Touadera, regarde ton administration  qui vire au fiasco : le ministère de l’administration donne un faux document à Stanislas Zoumbeti  pour reconnaître son BPRDC. Pourtant, c’est une plateforme fictive sortie de sa pure folie

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Touadera, regarde ton administration  qui vire au fiasco : le ministère de l’administration donne un faux document à Stanislas Zoumbeti  pour reconnaître son BPRDC. Pourtant, c’est une plateforme fictive sortie de sa pure folie

 

Monsieur Stanislas Samuel Zoumbeti, PDG de la plateforme Bloc des Partis Républicains pour la Défense de la Constitution du 30 août 2023, ancien membre du bureau politique du MLPC radié, ex-militant du parti MLPC
Stanislas Samuel Zoumbeti, PDG de la plateforme Bloc des Partis Républicains pour la Défense de la Constitution du 30 août 2023, ancien membre du bureau politique du MLPC radié

 

Rédigé le 30 septembre 2025 .

Par : la rédaction de Corbeaunews-Centrafrique (CNC). 

Un document attribué au ministère de l’Administration du territoire reconnaît officiellement une « plateforme politique » créée par Stanislas Samuel Zoumbeti, ancien cadre du MLPC. Baptisée Bloc des Partis Républicains pour la Défense de la Constitution du 30 août 2023 (BPRDC), cette structure est censée exister légalement. Mais en réalité, elle n’est que l’invention d’un homme malade mental, et qui ne dispose d’aucun parti politique sans base, et sans aucune légitimité d’ailleurs.

 

C’est la folie d’un homme malade seul face à la loi. Pourtant, la loi n°20.015 du 11 juin 2020 autorise tout citoyen à créer un parti politique, à condition de déposer statuts et règlement intérieur. Mais une plateforme n’a de sens que si plusieurs partis déjà agréés s’unissent. C’est ainsi que sont nées des coalitions comme la COD-2020 ou le BRDC. Or, Stanislas Samuel Zoumbeti  n’a ni parti, ni mandat, ni statut de chef politique. Il s’est contenté d’envoyer une demande en son nom propre, comme si un individu pouvait incarner à lui seul une coalition.

 

Et finalement, le ministère de l’administration du territoire devient de facto complice de la folie de Stanislas Samuel Zoumbeti. Au lieu de rejeter cette imposture, le ministère de l’Administration du territoire a signé un document lui donnant valeur officielle. On y lit noir sur blanc que le « BPRDC » est reconnu en République centrafricaine. C’est une faute grave. L’administration, censée être gardienne de la loi, s’abaisse à fabriquer des faux pour servir des calculs politiciens. Un ministère transformé en machine à entériner les caprices d’un ancien militant en rupture avec son parti d’origine.

 

C’est vraiment une maladie politique incurable. En effet, cette dérive fait penser à une maladie incurable  comme le sida qui attaque le cerveau et provoque des agitations incontrôlées. Ces sidéens du        MLPC, qui croient qu’ils vont finir bientôt, se tournent sans cesse à gauche puis à droite  pour agiter sans logique, incapable de distinguer le légal du fictif. On dirait que ces malades mentaux sont prêts à tout, même à vendre leur âme pour des miettes.

 

Il faut d’ailleurs comprendre que cette plateforme n’existe tout simplement pas. Le Bloc des Partis Républicains pour la Défense de la Constitution n’existe pas en droit. Il n’est que le produit de l’imagination de Stanislas Zoumbeti et de la complaisance d’un ministère qui trahit sa mission. Derrière cette comédie administrative, une vérité saute aux yeux : ceux qui gouvernent aujourd’hui ignorent volontairement la loi, et se comportent comme des malades refusant de reconnaître leur propre déchéance.

 

Pour aller un peu plus loin dans sa folie sidéenne, Stanislas Samuel Zoumbeti  accuse le BRDC de pratiquer « l’obscurantisme béant » et de mener des débats « hors délai » sur la Constitution. Mais qui est-il pour donner des leçons ? Un citoyen lambda qui s’autoproclame porte-parole d’un bloc inexistant. La loi centrafricaine de 2020 est pourtant sans ambiguïté : tout citoyen peut créer un parti politique, mais une plateforme ne peut naître que de l’alliance de plusieurs partis déjà agréés. En se déclarant chef d’un regroupement fantôme, Zoumbeti bafoue non seulement la logique, mais aussi la loi.

 

En plus de cela, Stanislas Samuel Zoumbeti  se félicite de la renonciation d’Anicet Georges Dologuelé à sa nationalité française, qu’il présente comme une reconnaissance implicite de la Constitution du 30 août. Un raccourci intellectuel qui en dit long sur la fragilité de son argumentaire. Un homme qui renonce à une nationalité pour des raisons électorales ne valide pas pour autant un texte constitutionnel. Mais quand on manque d’arguments solides, on s’accroche à ce qu’on peut.

 

Cette démarche montre clairement une stratégie d’ailleurs bien connue du régime : multiplier les fausses structures pour noyer le débat. Pendant qu’un MLPC reconverti agite son bloc fictif, les vraies questions restent sans réponse. Où sont les partis qui composent ce BPRDC ? Qui sont leurs responsables ? Combien de militants comptent-ils ? Le silence qui suit ces questions simples dit tout de la supercherie.

 

Le BRDC, qu’on l’approuve ou non, rassemble de vrais partis politiques avec des leaders identifiés et des militants sur le terrain. Stanislas Samuel Zoumbeti , lui, ne rassemble que du vent. Son BPRDC n’est qu’une réponse désespérée, un montage administratif pour contrer un adversaire politique gênant. Mais une copie reste une copie : sans substance, sans poids, sans avenir.​​​​​​​​​​​​​​​​

 

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