina. 

 

L’union scellée le 31 juillet 2004, constituait une étape significative dans la vie de cette jeune dame. Grace à son union avec cet Ivoirien, monsieur Dieudonné Konan, l’avenir professionnel de la jeune à l’époque, Mademoiselle Bemaka Soui Josiane Lina devenue Madame Konan, va enfin commencer. Avec un diplôme d’infirmier diplômé d’Etat imprimé en couleur quelque part en Afrique qu’elle a ramené avec elle dans son sac à Abidjan, son parcours allait être abrégé le jour du concours d’intégration. Mais grâce à son mari Konan, cette chute qui allait être réalisée par les policiers n’a pas eu lieu. 

 

Photo souvenir de mariage de Mlle Bemaka-Soui Josiane et Mr. Dieudonné Konan
Photo souvenir de mariage de Mlle Bemaka-Soui Josiane et Mr. Dieudonné Konan

 

Le chapitre de son histoire illustre les prémices d’une saga complexe et intrigante qui allait captiver l’attention et soulever des questions tout au long de sa carrière professionnelle avec son intégration dans la fonction publique en Côte d’Ivoire et maintenant, politique, avec sa nomination comme ministre des actions humanitaires en Centrafrique. 

  

Son intégration dans la fonction publique Ivoirienne en tant qu’infirmière. 

  

Avant même son mariage, Bemaka Soui Josiane Lina avait déjà tracé son chemin dans le domaine médical. Elle travaillait comme une sœur catholique et assistante médicale au sein de la mission catholique. Après son mariage avec Monsieur Dieudonné Konan et l’obtention de la nationalité ivoirienne, comme elle sait faire les injections et des prélèvements sanguins, elle a déclaré à son époux qu’elle est une infirmière et elle a mis sur la table son diplôme d’infirmière diplômée d’état, IDE, un métier qui deviendrait central dans sa nouvelle identité professionnelle. 

  

Poussée par ses aspirations et encouragée par son mari Dieudonné, Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina s’est présenté au concours de la fonction publique ivoirienne. D’après nos informations, elle allait être arrêté ce jour-là en raison de la non-authenticité de son diplôme d’infirmière. Mais grâce aux efforts de son époux et à ses relations au sein du ministère de la Santé, elle n’a pas été mise aux arrêts et elle a été admise au concours pour être intégrée dans la fonction publique ivoirienne en tant qu’infirmière. 

 

Extrait du bulletin de salaire de Mme Konan née Bemaka Soui Josiane Lina indiquant sa fonction et la date de son intégration, le 1er mars 2006
Extrait du bulletin de salaire de Mme Konan née Bemaka Soui Josiane Lina indiquant sa fonction et la date de son intégration, le 1er mars 2006

  

 

Son affectation à la pédiatrie du Centre Hospitalier Universitaire de Cocody à Abidjan le 1er mars 2006 a marqué le début d’une nouvelle étape de sa carrière. En travaillant comme infirmière au service pédiatrique, Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina a commencé à façonner sa réputation professionnelle, bien que des questions subsistent sur la légitimité de ses qualifications et de son expérience. Cette année de 2006 va illustrer, dans sa vie, les débuts tumultueux d’une trajectoire professionnelle entourée de mystère et de controverse qu’une autre histoire du couple imaginable va s’ajouter. Laquelle ? 

  

Sa disparition au domicile conjugal et sa recherche par la police. 

  

Après avoir été intégrée dans la fonction publique ivoirienne et avoir exercé en tant qu’infirmière au CHU de Cocody, Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina a mystérieusement disparu fin 2006 de la vie quotidienne, comme une haleine qui disparait mais laisse son souvenir sur la personne par son odeur. Malgré son statut matrimonial, elle a abandonné, sans raison et brusquement, le domicile conjugal, laissant son mari qui l’avait aidé à devenir fonctionnaire dans l’incertitude et l’inquiétude selon les voisines de son quartier qui ont accepté de réagir sur sa présence signalée à Bangui. 

  

D’après ses voisins, sa disparition subite a déclenché une recherche active menée par son époux, qui a sollicité l’aide des autorités pour retrouver sa trace. La police a identifié Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina dans un quartier d’Abidjan, mais malgré les efforts déployés pour la convaincre de revenir et de discuter d’un divorce à l’amiable si elle avait un souci avec son mari et qu’elle veut le quitter, elle a refusé de coopérer. Pendant deux ans, elle est restée dans ce quartier, refusant de revenir au domicile conjugal. 

  

En 2008, Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina a quitté définitivement Abidjan et s’installer en Belgique, laissant derrière elle, un homme avec un lien de mariage, des questions sans réponses et des préoccupations persistantes. Malgré les recherches menées par le ministère de la Santé ivoirien et son mari, sa localisation est restée un mystère jusqu’à ce que sa présence en Belgique soit finalement confirmée. Cette période tumultueuse de sa vie a marqué un tournant décisif dans son parcours, ouvrant la porte à de nouveaux défis et à de nouvelles opportunités à l’étranger. 

 

Son ascension politique et sa nomination au gouvernement. 

  

Après son départ pour la Belgique, Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina a apparu sur la scène politique centrafricaine suite à l’accession au pouvoir du président Faustin Archange Touadera en 2016. Grâce à ses contacts et à ses relations privées, elle a établi des liens sérieux avec le nouveau président, ouvrant ainsi la voie à une nouvelle phase de sa carrière. 

  

Cette relation hautement sérieuse et privilégiée avec le président Touadéra lui a valu une nomination prestigieuse à la présidence à Bangui, en tant que ministre conseillère. Travaillant au cœur du pouvoir présidentiel, elle a joué un rôle clé dans les cercles du pouvoir politique de la République centrafricaine, contribuant à façonner les politiques et les décisions gouvernementales. 

  

Son engagement de corps à corps aux côtés du président putschiste Faustin Archange Touadera a été récompensée lorsqu’elle a été nommée ministre des Actions Humanitaires en janvier 2024 dans le gouvernement retouché du Premier ministre Félix Moloua. Cette position lui a donné une plateforme pour promouvoir et mettre en œuvre des initiatives visant à améliorer la vie des citoyens centrafricains les plus vulnérables, dans un contexte marqué par des défis sociaux et économiques persistants. 

  

L’ascension politique de Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina malgré les controverses entourant son passé et ses qualifications, souligne sa résilience et sa détermination à s’imposer dans les arcanes du pouvoir à Bangui. Sa nomination au gouvernement témoigne également des dynamiques complexes qui influencent la politique centrafricaine et soulève des questions sur les critères de sélection et de nomination des fonctionnaires dans le pays. 

  

Son comportement controversé et ses conflits de voisinage. 

  

Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina, malgré son ascension politique, est au cœur de controverses dans son quartier de Benz-vi à Bangui. Son comportement dictatorial et ses tentatives pour imposer sa volonté aux résidents ont semé la discorde et la méfiance parmi ses voisins. 

  

Son obsession pour la sécurité présidentielle a conduit à des mesures extrêmes, telles que l’imposition de restrictions strictes sur les déplacements des habitants, en particulier des belles jeunes filles, lors des visites présidentielles chez elle. Cette attitude autoritaire et jalouse a été vivement critiquée et a alimenté les tensions au sein de la communauté. 

  

De plus, les relations conflictuelles avec la famille Bombayéké, marquées par des tentatives d’intimidation et de contrôle excessif, ont exacerbé les conflits de voisinage. Les efforts de Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina pour restreindre la liberté de mouvement des jeunes filles voisines ont déclenché des confrontations et des protestations, mettant en lumière son comportement délictueux envers ses voisins. 

  

Malgré son influence politique, les actions de Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina ont soulevé des préoccupations quant à sa conduite et à son respect des droits des citoyens ordinaires. Son comportement autoritaire et ses conflits de voisinage révèlent les défis persistants auxquels est confrontée la société centrafricaine et soulignent la nécessité d’une gouvernance transparente et inclusive pour garantir le bien-être de tous les citoyens. Pour bien se frayer un chemin sur ses ambitions politiques et obtenir des cotes de popularité, Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina se retourne vers les médias pour habiller son cursus. Comment ? Pour parler de ses diplômes fabriqués. 

 

Carte de séjour de madame Bemaka-soui
Carte de séjour ivoirienne de madame Josiane Bemaka-soui

  

 

La fabrication de ses diplômes et présentation d’un faux cursus académiques. 

  

Le parcours académique de Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina est entaché de fabrication de diplômes et de présentation de faux cursus académiques et professionnelles. Initialement assistante médicale au sein de la mission catholique, elle avait présenté un diplôme d’infirmière, dont l’origine demeure obscure, à son mari Dieudonné Konan après leur mariage en Côte d’Ivoire. Malgré les doutes et l’absence de preuves tangibles, son mari, grâce à ses relations au ministère de la Santé, a réussi à la faire intégrer en tant qu’infirmière diplômée d’État et travaillé jusqu’en 2008. 

 

Après un court séjour en Belgique, Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina est retournée au pays en se présentant comme une Pédiatre, revendiquant un titre qui nécessite un doctorat en médecine et une spécialisation ultérieure, un cursus qui demande onze années d’études. 2008-2026, années de son départ d’Abidjan et de son retour à Bangui ne font pas 11 ans.  Cette prétention à un statut professionnel aussi élevé, sans preuve tangible de qualifications adéquates, soulève des questions sur l’intégrité et la légitimité de son parcours académique. 

 

Une de ses connaissances à Bruxelles en Belgique qui a accepté de témoigner à la Rédaction sous couvert de son anonymat, que Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina n’a jamais travaillé dans un hôpital comme infirmière et à plus forte raison, docteur. Elle n’a travaillé que comme aide aux personnes âgées en Belgique.  

  

Le comportement de Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina illustre un niveau de manipulation et de tromperie troublant, remettant en question la validité de ses prétentions professionnelles et mettant en lumière les lacunes dans la vérification des antécédents académiques des fonctionnaires. Cette révélation souligne l’importance d’une diligence raisonnable dans l’évaluation des qualifications des individus occupant des postes de responsabilité dans la fonction publique centrafricaine. 

  

Sa confusion identitaire et ses incohérences dans les déclarations de naissance. 

  

Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina, avant son mariage à Abidjan, avait déclaré être née en 1967, selon des documents de la mission catholique. Cependant, lors de son mariage à Abidjan, elle a soudainement retaillé sa date de naissance à l’année 1970. Cette variation significative soulève des doutes quant à l’authenticité de sa déclaration de naissance initiale et souligne une possible manipulation des faits. 

  

Plus troublant encore, après sa nomination au gouvernement, Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina a déclaré être née en 1976, une autre divergence notable dans ses récits sur son année de naissance. Mais pour une de ses amies d’enfance : “ Elle ne se rend pas compte, apparemment, qu’elle a déjà vieilli comme nous ses amies d’enfance, malgré l’arrêt de nos menstruations ”, rapporte à la Rédaction une de ses connaissances d’enfance. Cette incertitude quant à sa véritable date de naissance soulève des questions fondamentales sur son identité et son intégrité, remettant en question sa crédibilité en tant que représentante du gouvernement. 

  

Cette situation complexe exige une enquête approfondie pour éclaircir les circonstances entourant la naissance de Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina et pour déterminer la validité de ses déclarations officielles. Les implications de cette confusion identitaire sont profondes et soulignent la nécessité d’une transparence totale et d’une vérification rigoureuse des antécédents des fonctionnaires occupant des postes de haute responsabilité. Mais le cas de Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina, étant trop boiteux, elle a pris le devant pour l’habiller en robe blanche en se précipitant vers les médias nationaux. 

 

Son recours aux médias pour habiller son cursus totalement nu.  

  

Avec un cursus scolaire et universitaire qui survole les salles des classes pour frôler les facultés de médecine au monde, Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina s’est retrouvée, par la force des bras de son mari Konan Dieudonné, infirmière au CHU de Cocody à Abidjan. Mais son incompétence l’a fait fuir la Cote d’ivoire pour la Belgique là où elle a enterré son diplôme d’infirmière pour travailler dans les centres d’accueil des personnes de troisième âge.  

 

De son retour à Bangui, elle a été nommée ministre conseillère à la présidence. Jusqu’à ce niveau, rien de défaut. Mais pour sa fonction de ministre, il fallait qu’elle arrange son CV, redresse ses parcours sur les lignes avec ceux des autres. Si tout le monde est docteur dans le gouvernement, elle devient pédiatre, un cursus universitaire de Bac+12. Même Touadera, Somsé, Sarandji, tous, ils sont au niveau de son nombril.  

 

Très vite, c’est vers les médias qu’elle se tourne pour les aveugler et les pousser à diffuser des fake news à chaud. Ces médias la décrivent comme une “ dame au cœur humanitaire” or elle n’est très jalouse, elle n’aime pas les autres filles selon ses voisines.

 

Et de poursuivre, ces médias écrivent qu’elle a sillonnée plusieurs pays de l’Afrique de l’Ouest comme le Sénégal, le Mali et le Burkina Faso. Qu’en Côte d’ivoire, poursuit la presse locale, elle s’inscrivit à l’université puis plus tard à la Faculté de médecine Université d’Ottawa au Canada avec une spécialisation médecine en pédiatrie alors qu’elle ne sait même pas où se trouve le Canada.  

 

Que : “ Mme Josiane Lina Bemaka Soui revient alors en Côte d’Ivoire plus précisément à Abidjan où elle a exercé au Centre Hospitalier Universitaire de Cocody en service de Pédiatrie Grand Enfant comme Chef de service ”.

 

Contacté par la Redaction, un agent de santé dans cet hôpital dement catégoriquement qu’elle n’a jamais servi comme chef de service en ces termes : “ Madame Konan Bemaka Soui Josiane Lina est intégrée au même moment que mois en mars 2006. Elle n’a jamais, jamais mis pieds à l’université en Côte d’Ivoire et à plus forte raison, voyager et revenir travailler ici. Au contraire, elle a abondonné son poste pour partir definitivement. Et je vous informe en plus qu’elle n’a, ni le niveau, ni le diplome requis et ni les années d’expériences exigées pour être un chef de service ici en Cote d’ivoire ”. Et de conclure : “ Désolé mais la Côte d’Ivoire n’est pas votre pays la Centrafrique et c’est une réalité”.

 

Cette presse locale poursuit en disant que, trois années plus tard, elle a demandé une mise à disponibilité technique, une nouvelle expression, pour se spécialiser en pathologie oncologique à l’institut Jules Bordet et atterrit à Bruxelles en Belgique. Mais là encore, c’est quelle histore inventée qui peut faire dormir les Belges debout, les yeux ouverts ?  

 

Pour un ancien medecin ivoirien contacté par la Rédaction dans le cadre de cette enquette spéciale, l’institut Jules Bordet n’est pas un établissement universitaire de formation mais plutot, un centre hôspitalier spécialisé dans des soins des maladies cancereuses. Et que son service de psycho-oncologiese est consacré à la prise en charge psychologique et psychiatrique des patients et de leurs proches et non un centre de formation des étudiantes et étudiants. 

 

Et voilà pourquoi l’on a le doit, juridiquement, de se demander finalement, où elle a fait ses études de medécine et surtout sa spécialisation en pédiatrie au finish ? cette Bemaka Soui Josiane Lina. En plus de cela, elle cache son lien de mariage avec son mari Konan et refuse le divorce avec lui.   

 

Son refus de divorcer et son identité ambiguë. 

  

La réticence de Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina de divorcer de son mari ivoirien, malgré les demandes répétées de celui-ci et les circonstances complexes entourant sa relation avec le président, suscite des interrogations sur les motivations profondes qui sous-tendent son comportement. 

  

La question centrale demeure : pourquoi Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina refuse-t-elle de finaliser son divorce avec son mari ivoirien, même après avoir quitté subitement le domicile conjugal ? Cette réticence peut être attribuée à plusieurs facteurs, notamment des considérations personnelles, familiales ou politiques. 

  

La déclaration de Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina en tant que maîtresse du président putschiste Touadéra, alors qu’elle est toujours légalement mariée, soulève des questions sur sa propre perception de son identité et de ses responsabilités. Cette situation complexe suggère peut-être des motivations plus profondes, telles que des intérêts politiques ou des désirs de pouvoir et d’influence. 

  

Il est difficile de déterminer avec certitude les raisons exactes derrière le refus de Madame Konan née, Bemaka Soui Josiane Lina de divorcer de son mari ivoirien. Cependant, cela soulève des préoccupations quant à sa stabilité émotionnelle et à sa capacité à gérer ses relations personnelles de manière saine et équilibrée. 

  

Mais pour un avocat centrafricain contacté par la Rédaction, “ Bemaka Soui Josiane Lina est très stratège. Comme elle a abandonné son foyer en Côte-d’Ivoire pour partir en Europe, c’est un abandon de foyer, la belle cause d’un divorce à son tort exclusif d’une part et d’autre part, comme elle ne pense même plus y retourner, et à ce titre, utiliser son identité ivoirienne, pour elle, c’est tout à fait normal d’inhumer purement et simplement tout document que l’on peut lire dessus Madame Konan née  Bemaka Soui Josiane Lina”.  

 

La question de savoir si son comportement est le résultat d’un problème psychiatrique ou d’autres facteurs reste ouverte et nécessite une évaluation approfondie par des professionnels qualifiés. Quelle que soit la raison, cette situation met en lumière les complexités des relations humaines et souligne l’importance d’une compréhension approfondie des motivations individuelles et des dynamiques sociales. 

  

Conclusion. 

  

L’affaire de Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina met en lumière les intrications complexes de la politique, de la vie personnelle et de l’identité dans le contexte de la République centrafricaine. Son parcours tumultueux, boiteux, marqué par des incohérences dans ses déclarations, des soupçons de fabrication de diplômes et des tensions familiales, soulève des questions fondamentales sur l’intégrité et la transparence des responsables gouvernementaux. 

  

Le refus persistant de Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina de finaliser son divorce avec son mari ivoirien, combiné à ses déclarations contradictoires sur sa date de naissance et son identité professionnelle, soulève des inquiétudes quant à sa stabilité émotionnelle et à sa crédibilité en tant que figure publique. 

  

Les motivations sous-jacentes à ses actions, qu’elles soient personnelles, politiques ou psychologiques, restent sujettes à spéculation. Cependant, il est impératif que les autorités compétentes mènent une enquête approfondie pour clarifier les circonstances entourant son parcours et pour restaurer la confiance du public dans l’intégrité de la fonction publique. 

  

En fin de compte, l’affaire de Madame Konan, née  Bemaka Soui Josiane Lina souligne l’importance d’une gouvernance transparente et responsable, ainsi que la nécessité d’une vigilance constante pour préserver les valeurs démocratiques et l’état de droit dans la République centrafricaine. Seule une approche éclairée et éthique peut garantir une société juste et équitable pour tous ses citoyens. 

 

Une affaire à suivreavec plus de détail …..

 

Par Alain Nzilo

Diredcteur de publications

 

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